Les fiançailles du prince Albert de Belgique, fils du comte et de la comtesse de Flandre, appelé à succéder à son oncle le roi Léopold II, avec la duchesse Elisabeth en Bavière ont eu lieu à Neuilly le 1 juin 1900.
MoreMenu d’un dîner à Munich le 10 juin 1900 pour les fiançailles d’Albert de Belgique et d’Elisabeth en Bavière
36 Comments
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18 juin 2021 @ 02:38
Ben celui-ci passe devant sans mis attarder.
Donc, pas pour moi .
18 juin 2021 @ 06:16
Ce doit être le dernier dîner de présentation, on sent comme un relâchement au niveau de la rédaction… une petite fatigue ?
18 juin 2021 @ 06:29
Pour l’époque, c’est bizarre ce menu très resserré. Le comte de Flandres a dû rester sur sa faim.
18 juin 2021 @ 12:50
Robespierre, pourriez-vous lire les commentaires sur le sujet du 15 juin : « Conférence à Rambouillet » ? Je suis dépassée.
18 juin 2021 @ 21:22
Eh bien pour ma part, j’étais sur ma faim à ne plus vous lire !
Ravie de vous retrouver.
18 juin 2021 @ 07:01
menu très sobre pour l’époque !
18 juin 2021 @ 08:42
A Neuilly !
C’est simple, mais bon choix pour moi…
Ramequins ?
18 juin 2021 @ 13:08
La tante de la fiancée, la reine Marie de Naples, habitait Neuilly à l’époque dans ce qui est aujourd’hui le boulevard Maurice Barrés donnant sur le Bois.
18 juin 2021 @ 13:56
A l’origine, le ramequin est une tartelette garnie de crème au fromage.
18 juin 2021 @ 21:29
Oui aujourd’hui on ne voit que l’ustensile, mais jadis ce terme voulait dire « soufflé » ou « entremets » là je pense qu’il s’agissait d’un soufflé. A quoi ? mystère !
19 juin 2021 @ 19:01
Merci à vous pour ces précisions.
18 juin 2021 @ 09:43
Rein de chevreuil rôtie ? Que faut-il comprendre ?
Ne serait-ce pas plutôt la traduction erronée de « Rehrücken », qui signifie » dos de chevreuil » ?
Le Rehrücken est un plat réputé de la cuisine des pays germaniques, servi essentiellement lors d’occasions festives .
Image et recette ( en allemand) : :https://www.kuechengoetter.de/rezepte/gebratener-rehruecken-73021
18 juin 2021 @ 11:38
Et ramequin (j’ai cherché) est à mon avis aussi une erreur de traduction. Dos de chevreuil sûrement Leonor.
18 juin 2021 @ 13:58
Vous avez mal cherché, chère petite prune d’Arménie. Un ramequin est une tartelette garnie de crème au fromage. 😉
18 juin 2021 @ 11:59
Et si simplement on a jugé que rein fait plus chic que rognon?
18 juin 2021 @ 21:25
Je pense comme vous qu’il s’agit d’un dos de chevreuil; ce que l’on appellerait le râble de lapin ou de lièvre.
18 juin 2021 @ 09:47
Un féru de grammaire peut-il expliquer le « e » de rôtie.
18 juin 2021 @ 13:59
Les grammairiens comprendront qu’il s’agit ici d’une coquille.
18 juin 2021 @ 21:24
Non ! voir plus haut, je pense que la succession de dîners avait fatigué les rédacteurs.
18 juin 2021 @ 10:31
Rein de chevreuil ? Sont-ce vraiment les rognons ou faut-il comprendre autre chose ?
18 juin 2021 @ 10:31
« Rein de chevreuil rôtie » est-il(elle) une appellation ?
Etonnant le mot sauce qui n’est pas écrit en entier.
Ce menu est très sobre par sa présentation et son contenu, c’est un souper.
18 juin 2021 @ 14:00
L’abréviation sce. est courante dans les menus des grands établissements. Ce n’est pas la sauce qui importe, c’est la viande qui est dans l’assiette.
21 juin 2021 @ 12:02
Karabakh,
Je ne dois pas fréquenter suffisamment les grands établissements.
24 juin 2021 @ 17:23
Septentrion,
Je ne les fréquente pas non plus, sauf lorsque l’on m’invite. Je connais cette abréviation car on me l’a expliquée, rien de plus. 😉
18 juin 2021 @ 10:36
C’est quand même drôle de voir à quel point les habitudes culinaires changent avec les époques (et, bien sûr, les milieux sociaux). Ainsi que la sémantique. Ramequins est étrange, car de nos jours, ça se content de désigner un contenant. Donc si on ne précise pas le contenu, ça ne met pas en appétit. Et, bien sûr, le rein du chevreuil (mais est-ce bien cela, car rotie avec un »e » sème le doute sur le fait qu’il s’agisse de l’abat dénommé rein) laisse pour le moins circonspect.
18 juin 2021 @ 14:03
Justement, ces ramequins là n’ont pas de contenu à proprement parler, puisqu’il s’agit de tartelettes garnies de fromage.
18 juin 2021 @ 19:58
Quand ma grand’mère parlait de « ramequins », cela signifiait (de nos jours) oeufs cocotte. Cette réponse est-elle plausible pour commencer un repas ?
18 juin 2021 @ 11:15
Ce menu me plaît sauf le rein de chevreuil ( 🤢) !
18 juin 2021 @ 16:08
Ah non , je passe mon tour et je laisse volontiers ma place !
18 juin 2021 @ 11:55
Je frise l’indigestion .
18 juin 2021 @ 14:13
Les ramequins sont des tartelettes, plus rarement des tranches de pains revenues dans l’huile (des rôties), garnies de fromage et poivrées. Par excès de vocabulaire, ce terme est parfois utilisé pour désigner des pâtes à chou fromagées.
Sinon, le « rein de chevreuil » est en fait son dos, que l’on consomme habituellement rôti. Dans les langues germaniques, rück(en) renvoie au derrière de quelque chose ou de quelqu’un… et peut désigner autant le dos d’un animal que son fessier. Il est donc à supposer que le terme rein a été utilisé à tort mais sciemment, pour ne pas prêter à une quelconque interprétation.
18 juin 2021 @ 18:12
Mousse de fraises à la Monte-Carlo:
C’est un dessert historique de la cuisine française, Auguste Escoffier l’a créé à la fin du XIX° siècle, lors de la grande époque des desserts glacés.
Ce dessert se compose d’une meringue, de fraises macérées au curaçao, d’une délicate mousse glacée au curaçao et d’une chantilly à la fraise. Le décor original d’ Escoffier est de sucre filé et de « violettes pralinées de Monaco. »
19 juin 2021 @ 19:06
Mazette ! 😋
18 juin 2021 @ 18:39
Un menu pas très attirant, tant par les plats que la présentation.
18 juin 2021 @ 19:52
Le menu on le voit est aux armes des parents d’Élisabeth de Belgique, Bavière et Portugal.
18 juin 2021 @ 21:46
Pour la viande, cela devrait être la selle de chevreuil.