
La fondation Habsburg Heritage a annoncé que des joyaux de la famille impériale d’Autriche que l’ont pensait pillé par les nazis, reposent en fait dans une banque au Canada où l’impératrice Zita avait trouvé refuge, déjà veuve avec ses enfants.
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La fondation Habsburg Heritage a annoncé que des joyaux de la famille impériale d’Autriche que l’ont pensait pillé par les nazis, reposent en fait dans une banque au Canada où l’impératrice Zita avait trouvé refuge, déjà veuve avec ses enfants.
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7 novembre 2025 @ 08:42
Curieux!
7 novembre 2025 @ 08:55
J’ai lu ailleurs que l’impératrice Zita n’aurait révélé le secret des bijoux au coffre qu’à ses deux fils, Robert et Rodolphe. Elle leur aurait demandé d’attendre le centième anniversaire de la mort de l’empereur Karl pour partager ce secret avec le reste de sa descendance. C’est pour le moins surprenant. Pourquoi un tel secret ? Pourquoi l’impératrice a-t-elle laissé les diverses publications (presse et livres) évoquer la disparition des bijoux sans apporter de démenti ? Pourquoi dans la génération de ses petits-enfants, seuls les archiducs Lorenz, fils de Robert, et Siméon, fils de Rodolphe, étaient-ils au courant ?
7 novembre 2025 @ 09:05
Ces bijoux n’ étaient pas retrouvés, mais soigneusement cachés pour leur sécurité ! C’était leur secret de famille, enfin dévoilé au public !
7 novembre 2025 @ 09:11
Quelle merveille sur cette photo !
7 novembre 2025 @ 09:15
On les pensait escamotés par un intermédiaire indélicat, un baron je ne sais plus qui je crois, les Nazis n’ont jamais été évoqués à ma connaissance puisque le diamant a disparu au début de l’exil de l’empereur Charles.
Pour moi c’est le scoop de l’année car je m’intéresse depuis longtemps à l’histoire riche en pérégrinations de ce diamant.
Cela me fait davantage plaisir qu’il soit réapparu intact que si on retrouvait les bijoux volés au Louvre car on le pensait retaillé depuis longtemps .
Je me demande pourquoi l’impératrice Zita n’a pas négocié au moins quelques uns de ces joyaux, je pense qu’ ils avaient été emportés dans le but de financer un retour sur un trône Habsbourg et uniquement cela.
Je note aussi que les joaillers de la famille impériale sont encore présents de nos jours en tant que joaillers.
7 novembre 2025 @ 12:29
Pascal,
Ce ne sont pas les joyaux qui ont été volés en 1920.
L’impératrice Zita ne les a pas négociés car elle devait considérer qu’il s’agissait d’un patrimoine inaliénable.
Bon weekend.
Cosmo
7 novembre 2025 @ 09:27
La villa St-Joseph appartenant aux Sœurs de Ste-Jeanne d’Arc à Sillery, à Québec, fut grâcieusement prêtée à la famille impériale d’octobre 1940 à 1948. Zita y était arrivée avec ses quatre plus jeunes enfants (Charles-Louis, Rodolphe, Charlotte et Elisabeth). Sa décision aurait été motivée du fait que Charles De Koninck, ancien professeur de l’Université de Louvain où ses enfants aînés avaient étudié, enseignait, désormais, à l’Université Laval dont il était doyen de la faculté de philosophie. Les quatre archiducs furent diplômés en sciences sociales entre 1942, 1943 et 1944. Charles-Louis et Rodolphe quittèrent Québec et rejoignirent leurs frères aux États-Unis où ils s’enrôlèrent dans l’armée américaine. À la demande de leur frère aîné Othon, ils furent envoyés en Europe pour rejoindre la résistance autrichienne. Les archiduchesses quittèrent Québec après l’obtention de leur diplôme et retrouvèrent leur sœur aînée à New York. Elles s’employèrent comme travailleuses sociales à Harlem.
L’impératrice Zita resta à Québec avec ses dames de compagnie, sa mère Maria Antonia de Bourbon-Parme et sa sœur Isabelle. Elle quitta Québec un peu avant Noël 1949 pour les États-Unis où vivaient ses enfants. Tous les membres de la famille impériale d’Autriche retourneront vivre en Europe au cours des années 1950. Sources : l’Université Laval.
7 novembre 2025 @ 09:36
C’ est nettement plus impérial que notre déchéance royale avec la vente des joyaux par le comte de Paris au bénéfice de la gouvernante!!
7 novembre 2025 @ 10:44
Surtout quand on pense aux difficultés matérielles auxquelles Zita a dû faire face ! Un certain sens des priorités… Elle devait vraiment croire à un possible couronnement d’Otto. Mais pourquoi donc ne l’a-t-elle pas mis au courant ? Et pourquoi a-t-elle laissé courir des rumeurs qui ont pu attenter, peut-être, à la réputation de certains du coup ?
