Peut-être espère-t-il qu’en sillonnant les rues de Los Angeles un producteur ou l’autre va lui proposer un rôle dans un film. Il a toujours misé sur son physique avantageux. En Italie, il semble qu’on ne lui propose plus rien.
Le choix de Los Angeles ne doit pas être innocent. Il aurait pu faire pareil à San Francisco où les habitants sont plus ouverts au monde.
Heureusement les américains ne doivent pas comprendre qui il est et ce qu’il représente .
Ilo doit vraiment « être à la côte ».
Comme symbole de la déchéance d’une famille je trouve ça très triste.
Comme symbole de l’état d’esprit d’une époque (la nôtre) je trouve ça consternant et angoissant .
Si quand on a un père qui a été plus ou moins inculpé pour proxénétisme ou homicide et que l’on en est réduit à jouer les gigolos dans des émissions de télé on ne peut évoquer la déchéance je me demande quand on le pourra .
D’où tenez vous que je méprise la cuisine italienne ?
J’aime les pâtes , le poisson , le café et le prosecco …
Quelqu’un a évoqué « le Guépard » , il s’y trouve un récit de repas lors de l’arrivée à Donnafugatta qui mérite selon moi de figurer à la première place dans une anthologie littéraire de la gastronomie.
Et A Camilleri nous donne dans ses romans un aperçu de la cuisine sicilienne qui « me met le pétit » comme on peut l’y lire .
Moi , ce prince , je ne le félicite pas , je ne le critique pas , je le plains.
Je n’ai rien contre les talents culinaires, bien au contraire ! Mais là… Un prince du sang (bleu ?!) qui fait de la pub pour des pâtes en fast food, pardon en street food (!!)… j’ai un peu de mal à adhérer !
Mais si ! Il cherche à gagner de l’argent. Et explore différentes pistes. Il a essayé avec une ligne de vêtements, mais je crois que ça n’a pas marché. La tv italienne ça ne propose plus rien.
Dans le guepard livre de Tomaso di Lamedusa
Un passage pourrait s’appliquer ici
L auteur dit quand le prince Salina arriva à Donnafugatta
Pour la première fois il salua tout le monde
À partir de là son prestige déclina
Le prince ne sait que faire dans la vie, de sa vie. Comme il ne maîtrise pas un métier bien défini, il s’improvise commerçant non sédentaire, dans la branche restauration.
S’investir dans le commerce n’est pas évident par les temps qui courent, même à Los Angeles.
Souhaitons lui bon courage et succès.
Je suis toujours étonnée par les contradictions émises par la majorité des intervenants de N&R :
– quand parait la photo d’ une personne de la plus ou moins « haute » société sans rôle bien défini , on lit le plus souvent :
– « Et à part ça , elle fait quoi ? » (sous-entendu: pour gagner sa vie, ou faire semblant de mériter sa place)
Mais si la personne travaille effectivement , alors c’ est:
– « Quelle déchéance! »
Sauf, bien sûr, si c’ est dans la banque, la gestion de grands domaines, la gestion d’ une entreprise philantropique …
Mais surtout pas le cinéma , les séries télé, la chanson, la cuisine ,l’ artisanat … POUAH !
–
En fin de compte, cela dénote que les anciens préjugés des classes sociales privilégiées de l’ ancien régime aristocratique ont toujours cours. Et que les tenants de ces castes sont incapables d’ évoluer, comme les dinosaures .
Mais je pense que la plupart de ces intervenants n’ ont que 16 quartiers de roture derrière eux, alors c’ est pitoyable car ils renient leurs origines et ne sont pas plus intelligents que ceux qu’ ils envient .
Ce n’est pas eux qu’ils envient ,du moins que j’envie , c’est leur mode de vie …
La vie de gentleman farmer m’a toujours paru le summum de ce qu’on pouvait désirer , elle n’exclue pas une certaine forme de travail et comporte sans doute bien des obligations , mais tout cela n’a rien à voir avec le « monde du travail » que vous semblez tellement chérir.
