C’est le site espagnol Vanitatis qui l’indique photos à l’appui : l’infante Cristina et son époux Inaki Urdangarin sont venus ces dernières semaines à deux reprises en Espagne. Ils ont été reçus dans la finca La Toledana à Ciudad Real. Il s’agit d’une propriété du duc de Calabre, fils du défunt infant Carlos et de la princesse Anne de France. Depuis le verdict dans l’affaire Noos et malgré qu’Inaki Urdangarin n’ait finalement pas pris le chemin de la prison, le couple reste toujours indésirable dans l’entourage du roi Felipe et de la reine Letizia.

L’infante et son époux ont vu au fil des longs mois qui ont précédé le procès comment leur cercle d’amis s’était restreint. Des amis qui selon l’ancien secrétaire particulier des infantes, le très fidèle Carlos Garcia Revenga, étaient pour certains des courtisans de très mauvais conseils.

Si l’infante a évidemment toujours pu compter sur le soutien affectueux de sa mère la reine Sophie et de sa sœur l’infante Elena, toutes les deux soucieuses que Juan, Pablo, Miguel et Irene Urdangarin gardent le contact familial malgré le fait qu’ils résident à Genève, l’infante Cristina a aussi pu s’appuyer sur sa cousine et fidèle amie la princesse Cristina de Bourbon-Deux-Siciles, sœur de l’actuel duc de Calabre.

La venue de l’infante et d’Inaki à La Toledana, s’inscrit dans cette longue relation de confiance. La fille de l’infante Cristina, Irene a d’ailleurs parraine Pedro Lopez-Quesada, mari de la princesse Cristina. Selon Vanitatis lors du procès et de la nécessaire présence quotidienne de l’Infante Cristina et de son époux à Palma de Majorque, c’est la princesse Cristina de Bourbon-Deux-Siciles qui veillait à Genève sur Miguel et Irene, les plus jeunes enfants du couple. 

A noter que la princesse Cristina de Bourbon-Deux-Siciles, mère de deux enfants, et qui vit à Madrid, entretient également des relations très proches avec le roi Felipe et la reine Letizia, les accompagnant parfois leurs de leurs sorties à des concerts.