Décès le 3 avril 2025 du prince Andreas de Saxe-Cobourg, chef de la maison princière allemande. Le prince souffrait de la maladie de Parkinson.
MoreDécès du prince Andreas de Saxe-Cobourg (1943-2025)
66 Comments
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4 avril 2025 @ 09:19
Il était prince de Saxe-Cobourg et Gotha. L’appeler prince de Saxe-Cobourg est tout à la fois impropre et agaçant.
4 avril 2025 @ 13:22
Ah oui, très agaçant.
4 avril 2025 @ 13:38
Ah oui oui oui, très très agaçant. Je dirais même mieux très très agaçant. Ah là là …
Lionel ou comment s’agacer d’un rien – tout un programme.
4 avril 2025 @ 18:03
😊
4 avril 2025 @ 23:43
Quand on n’est pas capable de citer avec rigueur des sources, on ne commente pas, Tulipe fanée…..
5 avril 2025 @ 13:12
En effet Lionel, j’ai cité mes sources sur cette rubrique :
http://www.noblesseetroyautes.com/les-enfants-du-duc-ferdinand-de-saxe-cobourg-gotha-et-leur-descendance/
Ernst I (1784-1844), Herzog von Sachsen-Saalfeld-Coburg en 1806, et Herzog von Sachsen-Coburg-Gotha en 1826, était le père d’Ernst II (1818-1893) Herzog von Sachsen-Coburg-Gotha, sans descendance et d’Albrecht (1819-1861), Prinz von Sachsen-Coburg-Gotha, époux de la reine Victoria.
5 avril 2025 @ 18:53
Mais c’est qu’il mordrait le Lion….el !
4 avril 2025 @ 14:13
😂😂😂
24 avril 2025 @ 13:21
aujourd’hui 24 avril 2025, à midi, une cérémonie privée a eu lieu en présence du couple royal de Suède ainsi que de leur fille Madeleine (fileule du défunt prince Andreas de Saxe-Cobourg et Gotha) et Christopher O’Neil. Quelques photos ont été prises leur arrivée: https://www.gala.de/royals/skandinavier/schwedische-koenigsfamilie–die-bilder-zur-trauerfeier-fuer-prinz-andreas-von-sachsen-coburg-24356962.html.
4 avril 2025 @ 09:38
Mes pensées accompagnent Hubertus et sa famille.
4 avril 2025 @ 16:47
Et cette famille aussi…vous la connaissez ? alors pourquoi ne pas leur parler directement ?
5 avril 2025 @ 14:39
Vous tournez en boucle.
Sachez que cela se soigne.
4 avril 2025 @ 20:30
Triste nouvelle. Le prince est décédé 2 ans après son épouse.
Le prince était le cousin germain du roi de Suède, dont la mère était la princesse Sibylla de Saxe-Cobourg-Gotha.
Les enfants du roi de Suède sont les parrains des 3 enfants du prince Hubertus. Les prénoms Philipp et Madeleine sont d’ailleurs des hommages évidents au prince Carl Philip et à la princesse Madeleine de Suède.
5 avril 2025 @ 09:41
Le prince Andreas était un des parrains de la princesse Madeleine de Suède.
5 avril 2025 @ 14:39
Oui, merci de ces précisions.
6 avril 2025 @ 09:30
notre roi Philippe est aussi parrain d un des enfants
4 avril 2025 @ 10:10
Sincères condoléances à la famille
4 avril 2025 @ 10:11
Ses nouvelles ces derniers jours n’étaient pas de bon espoir. Que son âme repose en paix.
4 avril 2025 @ 10:33
Très dur de vivre avec la maladie de Parkinson !
Au moins, le décédé avait le bonheur d’être grand- père des fils portant leur titre héréditaire.
4 avril 2025 @ 10:36
Le prince Andreas est décédé à Cobourg.
6 avril 2025 @ 11:15
Le père du prince, ses oncles et son grand-père, étaient tous adhérents ou proches du parti nazi. Né en 1943, lui n’y est évidemment pour rien. Reste une hérédité (même si on s’en éloigne, s’en affranchit, ou la rejette, elle existe) sans doute assez lourde à porter, quoiqu’évidemment très commune chez ceux de sa génération.
7 avril 2025 @ 21:58
Oui Pierre-Yves, père et grand-père furent proches des nazis si ce n’est nazis eux-mêmes. Comme vous le soulignez fort justement, le défunt n’y est évidemment pour rien puisqu’il n’avait que deux ans à la fin de la seconde guerre mondiale. Pourquoi donc rappeler ici aujourd’hui les méfaits de ses ascendants ? Élevé par sa mère et son beau-père américain aux Etats-Unis, le prince Andreas n’a réellement connu l’Allemagne qu’à sa majorité et n’a jamais été très proche de son père.