7 novembre 2025 @ 12:28
Je crois qu’il faut rappeler que la République Autrichienne issue après la guerre condamna les Habsbourg à un exil perpétuel, à la perte des toutes leurs propriétés et leurs titres. Il faut voir si maintenant l’état n’ouvrira une cause pour la propriété de ces bijoux historiques et précieux. Les cacher à été une façon de les protéger.
8 novembre 2025 @ 12:52
C’est une hypothèse cohérente.
7 novembre 2025 @ 14:18
Excusez mois, cause que j’ai traduit maladroitement de l’italien causa, veux dire procès
7 novembre 2025 @ 15:35
Elle avait visiblement les moyens de ne pas avoir de difficultés matérielles avec ce joyaux, elle l’a choisi on ne va quand même pas la plaindre
9 novembre 2025 @ 10:10
L’impératrice Zita ne s’est jamais plainte une fois car elle considérait qu’elle n’avait pas à le faire. Un Chrétien ne se plaint pas de son sort, il l’accepte.
9 novembre 2025 @ 12:12
Je pense que même si elle les avait vendus cela aurait procuré à ses enfants un confort de courte durée et ne les aurait pas incités à s’adapter à leur revirement de situation.
9 novembre 2025 @ 10:43
Madame Monique friezse
7 novembre 2025 @ 09:51
Ce serait bien de mettre la photo à l’endroit!!!
7 novembre 2025 @ 09:56
Il est très surprenant que Zita, qui avait un grand respect de la hiérarchie et du protocole, ait averti deux de ses fils mais pas l’héritier.
7 novembre 2025 @ 11:20
Mais Otto était l’héritier.!
7 novembre 2025 @ 14:54
Ce n’est pas lui qui était dans le secret.
7 novembre 2025 @ 14:56
…mais il n’a pas été mis au courant. C’est tout de même surprenant.
7 novembre 2025 @ 15:33
Euh oui Bastide, je suis « un peu » ou courant. Mais justement Otto ne savait pas que sa mère avait encore ces trésors en sa possession.
8 novembre 2025 @ 10:56
Je n’avais que survolé l’article.
J’ai fait une erreur et vous avez raison.
8 novembre 2025 @ 08:37
Oui, pourquoi ne pas avoir mis Otto dans le secret.
Quant à l’empereur Charles, de très nombreuses reliques se trouvent en Autriche, en Hongrie et dans une dizaine de sites français, dont la basilique Saint-Epvre de Nancy. Un reliquaire renferme un fragment d’ os.
7 novembre 2025 @ 10:12
Cela sous-entend que Zita qui a vécu dans une quasi pauvreté et recevait des subsides de monarchistes nostalgiques qui venaient les lui apporter à Louvain (une de mes connaissances le savait de son père étudiant à Louvain) ne voulut jamais vendre ces bijoux. Qu’espérait-elle qu’il deviendraient ? Les atours d’un nouveau souverain quand il récupèrerait la couronne des Habsbourg ? Elle aurait pu les vendre pour vivre.
Bizarre.
Je n’aime pas bcp Zita, car elle était très imbue de son rang et exigeait la révérence quand on venait la voir. Je pense à Saint François d’Assise, un vrai saint qui, lui, misait sur l’humilité . Et les projets de la béatifier ou canoniser font grincer des dents le catho que je suis.
Le couple Zita-Charles m’a toujours étonné. Quand on est pauvre et malade comme l’était Charles et qu’on craint pour sa vie, on ne met pas au monde une série d’enfants que la mère veuve aura du mal à élever.
Je trouve qu’il faut assortir le nombre de ses enfants à ses revenus et à sa santé. Une dame de mes connaissances me disait qu’elle ne comprenait pas que son fils, ayant un grave problème de santé avait voulu après deux enfants, un troisième et un quatrième. Quatre enfants qui risquaient de devenir orphelins de père.
7 novembre 2025 @ 12:09
On peut aussi voir les choses d’une manière un peu différente, Robin (mais Robin est Robin…🙂). Je défendrai donc, comme à mon habitude, la révérence. Si je m’étais inclinée devant cette femme, c’est en raison du symbole spirituel qu’elle est censée représenter. Et c’eût été même plus pour moi que pour ce symbole. Ceux qui ont l’expérience de cette délectation là, s’incliner, n’ont pas autre chose à faire que de partager, comme, le moment venu, nous reçevons des autres ce qu’ils veulent bien partager. Tout cela va tout simplement dans le bon sens et sans complications.
Quant à l’orgueil de Zita, il ne serait pas de nature à me faire obstacle. J’en sais suffisamment pour ne la comparer ni à un François ni à un Donald.
7 novembre 2025 @ 12:53
Cher Robin,
L’impératrice Zita n’exigeait pas la révérence. Elle lui était due en sa qualité de souveraine. Et il ne serait venu à l’idée de personne de ne pas la faire. Celles qui ne voulaient pas se soumettre à ce protocole ne demandaient pas à être présentées. La révérence est encore de mise dans le monde des monarchies. Elle n’est pas un signe de soumission mais de respect.
Les subsides que l’impératrice recevait n’étaient pas grand chose et ils ont cessé après la guerre.
