Cette semaine, le magazine Point de Vue consacre sa « une » à la comtesse Gloria de Limburg Stirum, une des nombreuses descendantes des défunts Comte et Comtesse de Paris. La fille aînée du comte Thierry de Limburg Stirum et de Katia della Faille de Leverghem a ouvert le prestigieux Bal des débutantes à Paris avec son père.
Les parents de la jeune fille, âgée de 22 ans, viennent de célébrer leurs noces d’argent en Belgique. Point de Vue rappelle que la comtesse Gloria a déjà fait la « une » du magazine, elle y apparaissait alors bébé dans les bras de sa mère la comtesse Thierry de Limburg Stirum.
La jeune fille qui portait une création de Zuhair Murad, termine ses études à l’université de Leyde aux Pays-Bas. Son rêve est de retourner en Afrique pour y travailler. Polyglotte, la petite-fille de la princesse Hélène de France, parle notamment couramment le swahili. (Merci à Charles)
4 décembre 2015 @ 09:07
charmante jeune fille,ses parents forment un très beau couple.
4 décembre 2015 @ 09:25
La jeune Gloria est aussi ravissante que sa maman.
5 décembre 2015 @ 03:37
J’allais écrire la même chose; elle lui ressemble beaucoup d’ailleurs. Elle portait une robe magnifique (un peu osée au niveau du décolleté) mais elle peut se le permettre. FdC
4 décembre 2015 @ 09:39
Si cet article vient de Charles,on pourrait dire que cette princesse est parfaite!
4 décembre 2015 @ 12:49
et très dévote sans doute.
7 décembre 2015 @ 18:58
Bonjour,
Je suis du Québec. Existe-t-il un regroupement de québécois qui aime l’histoire de la noblesse européenne et qui échange sur le sujet? Je serais heureux d’y participer.
A bientôt et joyeuses Fêtes – Jean
4 décembre 2015 @ 13:48
Cette dame n’est pas une princesse.
4 décembre 2015 @ 16:34
Elle est charmante !
5 décembre 2015 @ 22:30
Caroline,
Charles nous propose des sujets plaisants et pour ma part je lui suis reconnaissant d’enrichir N&R par ses contributions variées regardant tantôt l’Art, l’Histoire ou l’architecture.
C’est un homme de convictions. Sa fidélité à la famille qu’il aime nous vaut de très intéressants articles vecteurs de culture.
Bien à vous
7 décembre 2015 @ 00:02
Damien B.,
J’apprécie et partage votre commentaire très juste!
Bonne semaine!
4 décembre 2015 @ 10:55
Charmante jeune comtesse.
Très interessant d’avoir des nouvelles de la famille de France
4 décembre 2015 @ 11:38
Très sympathique de voir à la une de Point de Vue une des 157 descendants des défunts Comte et Comtesse de Paris.
4 décembre 2015 @ 13:36
pour 146, ils n’y sont pour rien !!
4 décembre 2015 @ 18:33
Tout à fait d’accord avec vous, ça me rappelle le temps de Point de Vue, avant que ça ne devienne un magasine « People » !
4 décembre 2015 @ 12:04
dans PdV, on indique que son cavalier était son cousin, François de Limbourg-Stirum. Qui est-ce exactement ?
4 décembre 2015 @ 14:40
Le comte François de Limbourg Stirum (né en 1989) est le cousin germain de Thierry, le père de la jeune débutante. Il est le 3ème fils et le dernier enfant du comte Christian de Limbourg Stirum, plus jeune frère d’Evrard et beau-frère de la princesse Hélène, et de la comtesse Colienne d’Oultremont. Le frère aîné de François, Rodolphe, a épousé l’archiduchesse Marie-Christine d’Autriche dont il a deux fils tandis que le cadet, Philippe, a épousé au printemps dernier la comtesse Caroline v. Neipperg. Ils ont une sœur, Marie, encore célibataire.
5 décembre 2015 @ 00:35
Il s’agit peut-être du frère cadet du comte Rodolphe de Limburg-Stirum, époux de l’archiduchesse Marie-Christine d’Autriche (fille aînée de l’archiduc Christian et de la princesse Marie-Astrid de Luxembourg).
4 décembre 2015 @ 12:18
Bonjour,
Son cavalier lors du bal était le comte François de Limburg Stirum.
Cette jeune comtesse aura peut être l’occasion de croiser le prince Harry en Afrique.
4 décembre 2015 @ 21:11
En effet il faut présenter cette jeune fille au prince Harry, ils ont la même passion pour l’Afrique.
4 décembre 2015 @ 12:25
Sa maman était la plus merveilleuse mariée que j’aie jamais vue !
4 décembre 2015 @ 12:38
Bonjour Joséphine,
C’est vrai, d’une fraîcheur éclatante et très gracile (d’ailleurs à l’époque elle était mannequin pour Cyrillus, et autres catalogues de mode).
Cdt,
6 décembre 2015 @ 10:06
Sa maman a aussi défilé pour un grand couturier.
4 décembre 2015 @ 12:44
Une mariée splendide, jolie et fraîche.
4 décembre 2015 @ 14:09
JOSEPHINE.
