Harald a souvent de sérieux soucis de santé mais on le voit quand même honorer de sa présence des engagements;il faut dire que mis à part lui il n’y a que la reine ou Haakon pour le faire.
Pour le coup, cette monarchie est particulièrement resserrée. La Norvège compte peu d’habitants, mais le pays est vaste. Ils ne sont plus que 3 à pouvoir honorer les engagements du calendrier royal. Et la princesse sera absente pendant plusieurs années avant de pouvoir épauler son père. Quelle différence flagrante avec la Suède.
A-t-il vraiment le choix? Peu-être plus. Sa progéniture n’est plus représentative de ce que l’on attend d’un futur roi. Les compromissions et connivences du couple héritier dans l’absence d’éducation du fils aîné, et la gestion de ses délits et crimes posent question. Est-ce la même éducation permissive qui a été prodiguée à la future princesse héritière?
Famille laxiste qui a voulu vivre comme tout un chacun, c’est-à-dire comme une famille sans contraintes de rang, de responsabilités monarchiques ou princières, et le roi Harald, le premier, en contractant un mariage hors des principes en vigueur dans les royautés, et non conforme à la formule : » car tel est notre bon plaisir », a peut-être ouvert la voie à une libéralisation conduisant au mariage du prince et de la bergère qui fait tant rêver les gens d’ici-bas (comme beaucoup d’entre nous!), mais dont on constate hélas, les conséquences des hiatus irréconciliables entre des mondes trop différents, des éducations sans règles suffisamment strictes, indispensables pour permettre à une famille souveraine de se maintenir, comme le stipule la devise de la famille d’Orange : « je maintiendrai ».
A l’évidence, telle n’a pas été celle de la famille de Norvège, avec le mariage (contre vents et marées du futur roi Harald avec la future reine Sonia), l’éducation permissive donnée à leurs deux enfants, le prince héritier avec ce mariage plus qu’hors normes avec la future princesse héritière, qui a fréquenté une jeunesse plus que débridée, et participé à des soirées où alcool et drogues diverses circulaient sans limites, les participations à des émissions racoleuses au cours desquelles, elle cherchait l’âme sœur (je crois qu’elle était alors enceinte), ce qui en dit long sur l’absence de principes élémentaires de bienséance de la jeune femme, qui aurait pu, tout en appartenant à une classe sociale modeste, du moins avoir une conduite respectable. Tout au contraire, la jeune fille, avec une blondeur de bon aloi, est venue à l’antenne faire amende honorable pour que la société norvégienne accepte un mariage, qui était, toutes causes confondues, réputé impossible.
Reste l’ineffable princesse Martha Louise, qui a alimenté les chroniques journalistiques avec ses envolées, sur les mondes parallèles, les anges, les vies antérieures etc…
On est en droit de s’étonner de ce que les deux parents aient à ce point, non pas engendré deux hurluberlus,mais ne leur aient pas donné une éducation que leur
position et leur fortune leur permettait, à condition que cela leur ait paru, indispensable, eu égard à leur position de souverains.
Donc, tant le roi Harald, que la reine Sonia, chacun séparément ou les deux ensemble, ont lourdement failli, d’une part en tant que parents,mais surtout en tant que souverains d’un royaume pour lequel, ils avaient le devoir de travailler à sa pérennité (aujourd’hui peut-être en péril), et d’en respecter le principe même, principe souverain fait de devoirs, tels que la reine d’Angleterre s’en a fait de façon exemplaire un devoir jusqu’à son dernier jour.
Quant à la maladie de la princesse, qui n’est pas contestée, ( qui est peut-être due ses excès), nul doute qu’aujourd’hui, elle lui sert, selon la géométrie variable, d’être ou de pas être là où on l’attend.
22 septembre 2025 @ 08:10
Infatigable et admirable roi Harald.
22 septembre 2025 @ 08:48
En effet.
Et ici, on ne parle pas de « très âgés » comme pour la cour de Grande-Bretagne.
Alors qu’ils sont, tout comme en Suède, plus âgés.
22 septembre 2025 @ 12:21
Le sourire soustrait quelques années.
22 septembre 2025 @ 11:08
J’aime ce roi, grand sénior, toujours très actif et il me fait penser à feue la reine Elisabeth.