Elle vivait simplement retirée dans une résidence mise à sa disposition à Zizers mais je ne pense pas qu’elle vivait dans l’humilité car elle avait conscience de son rang et du fait qu’elle était veuve du dernier empereur d’Autriche. C’était en hommage à la mémoire de l’histoire de leurs familles.
Je pense que si elle n’a pas vendu ces bijoux c’est qu’elle considérait qu’ils ne lui appartenaient pas. C’est une bonne chose que ces bijoux n’aient pas disparu dans des cassettes anonymes, au vu de leur aspect historique.
Elle n’avait aucune idée de restauration sur aucun des trônes. Aucun d’entre eux ne l’a jamais eu, comme me l’a confirmé l’archiduc Rodolphe. Il y a eu seulement une vague projet, en Autriche, avec les chanceliers Dollfuus et Schuschnigg. Elle a laissé le soin du devenir de ces bijoux à ses enfants. Je ne serais pas surpris que leur sort n’ait été décidé par l’archiduc Otto. Nous verrons ce qu’il adviendra.
Je ne suis pas d’accord avec le procès en béatification mais je reconnais à l’impératrice d’avoir vécu dans la dignité de son veuvage. Cela n’en fait pas une sainte mais une femme respectable. Et il y en a beaucoup mais le nombre n’enlève rien à la qualité.
Cosmo
8 novembre 2025 @ 12:30
Cosmo, je ne sais pas si vous êtes allé à Zizers. J’y suis passée pour voir la maison de retraite tenue par des religieuses où avait vécu l’impératrice Zita, pendant 27 ans. C’était le château des Salis jusqu’en 1897 quand une fondation religieuse l’acheta. La maison a été fermée en 2016. Avec les travaux de restauration de 1980-1982, l’extérieur du bâtiment a retrouvé toute sa splendeur et sa forme initiale, paraît-il. C’est, désormais, une résidence de luxe donc, à l’entrée il est écrit « propriété privée, défense d’entrer ». Cela ne m’a pas empêchée d’entrer dans le jardin à la recherche de souvenirs de Zita. Et j’ai pu lire sur une plaque (posée peut-être sur le mur de l’aile du château où vivait l’impératrice) : « Depuis 1962, Impératrice et Reine Zita, décédée à St Johannes-stif-Zizers le 14 mars 1989. Bienheureuse dans le Seigneur. Notre haute Mère dans l’amour et la gratitude ». Suivent les signatures des donateurs de la plaque.
L’impératrice avait une vue magnifique sur les hautes montagnes qui entourent Zizers. Je sais que trois dames de compagnie se sont succédé durant les vingt-sept ans de son séjour. Elles prenaient leurs repas à part avec l’impératrice.
9 novembre 2025 @ 10:19
Je ne suis pas allé à Zizers. En fait quand j’ai écrit mon ouvrage » Charles et Zita, derniers souverains d’Autriche-Hongrie, je suis allé sur la plupart des lieux dans lesquels ils ont vécu, mis à part Madère. le plus impressionnant et émouvant a été l’abbaye de Tihany où ils ont été incarcérés après l’échec de la deuxième tentative de restauration. J’ai eu la chance de faire des visites privées des lieux mais aussi de l’évêché de Szombathely et bien d’autres endroits, non ouverts au public, du moins à l’époque.
8 novembre 2025 @ 12:42
Si je peux comprendre certaines réserves de Robin, je crois votre propos mesuré plus objectif cher Cosmo. Si j’avais été présentée à l’impératrice, j’aurais évidemment fait la révérence, simple marque de respect pour une ancienne souveraine.
8 novembre 2025 @ 15:03
Oui, cher ami, Zita était une femme respectable, mais nous en connaissons tous. Le procès en béatification révulse le catho pratiquant que je suis.
D’aucuns ici me contredisent sur la maladie de Charles pendant ses dernières années. Si j’ai tort, je ferai amende honorable. Vous êtes une autorité sur ce couple impérial et si votre avis réglera la question.
9 novembre 2025 @ 10:45
Cher Robin,
Le procès en béatification ne me révulse absolument pas. Il ne m’intéresse pas du tout car je le trouve injustifié. Vous savez que j’avais été contacté pour m’en occuper et que j’ai refusé, demandant à l’archiduc Rodolphe de contacter Jean Sévillia et Elisabeth Montfort, qui en ont fait leur miel mondain.
Oui, l’empereur Charles souffrait de problèmes cardiaques avant même son exil à Madère. Ils ont été décelés dès 1917. Il avait eu une crise cardiaque en 1918, lors de l’affaire Clemenceau/Czernin et une autre à Eckartsau, le premier lieu d’exil, en Autriche, la Noël 1918.
Je pense que cette insuffisance, sans avoir causé sa mort, l’a affaibli quand il a été pris de pneumonie.
je suis moins catégorique que vous quant au nombre d’enfants. Il ne faut pas oublier que c’était la règle dans les familles royales et paysannes, par conviction religieuse. La bourgeoisie, elle, pour des raisons économiques s’en tenait à deux ou trois enfants.