8 avril 2025 @ 13:14
Je le rappelle parce que cela fait, malgré lui sans aucun doute, partie de son histoire. Et je ne serais pas étonné que ses choix de vie aient été, au moins en partie, dictés par la volonté de se démarquer le plus possible de cette hérédité pesante.
J’ai un ami dont le père fut, jeune homme pendant l’Occupation, un collaborateur zélé. Ca a beaucoup marqué son fils, qui, s’il ne peut pas effacer ce bagage, s’est efforcé de construire une vie qui se tienne le plus loin possible de celle de son père.
4 avril 2025 @ 10:58
Je me suis fait un cahier pour m’y retrouver dans la descendance de la Reine Victoria. Pour faire simple, si j’ai bien compris, la reine Victoria a eu un fils Rodolphe, avant-dernier de ses 9 enfants. Ce prince Rodolphe s’est marié et est mort jeune (hémophilie !). Il a eu une fille ,Alice, et son fils Charles Edouard est né après la mort de son père. Ce dernier aura une vie bien compliquée… Il se mariera et aura 5 enfants, dont le dernier : Frédéric Josias… Ce dernier se mariera à son tour et son fils aîné est le Prince Andréas qui vient de mourir.
Le Prince Andréas est l’arrière-arrière petit fils.
J’espère que j’ai bien compris ! Merci de me rectifier si je me suis trompée.
4 avril 2025 @ 12:58
Volysia
Le dernier fils de la reine s’appelait Leopold et non Rodolphe. Concernant ses enfants tout est exact. Bravo pour vos recherches..
4 avril 2025 @ 19:43
oh merci ! je rectifie ! pas facile de se retrouver dans toute la descendance de la reine Victoria !
6 avril 2025 @ 02:04
Les descendants de la reine Victoria sont actuellement plus d’un millier.
C’est donc normal de s’y perdre un peu et votre cahier doit vous être d’une grande aide !
7 avril 2025 @ 22:02
Si cela vous est possible, commandez le passionnant ouvrage de Marlene Koenig sur la descendance de Victoria et lisez son blog Royal Musings. Vous pourrez tenir à jour la descendance de la grand-mère de l’Europe.
https://royalmusingsblogspotcom.blogspot.com/
4 avril 2025 @ 13:04
Aucun enfant de Victoria ne s’appelait Rodolphe.
Je pense qu’ici vous faires allusion à Leopold, duc d’Albany.
4 avril 2025 @ 19:44
oui je rectifie dans mon cahier !
5 avril 2025 @ 16:13
Avec plaisir Volysia
7 avril 2025 @ 16:56
C’est triste que ce pauvre Leopold ait reçu en héritage l’hémophilie. C’était le plus brillant des enfants du couple Albert-Victoria. Il avait hérité les aptitudes à l’étude et les qualités intellectuelles de son père. Il est allé à Oxford et pour cela a dû se disputer avec sa mère qui n’en voyait pas l’intérêt. C’était un brillant causeur et tout le monde l’admirait pour ses connaissances variées et son caractère agréable. Quand il s’est marié avec une jeune princesse allemande qui connaissait son état de santé,celle-ci déclinait vraiment. Et il ne vit pas naitre son second enfant. La vie est parfois si injuste.
5 avril 2025 @ 07:11
Merci Volysia pour vos informations. Elles étaient claires, nettes et précises.
5 avril 2025 @ 15:20
Effectivement, la reine Victoria du Royaume-Uni et le prince Albert de Saxe-Cobourg et Gotha, ont eu un fils prénommé Léopold, duc d’Albany. Ce même homme a eu un fils posthume : Charles-Edouard (Claremont House, 1884 – Cobourg, 1954), d’abord duc d’Albany, comte de Clarence et baron Arklow, puis duc de Saxe-Cobourg et Gotha de 1900 à 1918. Il succède à son oncle, Alfred (Windsor, 1844 – Rosenau, 1900), duc d’Édimbourg, comte de Kent et d’Ulster, puis duc de SCG de 1893 à 1900. Ce dernier avait lui-même succédé à son propre oncle, Ernest II.
Andreas est le petit-fils du prince puis duc Charles-Edouard, par son père le prince Frédéric-Josias. Toutefois, il ne fut pas l’aîné des Saxe-Cobourg et Gotha ; cette place est celle de son neveu à la mode de Bretagne (fils de son cousin germain), Hubertus, non dynaste.
Le dernier duc de Saxe-Cobourg et Gotha était un officier nazi. Frédéric puis Andreas s’en sont excusés.
Enfin, la maison de Belgique est issue de Léopold de Saxe-Cobourg-Saalfed, premier roi des Belges, fils de François de SCS et frère d’Ernest III de SCS puis Ernest Ier de Saxe-Cobourg et Gotha. Ce dernier est le père d’Albert, époux de la reine Victoria du Royaume-Uni.
