Voici des photos d’archives de l’impératrice Farah avec son fils le prince Reza, prises le même jour en mai 1961 dans le parc du palais de Niavaran à l’occasion des six mois du bébé. L’impératrice porte une robe d’organdie brodée créée par Marc Bohan pour la Maison Christian Dior. Le petit prince est habillé par Baby Dior. (merci à Marie Françoise – Copyright photos : DR)
1 novembre 2014 @ 13:03
Comme ces photo sont touchantes !
Sur la première photo, l’impératrice Farah irradie de bonheur.
Quel destin, elle aura assumé ! Et avec quel courage…
1 novembre 2014 @ 14:16
Comme elle était belle et radieuse ! Malgré ses souffrances, ses épreuves, elle a toujours beaucoup de classe et d’élégance, elle vieillit bien.
2 novembre 2014 @ 02:42
Tout à fait Bianca; elle était magnifique! Merci à Régine et Marie-Françoise pour ce reportage. Bon dimanche à vous toutes, FdC
2 novembre 2014 @ 12:39
Merci Francine, bon dimanche à vous aussi !
2 novembre 2014 @ 12:40
Merci à Marie-Françoise l’ensemble de ses reportages, bianca
1 novembre 2014 @ 14:19
Une maman rayonnante!
Merci Marie Françoise pour ce partage de très belles photos!
1 novembre 2014 @ 14:31
Je ne me lasse jamais de regarder ces belles photos d’archives.
Merci Marie-Françoise.
1 novembre 2014 @ 14:45
Merci Régine et Marie Françoise pour le belle photos. La robe Bohan de l’impératrice est magnifique et lui va a merveille, et puis elle était heureuse et cela donne de l’éclat.
1 novembre 2014 @ 14:53
Ca peut paraître étrange, mais je préfère l’impératrice Farah aujourd’hui, à la jeune femme de 23 ans qu’elle était sur ces photos.
J’aime ce qui se lit sur son visage d’aujourd’hui, ce parcours hors du commun entre l’éclat du règne, les douleurs de l’exil, puis celles du deuil (et quels deuils …) et cette manière, assez admirable je trouve, de se tenir, tout au long de cette route, droite et digne.
Il y a chez elle quelque chose d’une héroïne racinienne.
1 novembre 2014 @ 18:58
Pierre-Yves, avec ce magistral résumé de la vie et de l’attitude de l’impératrice Farah, vous avez tout dit .
2 novembre 2014 @ 08:16
Pierre-Yves vous avez tout à fait raison et je partage votre sentiment, votre avis et votre goût sur cette femme d’une grande beauté et d’une belle dignité!
Farah est encore plus belle auj hui!
1 novembre 2014 @ 14:54
Ce reportage fait apparaître le nom – sans soute bien oublié, hélas – de Marc Bohan.
Ce grand couturier n’exerce plus et nous aimerions avoir de ses nouvelles alors qu’il atteint maintenant l’âge vénérable de quatre vingt huit ans.
J’ai le souvenir d’une merveilleuse exposition à Kensington Palace – il y a trois ou quatre ans – consacrée à un événement qui n’existe plus depuis 1958, je crois : la présentation des « débutantes » à la reine.
Une robe signée Marc Bohan était montrée dans une vitrine, très simple, d’une couleur difficile à définir, entre le parme et le beige, parfaitement adaptée à l’événement très mondain qui marquait l’entrée des jeunes filles de la haute société dans le monde.
J’ai découvert qu’il avait travaillé pour Norman Hartnell, dont l’enseigne existe toujours dans Brutton street même si la maison n’existe plus, qui était, comme chacun le sait, fournisseur de la cour de saint James.
Marc Bohan restera celui qui succéda à Christian Dior.
Il n’a pas révolutionné la haute couture mais – à l’époque – il y avait encore une véritable haute couture avec de vraies clientes, très élégantes, et Marc Bohan les habillait d’une façon sublime.
Ce reportage sur l’impératrice Farah Palhavi en est une illustration.
2 novembre 2014 @ 08:19
Vous avez raison, Zeugma, de parler de Marc Bohan, longtemps le digne successeur discret de Mr.Dior!
Grace Kelly n’était-elle pas liée à l’époque et Stéphanie avait pu faire un stage chez lui, à Paris!
1 novembre 2014 @ 15:35
Les jours heureux….
1 novembre 2014 @ 19:35
Que Farah était heureuse !!
Le petit Reza joue avec les perles du collier de sa maman, comme beaucoup d’enfants.
1 novembre 2014 @ 22:39
Le temps du bonheur pour la jeune reine . Comment imaginer un destin aussi cruel ?Farah , que j’admirais tant pour sa beauté et son amour de la France il y a 55 ans, je l’admire maintenant pour son courage et sa dignité .
2 novembre 2014 @ 08:00
Avec sa jeunesse, et sa simplicité dont son époux était admiratif, Farah jeune reine et mère heureuse, avait sû donner au Shah la vie de famille qu’il attendait depuis si longtemps. Il souhaitait une épouse pour le seconder à son rôle officiel, et une épouse pour une vie privée familiale, ce qui était tout à fait légitime. Heureux enfin, le Shah était comblé, et la Cour d’Iran recevait beaucoup la presse pour séances photos et reportages plus « économiques » et sociaux. Il fallait que le Pays justifie ses changements de progrès.
Ces photos sont celles du plaisir de la petite famille du couple royal. C’est ainsi que l’on préfère toujours les Royaux, dans leur intimité « assez relative » j’entends bien.
2 novembre 2014 @ 08:16
Le soulèvement et la révolution ont touché leur pays 25 ans avant les autres ; tout n’était pas parfait, loin de là, mais ce qui a suivi…. Un destin digne d’une héroïne de tragédie pour Farah
2 novembre 2014 @ 09:25
Merveilleuse , belle , douce, et que des compliments dans ma tête pour l’impératrice. Merci Marie-françoise et Régine .
2 novembre 2014 @ 10:38
Pierre-Yves en effet a tout dit.
Quant à la robe qui est tellement belle et élégante, qu’elle n’est pas démodée, je me demande comment Farah les choisissait, puisqu’elle habitait loin de Paris. Aujourd ‘hui avec internet, ce serait facile de voir des tenues.
Peut-être faisait-elle confiance au couturier qui lui envoyait ses créations.
Cettre robe magnifique fait tout de même « overdressed » vu l’heure et la circonstance où elle est portée. Mais bon, ce sont les splendeurs orientales d’antan…
2 novembre 2014 @ 10:52
Elle a toujours été très souriante comme ça avec tous ses enfants, elle est une mère exemplaire.
2 novembre 2014 @ 11:21
Elle est magnifique la robe de l’impératrice, quel plaisir de voir ces photos d’archives.
3 novembre 2014 @ 11:28
quelles sont belles ces photos. Bon lundi
3 novembre 2014 @ 23:11
Les fêtes démesurées de Persépolis pour le couronnement du Shah et de la Shabanou ont été, à mon sens, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase
Tant d’Iraniens, à l’époque étaient dans la misère que ce déferlement de luxe a mis le feu aux poudres
4 novembre 2014 @ 14:29
Je pense comme vous Nelly, à l’époque les pauvres, les mendiants avaient volontairement été très éloignés du site où devaient se dérouler les festivités, la misère n’y avait pas sa place, question de prestige international ! Nous connaissons les conséquence désastreuses pour ce pays… !
Cordialement.