Au cours de sa visite de trois jours au Chili, le prince Albert de Monaco a été reçu au Palais de la Moneda par la présidente Michelle Bachelet à Santiago du Chili. (Copyright photo : site du Palais princier)
Albert de Monaco au Palais de la Moneda
14 Comments
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4 juillet 2014 @ 14:12
La présidente du Chili est de lointaine ascendance bourguignonne![Un clin d’oeil à notre Danielle!]
Elle ressemble un peu à Madame Angela Merkel!
5 juillet 2014 @ 10:34
Oui, sa famille est originaire du village de Meursault à proximité de Beaune. Mme Bachelet y est venue il y a 3 ou 4 ans.
5 juillet 2014 @ 12:33
Caroline,
Pas d’insulte à l’égard de madame Merkel que la France aurait beaucoup de chance d’avoir comme présidente.
Merci
Je précise que je suis belge …
5 juillet 2014 @ 14:45
J aime cette ambiance
C est sur qu il nous faudrait une madame Merkel pour sortir du marasme dans lequel le pays se trouve
Gibus j ai vécu 5 ans en Belgiqué Knokke le apure et Bruxelles et j’en ai encore la nostalgie
J adore votre pays
9 juillet 2014 @ 10:17
Valérie,
Je vous remercie.
Je précise que la France est un pays magnifique mais que je continue d’avoir la nostalgie de mon pays natal …
Amicalement,
9 juillet 2014 @ 15:32
Oui merci mais en ce moment c est la galère en France
J ai parfois honte de mon pays et de ses dirigeants aussi pitoyables les uns que les autres
8 juillet 2014 @ 17:29
@ Gibbs
Je ne vois pas où est l’insulte.
Personnellement (et cela n’engage que MOI ^^^^ je verrai plutôt quelqu’un d’autre que la France aurait la chance d’avoir comme Président.
Un Homme qui aime son pays, un Homme devant qui personne ne la ramène. Un homme plus à l’Est que Mme Merkel (qui elle-même, se tait devant lui, si, si…).
Un homme qui en 6 mois redresserait la France (et lui rendrait son Honneur et sa dignité) pendant que le pays avec lequel l’échange aurait eu lieu nous renverrait François au bout de 3 semaines (à coup de pompes dans le c…)
Amicalement
9 juillet 2014 @ 10:15
Je retire « le pas d’insulte » qui était humouristique.
Michelle Bachelet, dont le prénom a été choisi en hommage à Michèle Morgan1, est la fille du général de l’armée de l’air Alberto Bachelet, de lointaine ascendance française (vignerons de Bourgogne, à Chassagne-Montrachet en Côte-d’Or, d’où émigra en 1869 son arrière arrière-grand-père, l’œnologue Louis-Joseph Bachelet), et de l’anthropologue Ángela Jeria. Son père est entré en franc-maçonnerie sur l’insistance de son grand-père maternel, pacifiste et lui-même maçon2.
Durant le gouvernement du président Salvador Allende, le général Bachelet fut nommé à la tête du Bureau de distribution de produits alimentaires. Après le coup d’État du 11 septembre 1973, accusé de « trahison », il fut détenu et torturé par la dictature du général Pinochet. En mars 1974, il mourut d’un arrêt cardiaque sans doute dû aux mauvais traitements subis durant son emprisonnement, tandis que sa femme et sa fille étaient également incarcérées et torturées dans un autre centre de détention de Santiago.
Études
Après avoir fréquenté un lycée pour jeunes filles dont elle est sortie avec le baccalauréat en 1969, elle a continué ses études en entrant, en 1970, à la faculté de médecine de l’université du Chili. En 1975, après avoir été libérées par le régime militaire, la veuve et la fille du général Bachelet se réfugièrent en Australie, où vivait son frère depuis 1969. Puis Michelle Bachelet partit étudier l’allemand à Leipzig et poursuivre ses études médicales à l’université Humboldt de Berlin.
Elle revint s’installer au Chili en 1979, pour y achever ses études, sanctionnées en 1982 par l’obtention d’un diplôme de chirurgien. De 1983 à 1986, elle s’est spécialisée dans la pédiatrie et la santé publique dans les services de l’hôpital pour enfants Roberto del Río.
C’est à cette époque qu’elle s’est engagée en politique, militant pour le rétablissement de la démocratie, tout en participant à des ONG d’aide aux enfants des personnes torturées et disparues : de 1986 à 1990, elle dirigea d’ailleurs l’une de ces organisations, la PIDEE (Protección a la Infancia Dañada por los Estados de Emergencia).
Michelle Bachelet adhère au Parti socialiste dans les années 1970. Elle est devenue membre de son comité central en 1995 et, de 1998 à 2000, fut également membre du bureau politique. En 1996, sous les couleurs socialistes, elle se présenta aux élections municipales à Las Condes, dans la banlieue de Santiago, mais n’y obtint que 2,35 % des suffrages.
A noter que ses parents et elle furent emprisonnés et torturés sous la dictature de Pinochet.
Une grande Dame !
9 juillet 2014 @ 10:16
humoristique !!
4 juillet 2014 @ 15:30
Message à S.A.S:
Attention à la cravate de travers ;-)
4 juillet 2014 @ 21:11
Michelle Bachelet Grande femme politique.Admiration!!!!
5 juillet 2014 @ 11:26
Eh bien ma foi, « quel beau couple » ! ;-)
5 juillet 2014 @ 14:46
Madame bachelet est socialiste cela détonne avec albert
5 juillet 2014 @ 21:22
Il en connaît bien au moins un autre.