Léopold Ier est l’oncle d’Albert.
5 avril 2025 @ 22:33
Mais quel âge a donc ce Frédéric Josias qui va se marier ? Père du défunt, il l’aurait eu plus de 80 ans avant le mariage ?
7 avril 2025 @ 15:45
Le prince Frédéric-Josias est né en 1918 et s’est marié une première fois avec Victoria Louise de Solms-Baruth en 1942. Il avait 24 ans.
Cette première union s’est rompue en 1946. Le prince Andreas en est issu.
FJ épousa ensuite Denyse Henriette de Muralt en 1948. Le couple a divorcé en 1964.
Enfin, il fut marié à Katrin Bremme de 1964 jusqu’à son décès.
Il est décédé en 1998 à 80 ans.
7 avril 2025 @ 22:06
Le prince Friedrich Josias est décédé en janvier 1998 …
https://en.wikipedia.org/wiki/Friedrich_Josias,_Prince_of_Saxe-Coburg_and_Gotha
4 avril 2025 @ 10:59
je complète… Le Prince Andréas est l’arrière-arrière petit fils de la Reine Victoria.
5 avril 2025 @ 15:21
J’ai complété vos informations, en souhaitant ne pas avoir commis d’impair car il est vrai que c’est une famille compliquée. 🙂
4 avril 2025 @ 11:55
L’épouse du nouveau chef de famille est d’origine américaine.
6 avril 2025 @ 02:06
Ciel ! Comme Meghan, alors !
4 avril 2025 @ 12:25
Ce prince, chef d’une dynastie de la 1ère partie du Gotha était très estimé.
Son père, Friedrich Josias, Prinz von Sachsen-Coburg-Gotha (1918-1998) était le 3ème fils de Carl Eduard I. Herzog (duc) von Sachsen-Coburg-Gotha (1884-1954), lui-même unique fils de Leopold, Duke of Albany (1853-1884) : ce dernier était le 4ème fils de la reine Victoria.
Ascendance:
4 avril 2025 @ 12:27
J’ai omis sur mon commentaire précédent de supprimer le terme ascendance.
4 avril 2025 @ 12:48
Sa vie est vraiment tourmentée et intéressante.
Il a réussi à reconstituer « la fortune » de la famille malgré les graves soubresauts de l Histoire.
4 avril 2025 @ 13:43
Je cueille l’occasion pour conseiller ce qui ces 20 dernières années est un de mes deux ou trois livres préférés. Je le relis ces jours-ci pour la 3e fois. Le titre est un peu réducteur. « La dernière reine – Victoria 1819 1901 » des excellents journalistes Philippe Alexandre et Beatrix de l’Aulnoit. Je trouve les livres de journalistes les plus intéressants, car plus vivants.
Ce n’est pas seulement une bio de Victoria, le récit de son ménage avec Albert qui était vraiment qq’un de supérieur et érudit, les enfants, l’entourage. C’est un cours de culture générale sur l’histoire de l’Europe au 19e s. La politique, les alliances et tout est raconté avec verve et cela fourmille d’anecdotes. Je le relis donc et c’est comme si c’était la première fois. On parle de Louis Philippe, Napoleon III. Leopold Ier de Belgique , qui était aussi instruit qu’Albert et servait de mentor à Victoria. La famille du roi de Prusse. Les derniers hanovriens. Et le désir permanent d’Albert de faire de la monarchie britannique quelque chose de respectable, tout en encourageant les arts, la science et la technologie. L’amour effréné de Victoria pour les bals et les fêtes. Ses rapports orageux avec son mari adoré (et patient) car elle était capricieuse et emportée. Ce n’est pas triste non plus. Le Prince Consort qui se tue à la tâche et meurt à 40 ans après avoir été le vrai roi du RU. Occulte.
C’est passionnant et je me régale. Il est en livre de poche Pocket, et je vous engage à le commander comme une perle dans votre bibliothèque.
Je confirme que l’avant-dernier enfant de Victoria, avant Beatrice la petite dernière, était « le malheureux » Leopold.
4 avril 2025 @ 14:48
Au temps de Victoria, Bismarck appelait méchamment les Cobourg « les étalons de l’Europe » (ds le livre susmentionné) .
5 avril 2025 @ 00:15
Merci de nous le signaler, ami !
5 avril 2025 @ 16:23
Bonjour Robin, vous aviez déjà conseillé ce livre il y a quelques années et je l’avais acheté. Je confirme ce que vous écrivez, j’avais beaucoup aimé le lire et de plus lecture très facile, rien d’ennuyer.
Merci à vous.
7 avril 2025 @ 22:40
Oui cher Robin, le livre de Philippe Alexandre et Beatrix de L’Aulnoit, ‘La Dernière reine’, est en effet tout à fait plaisant mais peut-être justement un peu trop ‘anecdotique’ …
8 avril 2025 @ 11:55
Robin des Bois,
Je vais l’acheter merci du conseil
4 avril 2025 @ 15:22
Merci pour le conseil de bibliophile.