Le sort n’en a pas décidé ainsi et mes capacités sont trop modestes pour le contredire .
Mais , hormis ceux qui ont la chance d’exercer un métier particulièrement intéressant , style « conservateur en chef du musée de Versailles » , tous ceux qui déclarent ne pas pouvoir vivre sans « travailler » , étant entendu que » ne pas travailler » n’implique nullement de renoncer à toute activité physique ou intellectuelle , ont toujours suscité ma curiosité et mon ébahissement.
Non encore une fois travailler n’est pas un honneur , ça peut être plus ou moins agréable ou valorisant , mais un « honneur » ???
Personnellement, je me serais passée de travailler si j’en avais eu les moyens.
Je travaille pour gagner ma vie. Ce n’est pas un honneur, c’est juste une nécessité.
« Mais je pense que la plupart de ces intervenants n’ ont que 16 quartiers de roture derrière eux »
Certes ! (et pour ma part je crains que ma roture ne remonte aux croisades)
Ils ne peuvent pas non plus se revendiquer d’une pseudo noblesse hongroise…
Muscate-Valeska de Lisabé.
17 septembre 2016 @
18:34
Je vous lis,Marianne,et ce que vous dites n’est pas dénué de sens,c’est vrai…mais vous voyez, s’il avait ouvert un resto fixe,même accessible et bon enfant, ça paraîtrait moins décalé.
Il pourrait prétendre à mieux.
Je trouve que les entreprises de ce Prince(qui ne doit pas être fauché, et peux vivre à l’aise sans travailler,’faut pas plaisanter,cette famille Savoie est riche) font toutes très plouc.
Dommage parce que sa femme est très agréable, intelligente, sensible,fine.
Je me demande ce qu’elle pense de ses initiatives. ..sûrement doit-elle en sourire.
« Il pourrait prétendre à mieux »
Avez-vous une idée des finances de cette branche de la famille de Savoie ? Entre une mère, championne de ski nautique d’une autre époque, oubliée, et un père, champion des procédures judiciaires, ayant marqué quelques mémoires, en tout cas deux parents jet-setteurs ayant craqué le maigre héritage d’Umberto II, ça ne doit pas être simple tous les jours. Dans un pareil contexte, il faut bosser pour vivre, « prince » ou pas. Et lorsque l’on a pas fait d’études, on se débrouille et on imagine! C’est ce qu’il fait.
Quelle que soit l’origine des intervenants ils ont bien le droit d’avoir leur opinion sur ce que doivent représenter à tout le moins les chefs ou les héritiers des maisons royales ?
Cette façon de vivre banalise la famille royale , le prince n’aurait-il pas pu trouver une fonction dans la banque ou les publics relations comme ses confrères les aristocrates européens ;bien sûr il n’y a pas de sots métiers mais tout de même !
un bon piston ca marche quand on a des diplômes. surtout dans la Banque. Son père faisait le malin en disant un jour « Il a voulu travailler tout de suite après son bac ». Traduire : « il n’a pas pu/voulu faire des études ».
Je pense qu’il aurait mieux fait d’épouser une milliardaire sud-américaine. Comme Andrea Casiraghi. Mëme si j’aime bien Clotilde C.
Je crois que ces secteurs font déjà trop planques pour princes sans qualifications notoires (tous ne le sont pour autant), avides de beaucoup d’argent, et de luxe.
Il était dans la finance, comme Jean de Vendôme, avant de jeter l’éponge comme ce dernier.
Et multiplie depuis les projets (vente en ligne, restauration pour l’un conseil en patrimoine pour l’autre etc… Quoique ce n’est pas Vendôme qui s’est collé à la TV mais son cousin….).
Je crois que ces hommes ont été éduqués pour perpétuer les gloires anciennes de leur famille respective, et non pour assumer réellement une vie, d’où leur désœuvrement et une foule de projets jamais vraiment réfléchis et aboutis.
