La justice italienne n’a pas été dans le sens de la demande de la famille royale italienne quant à la restitution de bijoux qui sont depuis le départ en exil en 1946 dans un coffre de la Banque d’Italie. Le prince Emanuele Filiberto et ses tantes les princesses Maria Pia, Marie Gabrielle et Marie Beatrice fero,t appel et iront devant la Cour européenne des droits de l’Homme.
17 mai 2025 @ 07:31
Je suis curieux de voir ce que décidera la Cour Européenne des Droits de l’Homme.
Pourquoi Vittorio Emanuele qui a encore vécu longtemps après la mort de son père n’a-t-il pas réclamé ces bijoux. Et on parle aussi de biens immobiliers, ce qui est nouveau et pas mentionné dans le texte ci-dessus en français. Je ne sais quoi penser du bien fondé de cette demande de restitution.
18 mai 2025 @ 18:46
Moi la question que je me pose est pourquoi le roi Umberto n’a pas été plus précis et n’a pas laissé un document écrit sur la destination de ces bijoux. Simple dépôt ou don à l’état?
Et ce ne sont pas les extraits cités ici du journal d’Enaudi qui clarifient la situation ou témoignent d’une ferme volonté du roi de transmettre ces bijoux à ses descendants.
17 mai 2025 @ 07:48
Cette décision de justice fait au moins un heureux : le cabinet d’avocats qui a désormais du travail (et les honoraires qui vont avec) pour une dizaine d’années.
17 mai 2025 @ 08:15
Si la famille royale italienne doit récupérer ses bijoux, il y a de fortes chances qu’ils soient vendus. Ils devraient être exposés plutôt que dans un coffre.
17 mai 2025 @ 08:56
Ils n’obtiendront rien de plus devant la CEDH. Certaines causes sont perdues.
17 mai 2025 @ 09:00
Le plus grand voleur, c’est l’état !
17 mai 2025 @ 09:58
Le jargon juridique et administratif italien est incompréhensible aux autochtones. Et l’étude de l’italien pour un étranger rend ce jargon tout aussi hermétique.
17 mai 2025 @ 10:26
Ah ils court après l’argent… !!!
17 mai 2025 @ 11:44
Tel père, tel fils : Emanuele Filiberto continue la tradition inaugurée par son père de se lancer dans des procédures n’ayant aucune chance de se conclure par un succès. En Italie, tout cela est à peine mentionné dans les journaux, ce qui en dit long sur son impopularité.
18 mai 2025 @ 14:46
Il me semble que les Grecs ont obtenu des restitutions via la CEDH, comme certaines familles dont les biens avaient été « communismés ».
17 mai 2025 @ 15:53
300 millions d’euros : 6.732 pierres précieuses, diamants et perles toutes de tailles différentes, posées sur des diadèmes.
En 1976, le procureur de Rome avait décidé de briser les scellés suite à des soupçons de falsification et le vol de certaines épingles. Personne ne semble savoir ce que ces épingles sont devenues.
19 mai 2025 @ 13:14
Donc il semblerait grandement temps de statuer sur le destin de ces joyaux.
17 mai 2025 @ 16:53
Quelle mesquinerie. Qu’on rende ses bijoux au chef de la Maison de Savoie.
18 mai 2025 @ 11:56
Concernant ces bijoux la famille de Savoie a elle indemnisé les princes et roi d Italie au moment de l unification et au moment des lois raciales le roi A contre signe ces bijoux devraient être vendus pour dédommager les descendants spoliés
20 mai 2025 @ 16:18
Je n’ai pas compris.
17 mai 2025 @ 17:21
Je ne prends pas partie.
J’espère que le Prince et sa famille -ou leurs avocats- ont eu la possibilité de faire le point, de visu, de ce qu’il y a réellement dans ce coffre, depuis 1946.
17 mai 2025 @ 18:15
Les bijoux de la Couronne sont inaliénables et appartiennent à la nation. S’il s’agit de bijoux personnels, il sera difficile de les détacher du lot sur pièces d’évidence.
