La reine Elizabeth alors bébé (née en 1926) dans les bras de son père le duc d’York, futur roi George VI. (merci à Caroline VM)
Archives : Elizabeth II bébé dans les bras de son père
25 Comments
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29 mai 2021 @ 01:19
Je n’aime pas cette nouvelle mode de coloriser les photos en noir et blanc.
Mais il faut dire que la reine Elizabeth était un bien beau bébé rieur. La reine Mary et le roi Edouard V l’adoraient ; elle était souvent en « pension » chez eux lorsque Albert et Elizabeth, duc et duchesse d’York à l’époque partait en voyage à l’étranger pour représenter la couronne.
29 mai 2021 @ 09:04
Pas plutôt le roi george V ?
29 mai 2021 @ 09:27
Voilà qui explique pourquoi Elizabeth, bébé, arborait ce collier incongru: elle rentrait juste d’un petit séjour chez granny Mary !
29 mai 2021 @ 02:28
C’est étonnant d’avoir une photo-couleurs aussi ancienne !
29 mai 2021 @ 21:34
C’est une photo colorisée Philibert, très bien d’ailleurs, ce qui n’est pas toujours le cas.
29 mai 2021 @ 03:37
Voilà où a commencé son amour pour les perles.
Elle a sûrement eu une enfance très heureuse.
29 mai 2021 @ 04:18
Magnifique cette photo en couleur pour la princesse Elizabeth II avec sont le roi George VI
29 mai 2021 @ 05:17
Photo inconnue et sympa. Bébé, pas vraiment…
29 mai 2021 @ 06:59
JAusten ! Edouard V et la reine Mary !…quel raccourci de l’histoire …
29 mai 2021 @ 09:30
Hahahah ! Roh lala ! George V bien sûr ! Même l’heure à laquelle j’ai écrit le commentaire ne justifie pas cette erreur.
Merci Regisdela
29 mai 2021 @ 07:02
J’aime beaucoup cette photo ! Sacré bébé rieur .
29 mai 2021 @ 10:12
Elle était magnifique!!
29 mai 2021 @ 11:40
L’ amour du père pour sa fille transparait même à travers les paupières baissées .
29 mai 2021 @ 12:00
A l’époque ni l’un ni l’autre ne savaient pas que leurs destins allaient changer.
29 mai 2021 @ 12:34
C’est touchant de voir la reine Elisabeth, enfant souriante, dans les bras de son père.
29 mai 2021 @ 12:42
Depuis ce moment, Elisabeth n’a jamais quitté les colliers de perles.
29 mai 2021 @ 16:07
Comme cette petite fille aux joues roses, quelques petites quenottes, dévoilées par un merveilleux sourire, le sourire qui reflète la joie de vivre .
Un papa qui s’émerveille au regard de sa petite fifille .
Dès, son plus jeune âge la reine Élisabeth ll vivait un grand amour paternel .
Une belle fusion entre un papa aimant, fier et sa progéniture. 💖💋
29 mai 2021 @ 16:34
Photo adorable! La Reine Elisabeth et la Princesse Maragaret ont eu une petite enfance heureuse avec des parents et grand-parents aimants. .
29 mai 2021 @ 17:01
Elle a toujours eu le même sourire alors. C’est incroyable ! UNe petite fille pleine de vie qui est née » avec un collier de perles au cou » (et non « une cuillère en argent dans la bouche » !)
30 mai 2021 @ 10:17
Elle était bien mignonne !
30 mai 2021 @ 10:17
Cette photo me fait fondre, toute la tendresse paternelle en ressort. Quelle adorable « bouille » toute souriante d’un bébé heureux. La Reine a semble t-il conservé cet heureux caractère, même si elle a moins affiché officiellement sa tendresse maternelle.
30 mai 2021 @ 13:53
Bébé bien joufflu.
Elle aurait pu suppléer M. Larcher.
30 mai 2021 @ 17:07
Lorsque l’enfant paraît , Victor Hugo
Lorsque l’enfant paraît, le cercle de famille
Applaudit à grands cris.
Son doux regard qui brille
Fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être,
Se dérident soudain à voir l’enfant paraître,
Innocent et joyeux.
Soit que juin ait verdi mon seuil, ou que novembre
Fasse autour d’un grand feu vacillant dans la chambre
Les chaises se toucher,
Quand l’enfant vient, la joie arrive et nous éclaire.
On rit, on se récrie, on l’appelle, et sa mère
Tremble à le voir marcher.
Quelquefois nous parlons, en remuant la flamme,
De patrie et de Dieu, des poètes, de l’âme
Qui s’élève en priant ;
L’enfant paraît, adieu le ciel et la patrie
Et les poètes saints ! la grave causerie
S’arrête en souriant.
La nuit, quand l’homme dort, quand l’esprit rêve, à l’heure
Où l’on entend gémir, comme une voix qui pleure,
L’onde entre les roseaux,
Si l’aube tout à coup là-bas luit comme un phare,
Sa clarté dans les champs éveille une fanfare
De cloches et d’oiseaux.
Enfant, vous êtes l’aube et mon âme est la plaine
Qui des plus douces fleurs embaume son haleine
Quand vous la respirez ;
Mon âme est la forêt dont les sombres ramures
S’emplissent pour vous seul de suaves murmures
Et de rayons dorés !
Car vos beaux yeux sont pleins de douceurs infinies,
Car vos petites mains, joyeuses et bénies,
N’ont point mal fait encor ;
Jamais vos jeunes pas n’ont touché notre fange,
Tête sacrée ! enfant aux cheveux blonds ! bel ange
À l’auréole d’or !
Vous êtes parmi nous la colombe de l’arche.
Vos pieds tendres et purs n’ont point l’âge où l’on marche.
Vos ailes sont d’azur.
Sans le comprendre encor vous regardez le monde.
Double virginité ! corps où rien n’est immonde,
Âme où rien n’est impur !
Il est si beau, l’enfant, avec son doux sourire,
Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire,
Ses pleurs vite apaisés,
Laissant errer sa vue étonnée et ravie,
Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie
Et sa bouche aux baisers !
Seigneur ! préservez-moi, préservez ceux que j’aime,
Frères, parents, amis, et mes ennemis même
Dans le mal triomphants,
De jamais voir, Seigneur ! l’été sans fleurs vermeilles,
La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles,
La maison sans enfants !
31 mai 2021 @ 15:43
MAGNIFIQUE poème ! D’une réalité si poétique et si profonde !
Ode à l’amour d´un enfant …
3 juin 2021 @ 10:38
La reine a embelli par la suite. Le roi, encore très jeune, avait déjà mauvaise mine, sans doute à cause de son tabagisme.
Pour la reine ce doit être une photo émouvante.