En effet, ces garçons ont été élevé dans l’espoirs de restaurations monarchiques et dans la haute idée de leur lignée et de leur gloire. Il n’y a pas besoin d’avoir un Master pour assurer la postérité (même si Emmanuele-Filiberto s’est un peu raté sur ce coup là) ou arpenter le pays pour assister à des messes et pleurer chaque année la mort d’un roi… L’Histoire ayant décidé autrement, les espoirs envolés, la réalité s’est avérée plus dure que prévu pour ces jeunes hommes.
Lui au moins, il ne s’invente pas des diplômes pour se glorifier.
Après avoir suivi quelques semestres à l’université de Genève, travaillé dans les relations publiques d’une banque privée, acheté un restaurant (Il Quirinale, actuellement fermé) aussi à Genève, puis s’être essayé dans la télé réalité en Italie, le voilà vendant des spaghettis aux USA. Emmanuel-Philibert de Savoie, prince héritier d’Italie, poursuit sa recherche personnelle.
Mais vous avez parfaitement raison, il n’y a pas de sot métier. Il n’y a que de sottes gens…et j’ai bien peur que ce prince appartienne à cette catégorie.
Peu de temps après son mariage, j’avais lu qu’il avait acheté une grosse bâtisse avec un vignoble en Italie. D’ailleurs, il était photographié sur un tracteur. Il ne doit sûrement plus avoir cette propriété car septembre = mois des vendanges. Il devrait donc être en Italie. Maintenant, il s’occupe de pâtes fraîches……. Mais cela ne va pas durer longtemps ! Bientôt, on le verra à Top Chef.
C’est vrai qu’il ne promeut jamais que lui- même,mais tout le monde ne peut pas être Albert Schweitzer ,à commencer par moi. Disons que lui ,pour gagner sa vie,exploite bien plus le prestige de sa naissance que ses éventuelles compétences. Il va au plus facile en fait.
Dans tout ce qu’il a entreprit, il a gagné: Festival de la chanson, competition de dance, presentations à la télé………………………..simplement il veut etre en dehors de l’Italie………………je peux le comprendre car une chose est visiter l’Italie en touriste, une autre chose complètement y vivre actuellement!!!
Il est de toute façon clair que, si par le plus grand des hasards, une restauration monarchique venait en Italie, le coeur des Italiens ne se porterait pas vers Vittorio Emanuele, mais plutôt vers son cousin, Amedeo. Pour ma part, je ne défends aucun parti. Toutefois je partage l’avis des Italiens à ce propos. Après une République marquée par la corruption et la démesure, un Royaume dirigé par un roi repris de justice, ça fait très tache!
Luise
26 septembre 2016 @
13:00
Pour Monsieur Christian
connaissez vous le coeur des Italiens ? Le Prince de Naples a été toujours acquitté.
Robespierre
17 septembre 2016 @
11:14
J’ai connu dans le temps un marchand de frites dans une camionnette. Il est mort très riche, mais travaillait énormément. Donc, il n’y a pas de sot métier quand on mouille sa chemise. Ce que le prince ne fait pas, il se contente de poser sur les photos comme le souligne très justement Cosmo.
Il n’est peut-être pas très bien dans sa vie ce prince, il cherche sa voie comme un ado, avec une épouse actrice qui ne manque pas de talent a t-il beaucoup de mal à exister. Après ça il tentera autre chose…….
Je ne suis pas certain que les Américains soient sensibles à son « titre ». En tout cas, s’il le met en avant, il doit doucement faire rire et passer pour un gentil fou.
jo de st vic
16 septembre 2016 @ 07:57
Il a mis sa coiffe de Bigoudene ?
Cosmo
16 septembre 2016 @ 12:19
Très drôle. Mais il ne fait pas dans la dentelle…
Bernadette
16 septembre 2016 @ 13:35
Excellent Jo de St Vic ! Lol
ALINE
16 septembre 2016 @ 15:23
L’effet d optique est en effet très amusant . Prince travailleur prince au grand cœur …
Annick
17 septembre 2016 @ 06:18
C’est exactement ce que je me suis dit immédiatement en regardant cette photo ! Ouf, je ne suis pas la seule, Merci !
