Parution de trois bande-dessinées consacrées aux 500 ans de l’avènement de François Ier. (Merci à Anne P.)
Bande dessinée sur François Ier
13 Comments
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15 mars 2015 @ 10:35
Décidément, les bandes dessinées sur les personnages historiques sont à la mode ces dernières années. On peut citer, par exemple, la collection « Ils ont fait l’histoire » (Vercingétorix, Charlemagne, Gengis Khan, Saint Louis, Philippe Le Bel, Soliman le Magnifique, Napoléon, Jaurès) ou les Reines de sang (Aliénor, Isabelle, Frédégonde,…).
15 mars 2015 @ 13:08
Bonjour à tous,
Cher Conan,
Pour en avoir vendu à des parents qui veulent faire connaître l histoire à leurs enfants, ils ont assez de succès, et en général, sont bien explicatifs. Il faut, à mon avis, dans les châteaux, divers ouvrages qui sont adaptés à des âges divers. Je suis pour à 100%.
15 mars 2015 @ 15:43
Tout à fait d’accord Claude-Patricia et Blouin également; les BD c’est instructif, léger et agréable à lire (pour tous) et il y a de la place pour l’humour. Bon dimanche à tous, FdC
15 mars 2015 @ 20:13
C’était juste un constat, pas une critique
J’ai moi même les bandes dessinées citées dans mon précèdent commentaire… comme l’excellente série en bande dessiné Le trône d’argile…
16 mars 2015 @ 12:55
Bonjour à tous,
Cher Conan,
Rassurez-vous, je vous ai compris! C’est le « décidemment » qui m’avait interpellée, mais ce n’est pas bien grave. Chacun, nous nous exprimons d’une certaine manière et l’autre reçoit le message à sa façon aussi,..
15 mars 2015 @ 11:41
Heureusement qu’il y a ces bandes dessinées pour que les enfants (et les autres) puissent connaître ces personnages que l’éducation nationale évacue.
15 mars 2015 @ 14:29
Rien de nouveau !
Les livres d’histoire que nous avions dans les petites classes étaient abondamment illustrés de dessins coloriés (avec peu ou pas de photos) :
Vercingétorix rendant ses armes à Jules César, les châteaux forts, Saint Louis rendant la justice sous un chêne, Henri IV à quatre pattes avec ses enfants sur le dos, Richelieu devant La Rochelle, Louis XIV dans la galerie des glaces etc ….
On enseignait l’histoire de France et pas celle des autres pays.
L’Autriche, l’Espagne, l’Angleterre, par exemple, n’apparaissaient que par incidence.
Dans les lycées – réservés de fait aux fils de la bourgeoisie – on apprenait l’histoire romaine et grecque qui restent encore un grand « marqueur social ».
Tout ce qui meuble les cerveaux des petits et des grands est bon à prendre.
Ces bandes dessinées sont donc les bienvenues et, nous, les personnes âgées, avons, en plus, « Noblesse & royautés » pour combler nos lacunes.
16 mars 2015 @ 13:54
Les commentaires favorables à l’approche, l’enseignement de l’histoire de France reflètent, ô combien, mon avis, bonne semaine à tous !
Aimable clin d’œil de Zeugma au site de NetR qui contribue merveilleusement à combler notre (ou plutôt) mon ignorance sur nombre de sujets.
17 mars 2015 @ 19:45
Je me souviens aussi de St Martin coupant son manteau, de St Vincent de Paul couvrant un homme quasiment nu dans la neige, de Louis XI et son chapeau bien particulier… tant d’images qui ont marqué nos enfances !
15 mars 2015 @ 14:38
Reynald Secher, c’est du haut de gamme
15 mars 2015 @ 15:36
J’ai beaucoup aimé l’émission de la semaine dernière sur François 1er car elle nous a permis de le connaître sous un autre angle.
Une fois de plus on peut constater que les femmes servent bien les hommes, l’histoire se répète et bravo à nos reines et princesses actuelles.
15 mars 2015 @ 22:10
De nos jours,les enfants ont la flemme de lire des livres d’histoires illustrée.On peut donc les inciter à se passionner pour la lecture de l’Histoire de France à l’aide des bandes dessinées!
16 mars 2015 @ 09:00
Quand ma fille avait 6 ans, je lui achetais » Le petit Léonard », un journal intelligemment consacré à l’initiation des enfants à l’art.
Quelques mots sur la biographie du peintre, des jeux malins et un côté ludique, qui lui a plu jusqu’à environ 11 ans où elle est passée au Taschen.
Je crois que ce magazine existe toujours et il vaut vraiment la peine d’être lu.
Chaque numéro s’appuyait sur une exposition phare du moment.
J’avoue que je le lisais aussi, en douce.