Je ne savais pas grand chose sur la famille italienne du pape François. Voici ce que j’ai trouvé sur Aleteia.
C’est en 1906 que Giovanni Bergoglio, le grand-père du pape François, quitte la campagne d’Asti pour chercher fortune à Turin. Il y trouve un travail comme commis et homme à tout faire dans un magasin de tissus. Quelques mois plus tard, Giovanni se fiance à une jeune couturière de Turin, Rosa Vassallo. Ils se marient, le 20 août 1907, dans l’église Sainte Thérèse de Turin. Ils s’installent en face de l’église, là où naît Mario, le père du Pape, le 2 avril 1908. Le couple va vivre des années douloureuses et endeuillées. Entre 1909 et 1919, Giovanni et Rosa vont voir mourir six nourrissons, tous quelques jours après leur naissance. Des morts inexpliquées, pour lesquelles le couple soupçonne l’existence d’une pathologie non diagnostiquée. Pour ajouter à ces drames, Giovanni est envoyé au front en 1916.
À son retour en 1918, le couple décide de quitter Turin et retourne vivre à Asti, pour se rapprocher de la famille où ils vont vivre jusqu’en janvier 1929, date à laquelle ils embarquent pour l’Argentine pour rejoindre des cousins qui avaient fait fortune.
Le pape François racontait : « Mes grands-parents et mon père devaient partir fin 1928, ils avaient pris un billet pour le bateau « Princesse Mafalda », ce bateau qui a coulé au large des côtes brésiliennes. Mais comme ils n’avaient pas pu vendre leurs biens à temps, ils ont changé leur billet et sont montés à bord du « Giulio Cesare » le 1er février 1929. C’est pourquoi je suis ici ».
Arrivés tous les trois en Argentine, la crise de 1929 met fin à la prospérité de l’entreprise des cousins, et de nouveau, les grands-parents du Pape vont devoir relever leurs manches.
A Buenos-Aires, Mario le Piémontais rencontre Regina Sivori, fille d’immigrés italiens de la région de Gênes, née en Argentine. De leur mariage naît, le 17 décembre 1936, le petit Jorge Mario Bergoglio, puis Alberto et Oscar, et Marta Regina et Maria Elena (77 ans, seule survivante actuellement). Mario, travaille comme comptable dans une compagnie de chemins de fer apportant aux siens une certaine sécurité matérielle.
26 avril 2025 @ 09:05
Vu sa position par rapport au cercueil et la dépouille, EF était dans le public, tel un parfait anonyme. Il n’y a pas de quoi en faire un plat.
26 avril 2025 @ 09:28
Alors lui il peut se confesser avec tous ses mensonges sur sa vie.
On peut se séparer mais au moins avoir le courage de dire sa situation familiale.
26 avril 2025 @ 09:39
Ce qui est rassurant c’est qu’il a eu droit es qualités au ticket coupe file.
26 avril 2025 @ 10:04
C’est bien la moindre des choses…
26 avril 2025 @ 10:11
Sans sa nouvelle copine ?
26 avril 2025 @ 12:27
Il a eu la bonne idée de ne pas s’y présenter avec sa maîtresse.
26 avril 2025 @ 14:54
Senza vergogna !
26 avril 2025 @ 21:31
Je ne savais pas grand chose sur la famille italienne du pape François. Voici ce que j’ai trouvé sur Aleteia.
C’est en 1906 que Giovanni Bergoglio, le grand-père du pape François, quitte la campagne d’Asti pour chercher fortune à Turin. Il y trouve un travail comme commis et homme à tout faire dans un magasin de tissus. Quelques mois plus tard, Giovanni se fiance à une jeune couturière de Turin, Rosa Vassallo. Ils se marient, le 20 août 1907, dans l’église Sainte Thérèse de Turin. Ils s’installent en face de l’église, là où naît Mario, le père du Pape, le 2 avril 1908. Le couple va vivre des années douloureuses et endeuillées. Entre 1909 et 1919, Giovanni et Rosa vont voir mourir six nourrissons, tous quelques jours après leur naissance. Des morts inexpliquées, pour lesquelles le couple soupçonne l’existence d’une pathologie non diagnostiquée. Pour ajouter à ces drames, Giovanni est envoyé au front en 1916.
À son retour en 1918, le couple décide de quitter Turin et retourne vivre à Asti, pour se rapprocher de la famille où ils vont vivre jusqu’en janvier 1929, date à laquelle ils embarquent pour l’Argentine pour rejoindre des cousins qui avaient fait fortune.
26 avril 2025 @ 21:32
Le pape François racontait : « Mes grands-parents et mon père devaient partir fin 1928, ils avaient pris un billet pour le bateau « Princesse Mafalda », ce bateau qui a coulé au large des côtes brésiliennes. Mais comme ils n’avaient pas pu vendre leurs biens à temps, ils ont changé leur billet et sont montés à bord du « Giulio Cesare » le 1er février 1929. C’est pourquoi je suis ici ».
Arrivés tous les trois en Argentine, la crise de 1929 met fin à la prospérité de l’entreprise des cousins, et de nouveau, les grands-parents du Pape vont devoir relever leurs manches.
A Buenos-Aires, Mario le Piémontais rencontre Regina Sivori, fille d’immigrés italiens de la région de Gênes, née en Argentine. De leur mariage naît, le 17 décembre 1936, le petit Jorge Mario Bergoglio, puis Alberto et Oscar, et Marta Regina et Maria Elena (77 ans, seule survivante actuellement). Mario, travaille comme comptable dans une compagnie de chemins de fer apportant aux siens une certaine sécurité matérielle.
27 avril 2025 @ 03:38
Sauf erreur, nous n’y avons pas vu Monseigneur, le Comte de Paris ; comment se fait-ce ?