Elle était magnifique , un visage très joli une toilette delicate et elle est restée une fort jolie dame . je crois que c’est une des plus jolies princesses de la maison avec peut être la princesse Adelaide , mais je trouve que sa fille Gloria ressemble d’avantage a son père surtout la bouche elle est beaucoup moins jolie que sa mere.
4 décembre 2015 @ 21:23
En effet, c’est une femme qui a un très beau visage.
10 décembre 2015 @ 15:41
Elle est toujours aussi belle et vient de fêter ses noces d’argent.
4 décembre 2015 @ 12:48
Elle ressemble a son papa
4 décembre 2015 @ 12:59
Plaisir de voir cette charmante jeune fille,fruit d’un des plus beaux couples du Gotha!
ml
4 décembre 2015 @ 14:08
J’ ai bien l’ impression qu’ elle ne porte pas de soutien-gorge sous le voile transparent de sa robe …hum …
5 décembre 2015 @ 12:50
Si elle peut se le permettre, où est le drame ?
5 décembre 2015 @ 14:37
…cela prouve qu’il est inutile.
4 décembre 2015 @ 14:16
Une tête bien faite dans un corps sain, tout est parfait.
4 décembre 2015 @ 14:29
Combien a-elle de frères et soeurs ?
5 décembre 2015 @ 14:43
Une soeur .
4 décembre 2015 @ 14:58
Pour une fois Point de Vue est interessant
5 décembre 2015 @ 20:35
Point de vue sous la houlette d’Adélaïde de Clermont-Tonnerre est revenu à une saine mesure.
7 décembre 2015 @ 17:36
Cela reste une histoire de famille puisqu’elle est une cousine de la princesse Hélène grand mère paternelle de la jeune débutante !
4 décembre 2015 @ 15:08
Une bien ravissante jeune femme
aussi belle que sa mère
4 décembre 2015 @ 16:22
Gloria de L.S. a de qui tenir ! Belle ET intelligente !
4 décembre 2015 @ 16:32
La jeune fille est très bien habillée , la forme et la couleur de la robe sont magnifiques !
4 décembre 2015 @ 17:00
La jeune femme semble couver de façon temporaire les rêves de midinette de sa maman mannequin : belle robe, bijoux et couverture de magazine.
C’est l’Afrique des Pères blancs ou l’Afrique des expatriés nobles de la côte est qu’elle poursuit?
5 décembre 2015 @ 15:31
Bonjour Anne Cécile,
La comtesse Gloria de L.S. a voyagé seule, à l’âge de 16 ans en Afrique du Sud pour se rendre dans une ONG, dirigée par une amie de sa famille. Ce voyage a changé sa vie. « J’ai réalisé à quel point le monde est divers et beau. » Aujourd’hui, dans sa dernière année à l’université de Leiden au Pays-Bas, elle achève un diplôme en études internationales avec comme spécialité l’Afrique Subsaharienne. Inspirée par un semestre à l’université de Stellenbosch, l’été dernier, et ses voyages en Afrique du Sud et de l’Est, Gloria espère retourner au Cap. « Le Cap de l’Ouest est un endroit fascinant. » « Nous avons vécu sous la tente pendant un mois et découvert des paysages incroyables. Cela m’a aussi permis d’apprendre le Swahili, une langue magnifique. J’ai hâte de le parler couramment et de le pratiquer ! » Elle est impliquée dans le centre communautaire Isibani de Drakensberg, qui fournit des hébergements d’urgence, des vêtements et des services d’aide à l’enfance.
6 décembre 2015 @ 11:17
Je lui souhaite ainsi bon courage pour trouver sa place dans le monde humanitaire et pour sa future installation en Afrique.
Merci de votre éclairage.
6 décembre 2015 @ 13:57
Merci ,Septentrion,pour cette mise au point . J’avoue être de plus en plus agacée par les remarques fielleuses de certains qui se permettent des jugements péremptoires sans connaître les personnes visées .
6 décembre 2015 @ 17:39
Merci de ne pas extrapoler. Les clarifications sont nécessaires s’agissant de cette jeune femme. Ce site relate depuis des années la vie d’Européens titrés en Afrique, les uns s’occupant de réserves, les autres faisant construire des villas de luxe au Mozambique. Certains travaillent, d’autres y effectuent des missions de quelques semaines, d’autres enfin profitent toute l’année de la plage en sirotant des cocktails.
Il est donc intéressant de découvrir des parcours qui s’éloignent des sentiers battus, des profils de personnes qui souhaitent vivre en Afrique et participer au développement. Surtout de jeunes Européens qui souhaitent non pas passer classiquement quelques mois ou quelques premières années post études là bas, mais y bâtir leur vie et signer l’engagement d’une vie.
7 décembre 2015 @ 10:31
Je n’extrapole pas ,je souhaite que lorsqu’on demande des précisions ,on soit plus nuancé !
4 décembre 2015 @ 17:01
La maman de Stephanie de Luxembourg s’appelait également, de son nom de jeune fille, « Della Faille de Leverghem ».