Baboula
16 septembre 2016 @ 08:11
Si un emplacement se libère au marché du coin ,je fais signe au prince.
Robespierre
16 septembre 2016 @ 08:21
Peut-être espère-t-il qu’en sillonnant les rues de Los Angeles un producteur ou l’autre va lui proposer un rôle dans un film. Il a toujours misé sur son physique avantageux. En Italie, il semble qu’on ne lui propose plus rien.
Le choix de Los Angeles ne doit pas être innocent. Il aurait pu faire pareil à San Francisco où les habitants sont plus ouverts au monde.
Marina Pareschi
17 septembre 2016 @ 12:35
A juste titre il n’en peut plus de l’Italie!!!
Gérard
18 septembre 2016 @ 03:34
Oui mais c’est à Los Angeles qu’il y’a le quartier de Venice et sa plage.
Pascal
16 septembre 2016 @ 08:48
Heureusement les américains ne doivent pas comprendre qui il est et ce qu’il représente .
Ilo doit vraiment « être à la côte ».
Comme symbole de la déchéance d’une famille je trouve ça très triste.
Comme symbole de l’état d’esprit d’une époque (la nôtre) je trouve ça consternant et angoissant .
marianne
16 septembre 2016 @ 12:48
Travailler est-il déchoir pour vous ?
Avant la révolution, cela l’ était pour la noblesse .
Dans mon monde c’ est un honneur .
Pascal
17 septembre 2016 @ 14:18
Dans mon monde à moi c’est une nécessité mais je m’en serais bien privé.
Si toute votre fierté se réfugie dans « la valeur travail » je vous plains.
Muscate-Valeska de Lisabé.
19 septembre 2016 @ 15:28
Très joliment exprimé,Pascal.
Michel Lacroix
18 septembre 2016 @ 04:18
La déchéance est dans vos propos .La cuisine Italienne est trop excellente et il faut le féliciter.
Pascal
18 septembre 2016 @ 13:07
Michel Lacroix
Si quand on a un père qui a été plus ou moins inculpé pour proxénétisme ou homicide et que l’on en est réduit à jouer les gigolos dans des émissions de télé on ne peut évoquer la déchéance je me demande quand on le pourra .
D’où tenez vous que je méprise la cuisine italienne ?
J’aime les pâtes , le poisson , le café et le prosecco …
Quelqu’un a évoqué « le Guépard » , il s’y trouve un récit de repas lors de l’arrivée à Donnafugatta qui mérite selon moi de figurer à la première place dans une anthologie littéraire de la gastronomie.
Et A Camilleri nous donne dans ses romans un aperçu de la cuisine sicilienne qui « me met le pétit » comme on peut l’y lire .
Moi , ce prince , je ne le félicite pas , je ne le critique pas , je le plains.
Christian
24 septembre 2016 @ 11:02
Déchéance? Revenez de votre Moyen-Âge, je vous en conjure.
adriana
16 septembre 2016 @ 08:50
je ne sais que penser de ce prince. celà dit il est tres séduisant
Cosmo
16 septembre 2016 @ 09:10
Je trouve étonnant que l’on continue d’évoquer le prince cuisinier dans ses activités américaines.
Isa C
16 septembre 2016 @ 09:20
Je n’ai rien contre les talents culinaires, bien au contraire ! Mais là… Un prince du sang (bleu ?!) qui fait de la pub pour des pâtes en fast food, pardon en street food (!!)… j’ai un peu de mal à adhérer !
Michel Lacroix
18 septembre 2016 @ 04:13
Il a le sang rouge comme tous les êtres humains!
Claudia
16 septembre 2016 @ 09:27
Il m’énerve ce prince, entre la cuisine, la danse, la télé réalité, etc, visiblement il ne sait pas quoi faire de sa vie.