De plus plane un doute sur leur destination si jamais la famille l’emportait en justice : maison d’enchères ?
17 mai 2025 @ 18:37
Il a besoin de parer sa nouvelle maîtresse de bijoux royaux ?
Sinon, à qui appartenaient ces bijoux avant leur départ en exil ? Aux membres de la famille royale italienne en propre, ou à la monarchie italienne ?
17 mai 2025 @ 19:53
Ces bijoux appartiennent désormais au peuple italien et devraient être déposés dans un musée, tout comme la couronne d’Angleterre.
18 mai 2025 @ 01:23
Cosa si concluderà?
18 mai 2025 @ 12:48
Je crois également que ces bijoux doivent être exposés dans un musée, que le peuple Italien et d’autres puissent les admirer.
Le grand plaisir de posséder ces joyaux est de les regarder, les toucher, ces pierres extraites du plus profond de la terre, sont un plaisir des yeux par leur couleur, leurs défauts, inclusions, l’éclat de ces cristaux, et c’est également les faire vivre que de pouvoir les admirer.
Je pense que la reine Elisabeth allait parfois les voir ou les faire admirer à certaines personnalités qu’elle recevait.
18 mai 2025 @ 13:35
Ben oui, il a tellement envie de les faire porter par Clotilde !….
19 mai 2025 @ 09:13
La cour européenne des « droits de l »homme » a-t-elle été instituée pour juger les affaires d’argent de la gent oisive ? Il y a des bornes à la décence mais pas pour certains.
19 mai 2025 @ 11:33
Si ces bijoux sont des biens privés, alors qu’ils soient restitués à leurs légitimes propriétaires et, dans le cas contraire, qu’ils soient au moins exposés dans un musée…
19 mai 2025 @ 13:12
Il semble que des diamants dorment dans un coffre …
La question me semble où seront-ils le plus utiles?
Dans un musée ? J’en doute .
Partagés entre la famille exemptée de droits et l’État Italien, chacun en faisant ce que bon lui semble et ainsi ”remis dans le circuit ” me semblerait la meilleure solution.
20 mai 2025 @ 15:05
Je le dis comme je le poense . sur ce coup-ci, Emmanuel-Phlibert est ne train de se faire mal voir des italiens.
20 mai 2025 @ 15:07
D’accord dissime avc Patricio :
Si la famille royale italienne doit récupérer ses bijoux, il y a de fortes chances qu’ils soient vendus. Or ils appratiennet à la Couronnem pas à la Famille Royale. Ils devraient être exposés plutôt que dans un coffre.
20 mai 2025 @ 17:06
Mon épouse qui est italienne me charge de vous communiquer ce qui suit.
Le petit-fils du dernier Roi d’Italie n’a pas obtenu gain de cause devant le tribunal civil de Rome. Le Prince et ses tantes souhaitaient récupérer les bijoux de la famille royale que le roi Humbert II avait confiés à la Banque d’Italie avant son exil, démontrant par là que ces bijoux n’appartiennt pas à la Famille Royale de Savoie mais à l’Etat italien : hier Monarchique, aujourd’hui républicain, demian peut-être à nouveaux Monarchique.
Le prince Emmanuel-Philibert et ses tantes, la princesse Marie-Gabrielle, la princesse Marie-Pia et la princesse Marie-Béatrice s’étaient tournés vers la justice pour récupérer les trésors que le roi Humbert II avait confiés à la Banque d’Italie en 1946, après l’abolition de la monarchie par référendum, à la manière des orléans chez nous. Un des arguments non négligeables de l’histoire est qu’actuellement, et depuis 75 ans, ces joyaux sont cachés dans un coffre et que personne ne peut en profiter. Une tentative de les exposer à l’occasion des Jeux olympiques de Turin avait échoué. Les scellés ont été brisés, en 1976, à la demande d’un procureur de Rome qui souhaitait réaliser un inventaire et vérifier qu’aucun bien n’était manquant. Des experts évaluent le trésor à 300 millions d’euros, une somme qui pourrait fait tourner la tête à beaucoups.
