Bougie parfumée « Galerie des Glaces » vendue à la boutique du château de Versailles. Descriptif : « Haut lieu de l’Histoire de France et ornée de nombreux emblèmes nationaux, la Galerie des Glaces impressionne par sa splendeur et sa démesure, si bien qu’on s’y sent tout petit.
Cette bougie parfumée ambre vanille est donc à l’image de cette pièce, éblouissante et majestueuse. Faites rayonner votre décoration et réchauffez votre intérieur avec sa fragrance chaleureuse. L
’ambre apporte une touche de sensualité et s’associe aux tonalités plus enveloppantes du musc ainsi qu’aux senteurs doucereuses de la vanille, pour vivre un fabuleux voyage dans le temps.
Cette bougie parfumée est directement inspirée de l’univers du château de Versailles par la Maison Berger, entreprise du Patrimoine vivant qui perpétue un savoir-faire d’exception.
Les verrines en verre bullé sont fabriquées par d’excellents maîtres verriers et la cire est coulée à la main, laissant ainsi une véritable empreinte artisanale à ces créations d’exception ». Prix : 55 €.
19 juillet 2025 @ 02:56
Il est important de rappeler que si elles ne sont pas fabriquées à la cire d’abeilles ou à la cire végétale les bougies de paraffine parfumée dégagent un cocktail de polluants toxiques pour la santé . Ce n’est pas précisé sur l’emballage et pourtant ….
19 juillet 2025 @ 08:05
Pour la connaître et l’utiliser depuis déjà qqs années, tout ce qui est dit est vrai.
19 juillet 2025 @ 08:46
En octobre 1665, par lettres patentes, Louis XIV octroie au financier Nicolas Dunoyer et à ses associés un privilège exclusif de fabrication de « glaces de miroirs ». Il s’installe au faubourg Saint-Antoine. L’objectif est de concurrencer les Vénitiens, seuls capables de réaliser des grandes glaces. Les associés de la Compagnie Dunoyer bénéficient de l’aide de Colbert pour débaucher les verriers vénitiens mais ceux-ci refusent de transmettre leurs secrets de fabrication. Ils sont renvoyés, en mars 1667, et presque aussitôt remplacés par un gentilhomme verrier, Richard Lucas de Nehou. Celui-ci apporte à la Compagnie qu’il possède à Tourlaville, en Normandie, la maîtrise de la technique du verre blanc soufflé en manchon nécessaire à l’obtention de glaces de qualité « façon de Venise ». Son neveu, Louis, a mis au point le procédé de coulage de verre sur table de métal, permettant de fabriquer des glaces de grande dimension. Les miroirs sont ainsi fabriqués à Tourlaville et polis dans l’atelier du faubourg Saint-Antoine. Certains sont installés dans la galerie de Versailles, dès 1684.
Colbert interdit l’importation en France des glaces de Venise. L’intégralité du marché est, ainsi, laissée à la Manufacture royale et à sa concurrente, la compagnie Thévart, qui a débauché Louis Lucas de Nehou. Les deux compagnies fusionnent sous l’influence du pouvoir royal et s’installent sur le site de Saint-Gobain, petit village situé entre Laon et Soissons, éloigné des regards indiscrets et entouré d’un massif forestier à même de fournir le bois. Les glaces sont transportées à Paris, par l’Oise (d’après le site de Saint-Gobain).
19 juillet 2025 @ 10:49
N’importe quoi…tout est bon pour faire du fric.
Mais je suppose que les touristes étrangers vont adorer acheter ces bougies pour les offrir…
19 juillet 2025 @ 10:50
Ah mais je n’avais pas vu le prix…55 €…. non mais je rêve…!
19 juillet 2025 @ 10:58
Petites bougies qui n’auraient pu cacher les effluves du palais à l’époque.
19 juillet 2025 @ 14:48
Le tarif de cette bougie est tout de même élevé.