Si la famille impériale a vécu dans une pauvreté relative, aidée par certains aristocrates espagnols et hongrois, puis par la reine Elizabeth de Belgique, cousine germaine de l’impératrice, elle n’en a pas souffert. Pas une fois l’archiduc Rodolphe n’a évoqué la privation comme injuste. C’était comme ça et la famille faisait avec. Quand ils ont été plus grands, l’impératrice a dit à ses enfants qu’ils n’avaient pas d’argent et seules de bonnes études leur permettrait de s’en sortir dans la vie. Et c’est ce qu’ils ont fait, ils ont tous travaillé.
L’archiduc Rodolphe m’avait confié que ce dont il était le plus fier dans sa vie n’était pas sa naissance, due au hasard, mais d’avoir été capable, en me montrant sa maison, d’offrir un toit à sa famille et d’avoir travaillé pour assurer sa subsistance.
La vente des bijoux ne leur aurait rien apporté de plus et je suis certain qu’aucun d’eux ne l’aurait souhaitée.
Si les Habsbourg, aujourd’hui, continuent à bénéficier du respect de tous, c’est par leur fidélité à leurs principes et le refus de toute compromission. Cela ne veut pas dire qu’ils refusent la modernité et ses avantages.
Bonne semaine
Cosmo
7 novembre 2025 @ 13:08
Je vous trouve rude pour la révérence,..il me semble que les reines actuelles y ont droit,pourquoi aurait elle du y renoncer ?
L’exil n’annule pas le prédicat .
Bonne journée
7 novembre 2025 @ 14:06
Je pense exactement comme vous!
Vivre au crochet des autres alors qu’on peut se débrouiller seule …..
Vendre quelques bijoux aurait suffit pour être indépendant !
Il faut dire que le dernier empereur était un piètre politique et personne ne lui apporta de confiance ni ne l’aida …….
8 novembre 2025 @ 15:15
Seules les personnes appartenant à des familles où l’on se transmet depuis plusieurs siècles un patrimoine, sous toutes ses formes, immobilier ou mobilières,peuvent comprendre cette façon de penser.
9 novembre 2025 @ 10:51
Chère Trianon,
Il y aussi la transmission du respect dû à soi-même et à ses ancêtres. Cela exige souvent des sacrifices personnels. On préfère réparer une toiture à une croisière ou un séjour sur la Riviera. Le respect de son histoire l’impose.
Un de mes arrière-grands-pères n’a pas eu ce respect et, par vice, a dilapidé son héritage important financièrement et historiquement. Il a préféré son plaisir à son devoir.
Bonne semaine
Cosmo
10 novembre 2025 @ 11:18
Cher Cosmo,merci pour votre réponse, en effet vos précisions vont dans le même sens de ce sens des priorités qui font que l on préfère se passer de certaines choses pour en préserver et transmettre d’autres.
Quant à votre arrière grand père ,toutes les familles anciennes ont leur lot de dilapideurs…moi c’est une arrière grand mère qui décida de ne pas restreindre son train de vie pendant la guerre de 14..mon arrière grand père rentra de la guerre et je vous laisse deviner l’ambiance quand il constata certaines ventes ..
Bonne semaine Cosmo
9 novembre 2025 @ 16:49
Et bien quand on voit comment ont fini les bijoux des Orléans par exemple, il faut croire que toutes les familles n’appliquent de la noblesse pas ce principe.
10 novembre 2025 @ 11:25
Ils ont l’Histoire de France en héritage,c’est déjà pas mal :)
10 novembre 2025 @ 09:31
En effet, Trianon, j’ai des proches dont l’ancêtre avait reçu du tsar Alexandre 1er, en remerciement, un somptueux service d’argenterie dont un plat rond désigné par sa famille sous le nom de “plat du Tsar”. Et d’autres à qui Elisa Bacciochi avait offert un service de ravissantes assiettes de Sèvres que j’admirais quand je venais chez eux. A ma connaissance ni « le plat du tsar » ni les « assiettes d’Elisa » n’ont été vendus. Cependant l’indivision complique les successions et peut provoquer des brouilles familiales tenaces. Et je ne suis pas sûre que les jeunes générations accordent autant d’importance aux souvenirs historiques.
10 novembre 2025 @ 11:23
Chère Passiflore,
Ce sont des vrais trésors ,parce qu’ils racontent l’histoire de la famille !
Je comprends votre attachement et le souci de votre famille de ne pas vendre ,
Quant aux conflits de succession…un ami notaire me disait que quel que soit le milieu ,il y a 9 fois sur 10 des brouilles.Pour certains c’est un living en cuir,pour d’autres un château ou autres jolies choses .
Concernant la jeune génération et son desamour de l’ancien,je ne peux que constater la même chose ,moi qui suis souvent en salle des ventes cela fait mon bonheur ,personne ou peu enchérissent.