Ce 15 mai 2025, le tribunal de Rome a rejeté la demande de la famille royale, appuyant sa décision sur le fait qu’il ne s’agissait pas d’objets personnels mais de « joyaux de la dotation de la Couronne » (sinon le Roi de Mai aurait le droit de les emporter avc lui en exil).
L’avocat du prince Venise annonce qu’après cette défaite juridique, la Famille Royale est prête à se tourner vers la Cour européenne des droits de l’homme.
Ces 6732 pierres précieuses et 2000 perles de ce trésor devraient être exposés dans un musée, à al vue du peuple italien, comme la Couronne de Fer exposée à Monza dans un niche transparante mais blindée.
20 mai 2025 @ 17:44
La maison de Savoie -de gueules, à la croix d’argent- est une dynastie européenne ayant porté les titres de Comte de Savoie (1033), puis de Duc de Savoie (1416), Prince de Piémont (1418), Roi de Sardaigne ou de Piémont-Sardeigne (1720) et Roi d’Italie (1861). Elle est l’héritière de la dynastie des Humbertiens, nom donné par l’historiographie moderne aux premiers souverains, comtes en Maurienne, et issu du comte Humbert.
Victor-Emmanuel de Savoie, né en 1937, est le fils de l’éphémère roi Humbert II d’Italie qui n’a régné qu’un mois et qui fut destitué par les républicains italiens. Il est, à ce titre, désigné légitimement comme prétendant de droit au trône d’Italie, par ordre de primogéniture mâle, en qualité d’aîné de la dynastie de Savoie. Il est suivi dans l’ordre de succession par son fils, le prince Emmanuel-Philibert de Savoie, né en 1972, époux de l’actrice française Clotilde Courau, princesse de Savoie.
Cependant une partie des Royalistes italiens ne le considèrent pas comme prétendant au trône, en prenant pour prétexte son mariage en 1970 avec Marina Doria, issue de la bourgeoisie. Ils soutiennent que son cousin de la branche cadette de Savoie, le duc Amédée III d’Aoste (né en 1943), serait devenu le prétendant au trône d’Italie.
D’autres Royalistes italiens leur répondent qu’aucune règle dynastique ou de famille n’impose le mariage du prétendant au trône d’Italie avec une princesse de Sang Royal et encore moins avec une femme issue de l’aristocratie, le Roi faisant la bergère Reine comme en France. La seule obligation est celle d’un mariage religieux : ce qu’ont respecté Marina Doria et Victor-Emmanuel de Savoie. Les positions de sa mère la reine Marie-José d’Italie, morte en 2001 et celles des monarchistes, ont toujours été limpides à ce sujet.
On peut don considèrer SAR Emmanuel Philibert de Savoie, Prince de Venise, comme Héritier Légitime au trône d’Italie, chef de la Maison Royale d’Italie (maison de Savoie), Grand maitre des Ordres dynastiques de la Maison Royale de Savoie : Ordre suprême de la Très Sainte Annonciade, Ordre des Saints-Maurice-et-Lazare, Ordre civil de Savoie, Ordre du Mérite de Savoie.
Par contre, le 15 janvier 2020, l’Assemblée des Sénateurs du Royaume se prononce contre la modification du droit successoral souhaitée par Victor-Emmanuel de Savoie, qui a annoncé en décembre 2019 sur le site officiel de l’Assemblée des sénateurs du Royaume la suppression de la loi salique, pour permettre la succession également aux héritières féminines.
A la mort du prince de Venise, la succession de la Couronne passera en voie Légitime à son cousin le Duc Amédèe d’Aoste, puis à son fils Umberto, eu de son maraige à l’église avec la princesse Olga de Grèce. La beauté, le courage et la bonne volonté de la Princesse Victoria n’est nullement en cause ici, elle n’est que victime de l’acte, tout à fait arbitraire de son grand père -le Roi est dans l’heuerse impossibilité de dispose de la Couronne- qui a voulu répliquer l’ “isabellisation” de la maison Royale des Dexus Siciles par le Duc de Castro.