4 avril 2025 @ 16:03
Que le prince repose en paix, libéré de cette foutue maladie.
4 avril 2025 @ 16:53
Merci Robin, vous me donnez très envie de le lire.
5 avril 2025 @ 09:27
Chère amie, vous ne le regretterez pas, parce que cela fourmille d’anecdotes savoureuses.
4 avril 2025 @ 17:16
Sincères condoléances à la famille.
4 avril 2025 @ 18:21
» il se tue à la tâche » certes il a fait à la reine beaucoup d’enfants !
5 avril 2025 @ 09:34
Comme elle était très amoureuse de son mari, je suppose que cela ajoutait du travail. Il se levait tôt et allumait son feu, pour examiner ses dossiers, répondre à des lettres. On lui doit tellement de bonnes réformes dans un tas de domaines., il s’intéressait à tout et avait un bagage intellectuel impressionnant. Il était aussi musicien et composait à ses heures. Il parlait des langues étrangères aussi. Quand il s’est marié à 20 ans, il avait déjà ingurgité une somme de connaissances qu’on ne voit plus chez nos contemporains. à cet âge et il était allé aussi à l’université.
Il avait toujours souffert de l’estomac et eu une santé fragile. Le livre dit que à 39 ans il en paraissait 60.
4 avril 2025 @ 20:17
Excellent livre qui se dévore comme un roman (et pourtant, je suis comme vous: peu friande de ce genre-là.)
Toute la différence réside dans le fait qu’il s’agit d’une histoire vraie, mais suffisamment abordable pour tous les publics et fourmillante de détails, d’anecdotes à la fois intimes et historiques.
C’est la synergie parfaite entre grande et petite histoire.
5 avril 2025 @ 09:35
Je suis toujours friande de livres de journalistes. Comme ceux de Ben Macintyre.
5 avril 2025 @ 09:35
pardon … friand…
5 avril 2025 @ 15:30
Les auteurs brossent la situation catastrophique du prolétariat au 19e S. Au début de ce siècle des inventions ont propulsé l’industrie vers la production de masse. L’industrie se développa et les patrons s’enrichirent. Et ceux qui quittèrent la campagne pour chercher du travail dans les villes, furent sous-payés et connurent la misère. Le pain arrivait presqu’au niveau du salaire journalier d’un homme qui devait faire travailler sa femme et ses enfants pour pouvoir les nourrir. La politique des industriels toujours plus riches, et qui finissaient par être anoblis, était qu’il fallait payer toujours moins les ouvriers, pour maximiser les profits. Alors qu’en les payant mieux, l’argent aurait circulé, profité à tout le monde, avec un pouvoir d’achat supérieur. Les logements étaient des taudis et les gens dormaient sur des amas de chiffons n’ayant pas de meubles. Pas d’eau courante. Pas d’hygiène. Est-ce un hasard si à la moitié du siècle Marx et Engels vinrent à Londres et se mirent à écrire leurs théories. On ne voyait pas une situation aussi révoltante en France. Ou ailleurs.
Ce livre ne parle pas que de royautés et de couronnes, mais brosse le paysage social et économique de l’époque.
7 avril 2025 @ 11:17
Bismarck a imposé des lois sociales. Et les socialistes allemands ont contrarié Marx-Engels en étant réformistes.
Toute la seconde internationale est faite de ces divergences.
D’accord ça n’a pas évité le nazisme mais la République Fédérale Allemande a repris le schéma bismarkien.
8 avril 2025 @ 20:16
Toutes nos condolénaces à la Famille de Saxe-Cobourg ET Gotha.
8 avril 2025 @ 20:17
La maison de Saxe-Cobourg et Gotha est un rameau de la maison de Wettin issue de la branche ernestine.
Historiquement, la Saxe-Cobourg et Gotha (en allemand : Sachsen-Coburg und Gotha) était l’un des duchés saxons de l’époque contemporaine allemande. Fondé en 1826 par Ernest Ier, il succède à la Saxe-Cobourg-Saalfeld et disparaît après la Première Guerre mondiale, en 1918
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_Saxe-Cobourg_et_Gotha#:~:text=la%20maison%20de%20Saxe%2DCobourg%20et%20Gotha%20(en%20n%C3%A9erlandais%20%3A,avec%20sa%20famille%20en%201894.
8 avril 2025 @ 20:19
Site officiel de la Maison de Saxe-Cobourg et Gotha
https://sachsen-coburg-gotha.de/
8 avril 2025 @ 20:21
Les Maisons royales d’Angleterre, de Bulgarie et de Belgique sont apprentés aux Saxe-Cobourg ET Gotha…