En revanche je suis heureuse de voir que mes 3 enfants , 31 ,28 et 23 aiment l’ancien,mais pas de la même manière que la génération d’avant .Ils aiment mixer les meubles ancien avec des objets plus modernes,et au fond c’est pas mal comme résultat !
7 novembre 2025 @ 15:13
Charles n’était pas malade
Charles n’était pas malade avant que ses enfants viennent au monde !
9 novembre 2025 @ 10:53
L’empereur Charles était sujet à des crises cardiaques depuis 1917 comme je l’ai expliqué dans ma réponse à Robin des Bois, ci-dessus.
8 novembre 2025 @ 09:09
Robin des Bois, commentaires après commentaires, je lis que tel prince n’a pas fait d’études sérieuses et ne « fiche rien » et je suis d’autant plus admirative devant l’impératrice Zita, qui a fait faire des études non seulement à l’héritier mais à tous ses enfants sans moyens financiers. Elle avait, d’abord, demandé aux bénédictins de Pannonhalma de les instruire, à Lekeitio, puis les a inscrits aux universités de Louvain et de Laval. Ils en sont sortis tous diplômés, l’archiduchesse Adelaïde ayant obtenu un doctorat en sciences sociales, en 1938. Et ils ont exercé une profession.
Quant aux familles nombreuses (9, 10, 11 enfants), celles que je connais avaient très peu de moyens et leurs enfants ne sont pas plus malheureux que celles d’un ou deux enfants. Leurs réunions de famille sont très joyeuses et ils s’amusent à évoquer leurs souvenirs.
Je ne pense pas que l’empereur Charles avait une mauvaise santé. On a toujours dit qu’il avait attrapé froid en achetant un cadeau pour un de ses enfants et que, mal soigné, il était mort près d’un mois après.
8 novembre 2025 @ 10:44
Passiflore, je l »ai entendu dire par l »archiduc Charles-Louis et me suis dit que le fils concerné avait peut-être du mal à se dire cela…
9 novembre 2025 @ 09:05
Zulma, qu’avez-vous entendu dire par l’archiduc ?
9 novembre 2025 @ 14:26
Passiflore, que l’empereur avait pris froid en allant chercher un cadeau d’anniversaire.
8 novembre 2025 @ 15:08
Les Habsbourgs ont toujours misé sur l’instruction et les études. Ce n’est pas un hasard si les fils de Charles ont tous travaillé et pu gagner leur vie. Je savais, ayant des amis belges, tout sur Louvain.
Je ne fustige pas le manque d’études en soi, mais la paresse qui empêche de profiter de la chance de pouvoir faire des études. Car c’est une chance que tous n’ont pas. Ils travaillent chez Mac Do ou font des emprunts. Ou doivent compter sur la charité d’autrui.
J’avais une collègue qui me disait que sans l’aide d’une tante aisée, elle n’aurait pu faire des études universitaires, pcq elle venait d’une famille de 7 enfants.
Vous déformez mes propos, je ne sais pas pourquoi.
9 novembre 2025 @ 10:34
Non, Robin des Bois, je ne déforme pas vos propos. Je ne vous visais pas du tout concernant les princes qui ne faisaient pas d’études : je le lis tous les jours de la part de plusieurs internautes. Pour les familles nombreuses, j’ai réagi puisque j’ai des exemples d’enfants qui ont pu être élevés normalement malgré le manque d’argent. Personnellement, une des grand’mères s’est trouvé veuve à 42 ans avec 9 enfants. Ses fils ont fait Saint-Cyr (études gratuites) et ont changé de voie plus tard.
9 novembre 2025 @ 13:44
A cette époque royaux ou manants avaient ils le choix du nombre d’enfants ?
Mon arrière grand mère a eu 9 enfants : 8 garçons et une fille @ et cette dernière a dû renoncer à sa propre vie de famille pour aider sa mère.
Enceinte chaque année durant 10 ans et des jumeaux pour terminer la série.
Après…Le père est décédé @ ouf ! Je ne devrais pas dire cela mais…
7 novembre 2025 @ 10:15
Jolie histoire, qui nous replonge dans la grande Histoire du XXe siècle.
Quelqu’un peut-il m’expliquer pourquoi l’impératrice a demandé à ses héritiers de ne révéler l’information (que les joyaux se trouvaient au Canada) que 100 ans après la mort de l’empereur Charles, pour des raisons de sécurité ?
Quel risque y avait-il à révéler cela plus tôt ?
7 novembre 2025 @ 10:37
Des bijoux planqués au Canada peuvent encore se retrouver… pour ceux qui arrivent à gagner l’Algérie , c’est douteux .
7 novembre 2025 @ 12:23
Dans un musée et surement cambriolé
7 novembre 2025 @ 10:41
Parfois des nouvelles agréables……
On comprend mieux certaines choses.avec ces révélations.
7 novembre 2025 @ 11:06
L’impératrice n’était pas partie les mains vides.
7 novembre 2025 @ 14:10
Et la tête pas bien pleine .
9 novembre 2025 @ 10:54
Comment pouvez-vous dire une telle chose ? Insulter la mémoire d’une femme admirable de dignité et de bon sens.