Robespierre
16 septembre 2016 @ 12:25
Mais si ! Il cherche à gagner de l’argent. Et explore différentes pistes. Il a essayé avec une ligne de vêtements, mais je crois que ça n’a pas marché. La tv italienne ça ne propose plus rien.
Muscate-Valeska de Lisabé.
16 septembre 2016 @ 15:18
Pareil…il m’énerve aussi, je trouve son agitation fébrile et infructueuse indigne.
C’est un touche-à-tout bon à rien, semble-t-il.
Marina Pareschi
17 septembre 2016 @ 12:36
Il a résussi en beaucoup de domaines!
Leonor
16 septembre 2016 @ 10:11
Bon, bon…
Moi qui ai refusé que mon bonhomme achète une baraque à frites pour arrondir nos fins de mois….
June
16 septembre 2016 @ 17:54
Ah ben c’est quand même de la baraque à frites Pullman là… ;))
arielle
16 septembre 2016 @ 11:07
Respect pour ceux qui travaillent. Emanuele Filiberto, bravo !!
Cosmo
16 septembre 2016 @ 12:21
Arielle,
Vous appelez cela travailler. Moi j’appelle cela poser devant l’objectif car je suis certain que ce n’est pas lui qui tient la boutique.
Cosmo
Robespierre
17 septembre 2016 @ 11:04
C’est évident !
olivier Kell
16 septembre 2016 @ 13:17
effectivement respect pour ceux qui travaillent.
Il ne semble pas avoir un ego surdimensionné et le côté décalé est assez amusant.
Cyrill Smolky
16 septembre 2016 @ 12:18
C’est l’operette a l’ italienne!
Francois
16 septembre 2016 @ 12:36
Dans le guepard livre de Tomaso di Lamedusa
Un passage pourrait s’appliquer ici
L auteur dit quand le prince Salina arriva à Donnafugatta
Pour la première fois il salua tout le monde
À partir de là son prestige déclina
Pascal
17 septembre 2016 @ 15:06
Merci de ce rappel…
C’est un de mes livres favoris .
Francois
18 septembre 2016 @ 13:30
Moi aussi
C est tellement bien écrit et di simplement
Francois
18 septembre 2016 @ 13:30
Et Si
Francois
16 septembre 2016 @ 12:36
Lampedusa
l'Alsacienne
16 septembre 2016 @ 12:44
Le prince ne sait que faire dans la vie, de sa vie. Comme il ne maîtrise pas un métier bien défini, il s’improvise commerçant non sédentaire, dans la branche restauration.
S’investir dans le commerce n’est pas évident par les temps qui courent, même à Los Angeles.
Souhaitons lui bon courage et succès.
Alain Golliot
16 septembre 2016 @ 12:49
Regine semble avoir qqs faiblesses pour le pizzaiolo.
marianne
16 septembre 2016 @ 13:02
Je suis toujours étonnée par les contradictions émises par la majorité des intervenants de N&R :
– quand parait la photo d’ une personne de la plus ou moins « haute » société sans rôle bien défini , on lit le plus souvent :
– « Et à part ça , elle fait quoi ? » (sous-entendu: pour gagner sa vie, ou faire semblant de mériter sa place)
Mais si la personne travaille effectivement , alors c’ est:
– « Quelle déchéance! »
Sauf, bien sûr, si c’ est dans la banque, la gestion de grands domaines, la gestion d’ une entreprise philantropique …
Mais surtout pas le cinéma , les séries télé, la chanson, la cuisine ,l’ artisanat … POUAH !
–
marianne
16 septembre 2016 @ 13:13
En fin de compte, cela dénote que les anciens préjugés des classes sociales privilégiées de l’ ancien régime aristocratique ont toujours cours. Et que les tenants de ces castes sont incapables d’ évoluer, comme les dinosaures .
Mais je pense que la plupart de ces intervenants n’ ont que 16 quartiers de roture derrière eux, alors c’ est pitoyable car ils renient leurs origines et ne sont pas plus intelligents que ceux qu’ ils envient .