Je ne sais à quel degré Katia et Stephanie sont-elles liées …
La jeune Gloria est ravissante…
6 décembre 2015 @ 14:57
MIKA
La Grande-Duchesse héritière Stéphanie de Luxembourg et Katia, comtesse Thierry de Limburg Stirum sont relativement proches parentes puisque la mère de la jeune Grande-Duchesse, la défunte Alix Della Faille de Leverghem, comtesse de Lannoy est une cousine issue de germain de Loic Della Faille de Leverghem, père de Katia, comtesse Thierry de Limburg Stirum.
4 décembre 2015 @ 18:34
Charmante, mais domage que les débutantes ne s’habillent plus en blanc
4 décembre 2015 @ 21:26
Je ne comprends plus trop l’intérêt des bals de débutantes. Après tout, ces jeunes gens « bien nés » ont déjà leurs rallys (ou rallies ?) pour se débuter entre eux et s’épouser entre eux.
5 décembre 2015 @ 12:22
L’intérêt de ce bal est, je suppose, d’être caritatif, ce que ne sont pas du tout les rallyes.
5 décembre 2015 @ 16:52
Il est surtout de permettre à la vieille noblesse européenne et autre désargentée de revêtir luxe sponsorisée aux côtés d’enfants de stars et surtout de rejetons de milliardaires qui peut être contre alliance les financeront.
Le tout sous la caution humanitaire pour ne pas attirer les critiques de tant de futilités.
5 décembre 2015 @ 16:58
ah je n’y avais pas pensé. Mais il me semble que les rallyes (?) peuvent être aussi caritatifs, non ?
6 décembre 2015 @ 11:47
J’imagine que oui, mais à ma connaissance, ce sont, la plupart du temps, des soirées dansantes privées. C’était le cas à l’époque lointaine où il m’est arrivé d’en fréquenter, et d’après ce que je vois aujourd’hui chez mes neveux, ça ne semble pas avoir vraiment changé.
4 décembre 2015 @ 21:53
Quelle belle princesse pas princesse.
Qui peut m’expliquer où se trouve la Faille de Leverghem en Belgique ? Je ne connais de réputation que la Faille de San Andreas en Californie.
4 décembre 2015 @ 22:05
Ravissante et très élégante.
5 décembre 2015 @ 07:02
Je me rappelle du reportage de PDV, pour le mariage de ses parents. Katia la jeune épousée était d’une beauté qui se remarque, et sa robe de mariée magnifique. Comme le dit Joséphine, des mariées radieuses et élégantes vous restent en mémoire. c’est certain.
5 décembre 2015 @ 10:43
Pas besoin de collier avec une robe bijou
6 décembre 2015 @ 18:11
En Afrique ? Il faudrait que elle et le Prône harry se rencontrent :)
7 décembre 2015 @ 13:12
Origine du Bal
Les sources historiques du Bal des débutantes se trouvent à la cour britannique du XVIIIe siècle.
Le Bal des débutantes se répandit dans plusieurs parties du monde, sous différentes versions. Aujourd’hui, les bals des débutantes traditionnels les plus connus du monde sont « l’International Debutante Ball » du Waldorf Astoria à New York ou en Europe, le Bal de Vienne et le « Queen’s Charlotte ball » à Londres.
Il s’agit d’une tradition anglaise qui s’inscrit dans le rituel de « the Season » : le calendrier mondain qui permettait aux élites anglaises de se retrouver à l’occasion de fêtes et d’événements très codifiés. Le Bal des débutantes était un rituel qui permettait d’intégrer les jeunes filles « bien nées » à la cour, en leur permettant d’affirmer leur respectabilité et celle de leurs familles. On rassurait ainsi les jeunes prétendants sur le fait que ces débutantes étaient du « même monde », alors que « la pression sociale pour se marier dans son milieu était considérable. »
À la sortie du couvent, ces jeunes filles étaient présentées à la Reine en robes blanches, gants blancs et diadèmes. « L’entrée dans le monde » des débutantes marquait le début de « la saison » des bals et autres événements mondains.
En 1780, le premier Bal : le « Queen’s Charlotte Bal », fut organisé à l’initiative du roi Georges III, à l’occasion de l’anniversaire de sa femme, la Reine Charlotte. Ce bal permit également de financer la maternité de l’hôpital Queen’s Charlotte. Dès lors, le Bal des débutantes est devenu une tradition britannique, soutenue par les aristocrates français exilés en Grande-Bretagne pendant la Révolution. Ils contribuèrent au succès, à Londres, de la « Season », qui leur rappelait les plaisirs de la Cour de Versailles.
La tradition perdura en Angleterre jusqu’en 1953, année où elle fut abolie par la Reine Elizabeth II, approuvée par sa sœur, la Princesse Margaret.
C’est à la fin des années 1950 que la France renoua avec la tradition britannique, en lui apportant déjà une tournure « Couture. » Les débutantes en robes blanches, gants blancs et diadèmes, étaient présentées à la princesse d’Orléans Bragance par le danseur Jacques Chazot sur la scène de l’Opéra Garnier ou à Versailles. Si cette soirée réunissait le « tout-Paris » de l’époque, les événements de 1968 mirent un terme au Bal des débutantes en France.