12 novembre 2025 @ 09:04
Vous avez raison,je suis ridicule .
Ce sont les bondieuseries qui l’entourent qui influencent mon opinion .
13 novembre 2025 @ 12:24
Baboula, pour ma part je parlerais plus de mondanités, snobisme et arrivisme que de bondieuseries.
7 novembre 2025 @ 11:16
Les enfants de Charles et Zita ont eu une éducation spartiate. L’impératrice tirait le diable par la queue. Acheter une paire de chaussures grevait le budget. Qu’elle ait préféré conserver ce petit trésor intact plutôt que d’en vendre une partie pour améliorer l’ordinaire des siens me laisse perplexe. En tous cas, ce n’était pas une femme intéressée !
7 novembre 2025 @ 12:50
Un peu moins imbue de son rang et un peu plus soucieuse d’améliorer l’ordinaire de sa progéniture, cela aurait été mieux.
9 novembre 2025 @ 10:59
Pas faux et je partage votre avis sur le dossier de la canonisation de Zita.
7 novembre 2025 @ 13:10
J’imagine qu’elle faisait tous les sacrifices possibles dans l’espoir que son fils remonte sur le trône.
Échanger des bijoux historiques contre de la nourriture ou des chaussures devait la révulser .
Je peux comprendre .
8 novembre 2025 @ 12:18
Chère Trianon,
L’impératrice Zita savait que l’empire avait disparu à jamais. Mais quand l’archiduc Otto a fait allégeance à la République autrichienne, elle en a été furieuse et le lui a fait savoir. L’archiduc Rodolphe m’a raconté que c’était la première et unique fois qu’il a entendu sa mère parler aussi violemment, l’incident ayant eu lieu chez lui. L’impératrice reprochait à son fils de ne pas respecter les dernières volontés de son père qui avait interdit cette allégeance à tous les membres de sa famille sous peine de la perte de leur statut.
La décision de l’archiduc Otto a été dictée par le désir de servir en politique. Quand j’ai dit à l’archiduc Rodolphe que son frère ne pouvait donc plus être chef e la famille impériale; il m’a révélé qu’après un conseil de famille il avait été décidé de lui conserver cette qualité, jugeant inutile d’ouvrir une querelle dynastique qui n’avait pas lieu d’être en raison de la perte définitive de tous leurs trônes.
Quand l’archiduc Otto s’est vu offrir, après la chute du mur, une position officielle en Hongrie, une sorte de restauration qui ne disait pas son nom, il s’est empressé de refuser.
Je ne pense pas qu’il apprécierait aujourd’hui l’attitude de son fils Georges, qui s’est lié à Orbàn.
Bon weekend
Cosmo
9 novembre 2025 @ 10:58
Intéressant, merci pour l’explication.
9 novembre 2025 @ 16:09
Merci cher Cosmo pour votre réponse édifiante qui m’apprend comme toujours quelque chose.
Bon dimanche
10 novembre 2025 @ 08:46
.Merci Cosmo pour votre commentaire. L’ archiduc Otto était très respecté en Lorraine et il tenait à ce que ce nom soit bien associé à Habsbourg. Quant à l’ attitude de son fils, je pense comme vous qu’ il ne l’ aurait pas acceptée.
10 novembre 2025 @ 12:37
J’ai toujours eu bcp de considération pour l’archiduc Otto et il a fait honneur à sa famille, dans ses choix, et aussi dans sa vie.
7 novembre 2025 @ 13:28
Peut- être très intéressée au contraire. Elle préférait qu’on lui donne de l’argent.
7 novembre 2025 @ 14:40
L’impératrice Zita devait se considérer comme la dépositaire d’un bien qui ne lui appartenait pas.
8 novembre 2025 @ 11:01
Je partage cette explication.
8 novembre 2025 @ 14:43
C’est une explication.
8 novembre 2025 @ 15:14
Je partage totalement votre point de vue, mon commentaire plus haut placé va dans ce sens .
9 novembre 2025 @ 14:29
Je partage votre avis Cosmo.
7 novembre 2025 @ 12:07
C’est une bonne nouvelle mais quel imbroglio! Pourquoi Zita n’a -t-elle pas mis Otto
l’héritier au courant de l’existence de ces bijoux et pourquoi si elle voulait garder le secret n’a-t-elle pas demandé qu’il soit levé à sa propre mort ? Ce serait bien que d’autres soient retrouvés.Que vient faire l’Algérie dans cette affaire comme mentionné plus haut?
8 novembre 2025 @ 14:59
L’Algérie a été la destination première pour la tentative de fuite d’un des suspects du braquage du Louvre
9 novembre 2025 @ 07:42
Peut-être Otto homme très pragmatique eût voulu en vendre un peu pour sortir un peu de la dèche….c’est possible.