Pascal
17 septembre 2016 @ 14:32
Ce n’est pas eux qu’ils envient ,du moins que j’envie , c’est leur mode de vie …
La vie de gentleman farmer m’a toujours paru le summum de ce qu’on pouvait désirer , elle n’exclue pas une certaine forme de travail et comporte sans doute bien des obligations , mais tout cela n’a rien à voir avec le « monde du travail » que vous semblez tellement chérir.
Le sort n’en a pas décidé ainsi et mes capacités sont trop modestes pour le contredire .
Mais , hormis ceux qui ont la chance d’exercer un métier particulièrement intéressant , style « conservateur en chef du musée de Versailles » , tous ceux qui déclarent ne pas pouvoir vivre sans « travailler » , étant entendu que » ne pas travailler » n’implique nullement de renoncer à toute activité physique ou intellectuelle , ont toujours suscité ma curiosité et mon ébahissement.
Non encore une fois travailler n’est pas un honneur , ça peut être plus ou moins agréable ou valorisant , mais un « honneur » ???
Marie de Bourgogne
18 septembre 2016 @ 14:20
Entièrement d’accord avec vous Pascal.
Personnellement, je me serais passée de travailler si j’en avais eu les moyens.
Je travaille pour gagner ma vie. Ce n’est pas un honneur, c’est juste une nécessité.
Pascal
17 septembre 2016 @ 14:35
« Mais je pense que la plupart de ces intervenants n’ ont que 16 quartiers de roture derrière eux »
Certes ! (et pour ma part je crains que ma roture ne remonte aux croisades)
Ils ne peuvent pas non plus se revendiquer d’une pseudo noblesse hongroise…
arielle
17 septembre 2016 @ 16:04
Bravo, Marianne.
Muscate-Valeska de Lisabé.
17 septembre 2016 @ 18:34
Je vous lis,Marianne,et ce que vous dites n’est pas dénué de sens,c’est vrai…mais vous voyez, s’il avait ouvert un resto fixe,même accessible et bon enfant, ça paraîtrait moins décalé.
Il pourrait prétendre à mieux.
Je trouve que les entreprises de ce Prince(qui ne doit pas être fauché, et peux vivre à l’aise sans travailler,’faut pas plaisanter,cette famille Savoie est riche) font toutes très plouc.
Dommage parce que sa femme est très agréable, intelligente, sensible,fine.
Je me demande ce qu’elle pense de ses initiatives. ..sûrement doit-elle en sourire.
Christian
24 septembre 2016 @ 11:17
« Il pourrait prétendre à mieux »
Avez-vous une idée des finances de cette branche de la famille de Savoie ? Entre une mère, championne de ski nautique d’une autre époque, oubliée, et un père, champion des procédures judiciaires, ayant marqué quelques mémoires, en tout cas deux parents jet-setteurs ayant craqué le maigre héritage d’Umberto II, ça ne doit pas être simple tous les jours. Dans un pareil contexte, il faut bosser pour vivre, « prince » ou pas. Et lorsque l’on a pas fait d’études, on se débrouille et on imagine! C’est ce qu’il fait.
Gérard
18 septembre 2016 @ 03:30
Quelle que soit l’origine des intervenants ils ont bien le droit d’avoir leur opinion sur ce que doivent représenter à tout le moins les chefs ou les héritiers des maisons royales ?
Marrianne Amélie
18 septembre 2016 @ 08:54
Bravo Marrianne, je vous approuve entièrement
Haut Landaise
16 septembre 2016 @ 15:30
Y a pas à dire , c’est Sa-Voie…
HRC
17 septembre 2016 @ 09:32
j’utilisais ce pseudo depuis des années, et ce n’est pas moi l’auteur de ce message !
Régine ??
Régine
17 septembre 2016 @ 10:43
C’est en ordre
clement
16 septembre 2016 @ 17:37
Cette façon de vivre banalise la famille royale , le prince n’aurait-il pas pu trouver une fonction dans la banque ou les publics relations comme ses confrères les aristocrates européens ;bien sûr il n’y a pas de sots métiers mais tout de même !
l'Alsacienne
17 septembre 2016 @ 10:11
Certainement, avec un bon piston.