22 septembre 2025 @ 11:35
Église qui fut donc catholique avant de devenir luthérienne et où le tabernacle a disparu.
22 septembre 2025 @ 16:33
Tout à fait Jean-Pierre, bravo !
22 septembre 2025 @ 13:54
Harald a souvent de sérieux soucis de santé mais on le voit quand même honorer de sa présence des engagements;il faut dire que mis à part lui il n’y a que la reine ou Haakon pour le faire.
22 septembre 2025 @ 17:20
Pour le coup, cette monarchie est particulièrement resserrée. La Norvège compte peu d’habitants, mais le pays est vaste. Ils ne sont plus que 3 à pouvoir honorer les engagements du calendrier royal. Et la princesse sera absente pendant plusieurs années avant de pouvoir épauler son père. Quelle différence flagrante avec la Suède.
22 septembre 2025 @ 23:09
Il bosse,même usé !Bravo !
23 septembre 2025 @ 13:36
A-t-il vraiment le choix? Peu-être plus. Sa progéniture n’est plus représentative de ce que l’on attend d’un futur roi. Les compromissions et connivences du couple héritier dans l’absence d’éducation du fils aîné, et la gestion de ses délits et crimes posent question. Est-ce la même éducation permissive qui a été prodiguée à la future princesse héritière?
Famille laxiste qui a voulu vivre comme tout un chacun, c’est-à-dire comme une famille sans contraintes de rang, de responsabilités monarchiques ou princières, et le roi Harald, le premier, en contractant un mariage hors des principes en vigueur dans les royautés, et non conforme à la formule : » car tel est notre bon plaisir », a peut-être ouvert la voie à une libéralisation conduisant au mariage du prince et de la bergère qui fait tant rêver les gens d’ici-bas (comme beaucoup d’entre nous!), mais dont on constate hélas, les conséquences des hiatus irréconciliables entre des mondes trop différents, des éducations sans règles suffisamment strictes, indispensables pour permettre à une famille souveraine de se maintenir, comme le stipule la devise de la famille d’Orange : « je maintiendrai ».
A l’évidence, telle n’a pas été celle de la famille de Norvège, avec le mariage (contre vents et marées du futur roi Harald avec la future reine Sonia), l’éducation permissive donnée à leurs deux enfants, le prince héritier avec ce mariage plus qu’hors normes avec la future princesse héritière, qui a fréquenté une jeunesse plus que débridée, et participé à des soirées où alcool et drogues diverses circulaient sans limites, les participations à des émissions racoleuses au cours desquelles, elle cherchait l’âme sœur (je crois qu’elle était alors enceinte), ce qui en dit long sur l’absence de principes élémentaires de bienséance de la jeune femme, qui aurait pu, tout en appartenant à une classe sociale modeste, du moins avoir une conduite respectable. Tout au contraire, la jeune fille, avec une blondeur de bon aloi, est venue à l’antenne faire amende honorable pour que la société norvégienne accepte un mariage, qui était, toutes causes confondues, réputé impossible.
Reste l’ineffable princesse Martha Louise, qui a alimenté les chroniques journalistiques avec ses envolées, sur les mondes parallèles, les anges, les vies antérieures etc…
On est en droit de s’étonner de ce que les deux parents aient à ce point, non pas engendré deux hurluberlus,mais ne leur aient pas donné une éducation que leur
position et leur fortune leur permettait, à condition que cela leur ait paru, indispensable, eu égard à leur position de souverains.
Donc, tant le roi Harald, que la reine Sonia, chacun séparément ou les deux ensemble, ont lourdement failli, d’une part en tant que parents,mais surtout en tant que souverains d’un royaume pour lequel, ils avaient le devoir de travailler à sa pérennité (aujourd’hui peut-être en péril), et d’en respecter le principe même, principe souverain fait de devoirs, tels que la reine d’Angleterre s’en a fait de façon exemplaire un devoir jusqu’à son dernier jour.
Quant à la maladie de la princesse, qui n’est pas contestée, ( qui est peut-être due ses excès), nul doute qu’aujourd’hui, elle lui sert, selon la géométrie variable, d’être ou de pas être là où on l’attend.