7 novembre 2025 @ 12:37
Jolie histoire
7 novembre 2025 @ 13:40
Vu la gêne dans laquelle la famille a vécu, je trouve triste que ces bijoux soient restés cachés pendant une centaine d’années alors qu’ils auraient pu servir à améliorer la vie quotidienne. Je n’adhère pas à cette philosophie. J’ai lu que les bijoux seraient donnés à un musée canadien pour y être exposés. Ce n’est pas leur place, ils devraient revenir en Autriche.
8 novembre 2025 @ 12:06
Au vu de l’attitude scandaleuse de la République autrichienne face aux Habsbourg, elle ne mérite pas que ces bijoux lui soit retournés.
10 novembre 2025 @ 12:38
Je vous suis 100 %. L’équité la plus élémentaire exigerait que quand on confisque les biens d’une famille royale déchue, on compense par une pension .
8 novembre 2025 @ 12:48
L ’Autriche est fort consentante pour exploiter son passé impérial à des fins touristiques mais par ailleurs la république d’Autriche n’a eu aucune bienveillance envers les Habsbourg et j’estime pour ma part qu’il aurait été contrariant que ces bijoux qui faisaient partie du patrimoine privé lui reviennent.
Au fond la solution choisie semble la meilleure.
Le Florentin a été en Bourgogne, Italie, France avant d’aboutir à Vienne et il a toujours été considéré comme un bien privé, Napoléon l’avait offert à Marie Louise qui l’a emporté avec elle lorsqu’elle est revenue à Vienne et de là il est passé je ne sais comment dans le patrimoine privé de Charles 1er.
Si celui-ci s’était ”servi” dans les biens de la Couronne il aurait emporté bien davantage.
9 novembre 2025 @ 10:56
Quand j’estime que les bijoux devraient revenir en Autriche, je ne remettais pas du tout en cause la propriété des Habsbourg. Je pense juste que s’ils sont destinés à être exposés, ils seraient mieux en Autriche qu’au Canada.
10 novembre 2025 @ 11:48
Ils seront vraisemblablement exposés au Canada.
Sinon le Florentin aurait pu aboutir au palais Pitti.
Ce diamant exceptionnel mérite un lieu digne de son histoire.
Le reste des bijoux n’a pas sa valeur historique.
Certains pourraient être négociés, encore faudrait-il trouver un bénéficiaire qui en soit digne.
9 novembre 2025 @ 11:14
Cher Hervé,
Il y a un autre problème, loin de bijoux.
Le corps de l’empereur Charles, comme vous le savez, repose à Madère. La République autrichienne avait émis le vœu de son transfert à la Crypte de Capucins. Il fallait pour cela obtenir le consentement des autorités de Madère et celui de la famille impériale. Cela a été refusé.
Madère a accueilli un empereur en exil, chassé par les socialistes de la nouvelle république, c’eut été une insulte à la mémoire de l’empereur et au pays d’accueil que de le rapatrier dans un pays qui l’a chassé.
Le Bienheureux Charles d’Autriche repose en sa terre d’accueil.
Il avait demandé à rentrer avant sa mort, cela lui a été refusé de la manière la plus injuste. Il est normal qu’il repose au sein du peuple qui lui a montré tant de sollicitude. Quand la population de Madère a connu le dénuement de la famille impériale, elle leur a fourni la nourriture dont elle manquait. Mais c’était trop tard.
L’Autriche n’a aucune raison de recueillir les bijoux en question. L’impératrice et ses enfants étaient persona non grata dans leurs pays, même en 1945 après avoir combattu le nazisme, alors que le peuple autrichien a accueilli Hitler à bras ouverts en 1938, les socialistes restant au pouvoir. En Tchécoslovaquie Benès avait déclaré : » Plutôt Hitler que les Habsbourg ». Et Victor Adler, socialiste autrichien, souhaitant l’Anschluss depuis 1918. C’est tout dire.
Ce serait une insulte à la mémoire de l’impératrice Zita que de les donner à l’Autriche. Le Canada les mérite plus.
Bonne semaine
Cosmo
10 novembre 2025 @ 11:41
Non seulement je suis de votre avis mais je note avec respect votre témoignage.
Madère est un bel endroit à ce que je crois savoir.
Bonne semaine à vous .
10 novembre 2025 @ 12:45
Je suis d’accord avec vous.
Mais si les habitants de Madère venaient apporter de la nourriture au couple impérial, si celui-ci en était à ce point de précarité, je persiste et signe dans ma critique de la procréation échevelée du mari malade. Car il était malade aussi.
9 novembre 2025 @ 12:26
Au contraire je considère que les archiducs démontrent leur grandeur d’âme et leur reconnaissance de vouloir les confier à un musée du Québec. Car c’est le Québec qui leur a ouvert la porte, permis de survivre et d’éduquer les enfants jusqu’aux niveaux universitaires. Le Québec a aussi envoyé des milliers de ses fils se faire massacrer en France et en Belgique lors du débarquement. Comme les Archiducs disent, ces joyaux appartiennent à l’humanité. Ce pourquoi l’impératrice ne les a pas décimés pour des souliers ou des aliments. Elle savait protéger le poids de l’histoire. C’est une merveilleuse histoire. Et le Québec a su non seulement offrir à cette famille sécurité et futur, mais aussi protéger ces joyaux pendant plus de 100 ans. Ce qui est un exploit. Je suis fière de mes racines. Je suis honorée que les Archiducs aient toujours été reconnaissants envers le Québec et le Canada.