Robespierre
17 septembre 2016 @ 11:10
un bon piston ca marche quand on a des diplômes. surtout dans la Banque. Son père faisait le malin en disant un jour « Il a voulu travailler tout de suite après son bac ». Traduire : « il n’a pas pu/voulu faire des études ».
Je pense qu’il aurait mieux fait d’épouser une milliardaire sud-américaine. Comme Andrea Casiraghi. Mëme si j’aime bien Clotilde C.
Anne-Cécile
17 septembre 2016 @ 10:36
Je crois que ces secteurs font déjà trop planques pour princes sans qualifications notoires (tous ne le sont pour autant), avides de beaucoup d’argent, et de luxe.
Il était dans la finance, comme Jean de Vendôme, avant de jeter l’éponge comme ce dernier.
Et multiplie depuis les projets (vente en ligne, restauration pour l’un conseil en patrimoine pour l’autre etc… Quoique ce n’est pas Vendôme qui s’est collé à la TV mais son cousin….).
Je crois que ces hommes ont été éduqués pour perpétuer les gloires anciennes de leur famille respective, et non pour assumer réellement une vie, d’où leur désœuvrement et une foule de projets jamais vraiment réfléchis et aboutis.
Christian
24 septembre 2016 @ 11:25
En effet, ces garçons ont été élevé dans l’espoirs de restaurations monarchiques et dans la haute idée de leur lignée et de leur gloire. Il n’y a pas besoin d’avoir un Master pour assurer la postérité (même si Emmanuele-Filiberto s’est un peu raté sur ce coup là) ou arpenter le pays pour assister à des messes et pleurer chaque année la mort d’un roi… L’Histoire ayant décidé autrement, les espoirs envolés, la réalité s’est avérée plus dure que prévu pour ces jeunes hommes.
Lui au moins, il ne s’invente pas des diplômes pour se glorifier.
Carole 007
16 septembre 2016 @ 18:24
Ce qui me « chagrine » le plus c’est son titre de prince de Venise…
Gilles de Bise
16 septembre 2016 @ 18:47
Après avoir suivi quelques semestres à l’université de Genève, travaillé dans les relations publiques d’une banque privée, acheté un restaurant (Il Quirinale, actuellement fermé) aussi à Genève, puis s’être essayé dans la télé réalité en Italie, le voilà vendant des spaghettis aux USA. Emmanuel-Philibert de Savoie, prince héritier d’Italie, poursuit sa recherche personnelle.
Denis
16 septembre 2016 @ 20:15
Vendre des nouilles , pour un Prince , ce n’est pas bien reluisant , bien qu’il n’y ait pas de sot métier …
Au fait quel est le métier de ce Prince ?
Cosmo
19 septembre 2016 @ 19:05
Vendre des nouilles et sa « belle » gueule…
Mais vous avez parfaitement raison, il n’y a pas de sot métier. Il n’y a que de sottes gens…et j’ai bien peur que ce prince appartienne à cette catégorie.
AnnieDurThé
16 septembre 2016 @ 20:26
Il ne manquerait plus qu’il vende des « frincadelles » dans s’baraque à frites !!!!
Christian
24 septembre 2016 @ 11:28
Fricadelle ou Fricandelle.
Roselila
16 septembre 2016 @ 20:59
Peu de temps après son mariage, j’avais lu qu’il avait acheté une grosse bâtisse avec un vignoble en Italie. D’ailleurs, il était photographié sur un tracteur. Il ne doit sûrement plus avoir cette propriété car septembre = mois des vendanges. Il devrait donc être en Italie. Maintenant, il s’occupe de pâtes fraîches……. Mais cela ne va pas durer longtemps ! Bientôt, on le verra à Top Chef.
