« La ConVerSation« , le livre de Jean d’Ormesson, va brûler les planches à partir du 2 octobre au Théâtre Hebertot à Paris. A travers une conversation imaginaire et décisive entre Napoléon Bonaparte et Cambacérès, son deuxième consul, Jean d’Ormesson explore la tension entre l’esprit révolutionnaire républicain et le désir de puissance. A la veille de l’avènement du Premier Empire, c’est une conversation décisive aux Tuileries. Maxime d’Aboville jouera Bonaparte et Alain Pochet sera Cambacerès. (Merci à Bertrand Meyer)
Théâtre Hebertot – 75, Boulevard des Batignolles – 75015 Paris
3 septembre 2012 @ 11:56
encore un livre à lire
3 septembre 2012 @ 12:24
Je ne manquerai pas d’y aller lors d’un prochain séjour parisien. J’espère que ce sera du niveau du Souper de Brisville (dialogue entre Fouché et Talleyrand).
3 septembre 2012 @ 12:29
Bien que hors sujet mais pouvant intéresser les férus de généalogie :
– est née le 30 août dernier Clémentine, fille de Constantin Laan (lui-même petit-fils de la Princesse Clotilde Napoléon, elle même petite-fille du roi Léopold II des Belges et descendante de Jérôme Bonaparte) et de Gaelle d’Aubry de Puymorin. L’enfant porte le prénom de son aïeule la Princesse Clémentine de Belgique.
3 septembre 2012 @ 17:12
Avec l’espoir que cette pièce (qui se jouera au théâtre parisien Hébertot, du 2 octobre au 31 décembre) aura le brio de cette « conversation » imaginaire, née de la plume subtile et spirituelle de Jean d’Ormesson, évoquant le moment décisif au cours duquel Bonaparte en pleine gloire, rêvant de devenir Napoléon et de fonder une dynastie, s’efforce de convaincre son deuxième consul Cambacérès que « l’Empire c’est faire monter la République sur le trône ». Livre délicieux, mais cependant un peu trop court à mon goût.