Et tout compte fait, nous avons été peuplés sous Louis XIV. Donc la montre de Marie Antoinette ne devrait-elle pas reposer aussi au Québec?? En tous les cas nous ne sommes pas aussi stupides que les responsables de la sécurité du Louvres ni du dernier Compte de Paris qui a dilapidé les joyaux de la famille pour ses dettes de jeu, ce qui est un sacrilège par rapport à l’histoire.
Nous québécois traversons l’Atlantique pour aller visiter le Louvres….Les Européens pourront aussi venir au Québec visiter nos musées et notre si belle terre!
7 novembre 2025 @ 14:07
100 ans , est ce une date légal pour ne pas les rendre à l’Etat autrichien ? au quelques choses comme ca ?
7 novembre 2025 @ 15:37
Pour connaître le destin d’un autre trésor national européen en exil au Canada pendant la guerre 1939-45 jusqu’en 1961, lire l’article qui suit.
8 novembre 2025 @ 08:44
Quelle histoire fantastique… résilience, courage et clairvoyance de l’ impératrice Zita. Elle a su protéger cet héritage historique qui en fait appartient à l’humanité.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2206315/decouverte-diamant-florentin-voute-quebec
8 novembre 2025 @ 08:49
Un second lien fort intéressant.
https://lp.ca/dK8Wdo?sharing=true
8 novembre 2025 @ 10:19
Tout espoir est donc permis. Cependant, je crains que les circonstances du vol des bijoux du Louvres ne permettent pas un tel dénouement. Il est certainement déjà trop tard. E.Macron a affirmé droit dans ses bottes « les bijoux seront retrouvés » en tapant du pied comme un enfant gâté. Il suffit juste de le vouloir peut-être…
On attend toujours.
8 novembre 2025 @ 15:10
Patricia, mon post ci-dessous, mal placé répondait à Cosmo et concernait l’état de santé supposé du dernier empereur d’Autriche-Hongrie.
9 novembre 2025 @ 07:40
Hélas je crains fort que vous n ‘ayez raison……
8 novembre 2025 @ 11:36
Quelle est la plus grande valeur celle des bijoux volés au Louvre ou celle de ces bijoux mais ces derniers n’ont peut-être pas encore été expertisés ,
9 novembre 2025 @ 12:09
A les voir, hormis l’exceptionnel Florentin et peut-être cette toison d’or ,leur valeur vénale ne paraît pas considérable, les pierres du Louvre ont peut-être une estimation supérieure, mais le diamant fait toute la différence, c’est une pierre historique prestigieuse et en plus un mystère entourait sa disparition qui ajoute encore à son intérêt.
En lui même je trouve que c’est une très belle pierre avec une couleur subtile sans doute assez rare .
Je ne sais pas s’il y a des portraits de la reine Marie–Antoinette portant cette pierre ?
8 novembre 2025 @ 12:16
Quel est l’objet de cette fondation Habsburg Héritage?
Pourquoi ces bijoux sont ils dans une banque canadienne depuis plus de 80 ans?
Ce sont là de bonnes questions ?
8 novembre 2025 @ 12:21
@.e.Koechert
pour en savoir plus sur les bijoux notamment la broche verte et rouge du couronnement de Sissi.
8 novembre 2025 @ 14:02
Et moi je remercie du fond du coeur mon cher Canada, mon cher Québec d’avoir recueilli cette Famille que j’admire tant et de conserver ces bijoux inestimables.
8 novembre 2025 @ 15:09
Oui, cher ami, Zita était une femme respectable, mais nous en connaissons tous. Le procès en béatification révulse le catho pratiquant que je suis.
D’aucuns ici me contredisent sur la maladie de Charles pendant ses dernières années. Si j’ai tort, je ferai amende honorable. Vous êtes une autorité sur ce couple impérial et si votre avis réglera la question.
10 novembre 2025 @ 11:54
En quoi cela vous revulse-t’il ?
Vos grandes connaissances devraient vous faire savoir que des Saints il en existe de bien des sortes au fil des siècles et tous les Saints ne figurent pas au calendrier.
De toute façon l’affaire n’est pas réglée.
Il s’en est sans doute fallu de peu pour que l’abbé Pierre soit en instance de béatification….
Ma Sainte préférée est Sainte Marie l’Égyptienne 🙏.
Une Sainte très à part .
Il y a tellement de Saints et de Saintes que chacun peut y faire son miel.
9 novembre 2025 @ 11:29
Sujet et commentaires intéressants.
9 novembre 2025 @ 16:55
Mouais…
Et que vont devenir ces bijoux ?
10 novembre 2025 @ 11:02
Ils vont être exposés dans un musée au Canada.
11 novembre 2025 @ 14:12
Par les temps qui courent mieux vaux les enfermer en lieux sur. Et jeter la clef…