Luise
17 septembre 2016 @ 10:11
Le Prince a « le grosse batisse » à Umbertide
Marina Pareschi
17 septembre 2016 @ 12:39
Il a achété un domaine en Ombrie (Italie) mais l’Italie n’est pas un Pays facile à vivre aujourd’hui!!!
ciboulette
16 septembre 2016 @ 22:41
A quand , justement , une baraque à frites tenue par le comte de Paris ? Ou le duc de Vendôme ?
Val
17 septembre 2016 @ 07:09
Il n’y a pas de sots métiers juste des gens idiots !!!!!
Mary
17 septembre 2016 @ 07:15
C’est vrai qu’il ne promeut jamais que lui- même,mais tout le monde ne peut pas être Albert Schweitzer ,à commencer par moi. Disons que lui ,pour gagner sa vie,exploite bien plus le prestige de sa naissance que ses éventuelles compétences. Il va au plus facile en fait.
Marina Pareschi
17 septembre 2016 @ 12:42
Dans tout ce qu’il a entreprit, il a gagné: Festival de la chanson, competition de dance, presentations à la télé………………………..simplement il veut etre en dehors de l’Italie………………je peux le comprendre car une chose est visiter l’Italie en touriste, une autre chose complètement y vivre actuellement!!!
Mary
18 septembre 2016 @ 11:39
Si l’ Italie souffre,la place du prince n’est- elle pas auprès des italiens,dans le pays ?
Marina Pareschi
19 septembre 2016 @ 17:46
Il ne pourra jamais revenir et jouer un role politique en Italie avec les politiciens qu’on a actuellement!! Il le sait très bien. Il avait essayé!!
Christian
24 septembre 2016 @ 11:38
Il est de toute façon clair que, si par le plus grand des hasards, une restauration monarchique venait en Italie, le coeur des Italiens ne se porterait pas vers Vittorio Emanuele, mais plutôt vers son cousin, Amedeo. Pour ma part, je ne défends aucun parti. Toutefois je partage l’avis des Italiens à ce propos. Après une République marquée par la corruption et la démesure, un Royaume dirigé par un roi repris de justice, ça fait très tache!
Luise
26 septembre 2016 @ 13:00
Pour Monsieur Christian
connaissez vous le coeur des Italiens ? Le Prince de Naples a été toujours acquitté.
Robespierre
17 septembre 2016 @ 11:14
J’ai connu dans le temps un marchand de frites dans une camionnette. Il est mort très riche, mais travaillait énormément. Donc, il n’y a pas de sot métier quand on mouille sa chemise. Ce que le prince ne fait pas, il se contente de poser sur les photos comme le souligne très justement Cosmo.
Louise
17 septembre 2016 @ 15:20
Il n’est peut-être pas très bien dans sa vie ce prince, il cherche sa voie comme un ado, avec une épouse actrice qui ne manque pas de talent a t-il beaucoup de mal à exister. Après ça il tentera autre chose…….
Pascal
17 septembre 2016 @ 16:10
A lire les commentaires de nombreuses dames , on peut penser qu’il devrait plutôt essayer « la promotion canapé »…
Cosmo
19 septembre 2016 @ 19:07
Pascal,
J’ai comme l’impression qu’il a essayé…
Cordialement
Cosmo
alain Golliot
17 septembre 2016 @ 18:48
Ce que je remarque : il n’y a personne….même un chat. Ca ne donne pas envie. Il ne va pas tarder de mettre la clé sous le paillasson.
MIKA
17 septembre 2016 @ 21:35
À mon avis, il a besoin d’argent et multiplie les associations d’amis pour monter des affaires, qui marchent… Ou pas…il surfe sur les modes.
Beaucoup de gens font comme lui.
Mais lui, il peut profiter de son titre comme marketing…
Robespierre
18 septembre 2016 @ 11:05
A mon avis, c’est vous qui résumez le mieux la situation.
Christian
24 septembre 2016 @ 11:41
Je ne suis pas certain que les Américains soient sensibles à son « titre ». En tout cas, s’il le met en avant, il doit doucement faire rire et passer pour un gentil fou.