C’est avec son fils le prince Reza et de sa belle-fille la princesse Yasmine que l’impératrice Farah d’Iran a célébré Norouz, le Nouvel An iranien. (merci à Véronique Y)
MoreLa famille impériale d’Iran célèbre Norouz
35 Comments
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22 mars 2024 @ 00:30
Que cette nouvelle année soit celle de la fin de la dictature et que les femmes,surtout, retrouvent la liberté !
22 mars 2024 @ 02:52
C’est ce qu’on appelle une table bien (trop) garnie. Les dames ont travaillé très fort. Peut-être que le prince a mis la main à la pâte? Je dirais plutôt que la famille a largement les moyens de se payer du personnel.
22 mars 2024 @ 16:31
Il y a au moins la moitié qui n’est pas comestible car chargé de symboles.
22 mars 2024 @ 03:09
Très belle famille et l’impératrice ne paraît vraiment pas son âge!
22 mars 2024 @ 06:03
Et dans une prison de Téhéran le prix Nobel est encore torturée dans l’indifférence.. Hommage.
22 mars 2024 @ 09:15
Elmalik
Ce n’est quand même pas la faute de la famille impériale !!!
22 mars 2024 @ 13:10
Non, pas dans l’indifférence. De nombreux médias et associations font part régulièrement de sa situation.
25 mars 2024 @ 14:06
Certainement pas dans l’indifférence de Farah d’Iran qui combat auprès de son fils Reza cette terrible dictature mais à son âge que voulez vous qu’elle fasse de plus ?
22 mars 2024 @ 06:42
Voilà une femme élégante depuis toujours et qui le reste malgré les années …
22 mars 2024 @ 13:24
Sa belle-fille pas très élégante…!
22 mars 2024 @ 15:54
Elle a surtout pris des rondeurs et elle arbore un décolleté plus que plongeant…
22 mars 2024 @ 06:44
J’espère qu’ils sont plus que 4 pour manger tout ça!
Bon année à tous les iraniens : exilés ou non
À toutes les femmes surtout.
22 mars 2024 @ 09:19
Les plantes succulentes, les fleurs sont là je pense pour la décoration.
D’ailleurs à tous ces critiques panurgiens et bien-pensants : ” L’herbe est déjà bien verte ,allez donc la bouter ! ”
22 mars 2024 @ 07:17
Elles sont magnifiques toutes les 3
22 mars 2024 @ 07:20
Dans ses « Mémoires » de 2003, l’Impératrice expliquait cette fête du printemps si forte en Iran..Elle racontait du temps de son enfance, comment sa famille la préparait. Les familles Iraniennes mettaient tant de soins à faire du « Norouz » une réunion de famille et d’amis, (peut être aussi pleine de sens que nos Noëls) à nous, sans les cadeaux.. Table bien chargée…quand même. ET La couleur rose domine, en végétal.. Les jacinthes sont très importantes dans cette décoration..
22 mars 2024 @ 07:58
ils vont manger tout ça ??
22 mars 2024 @ 16:33
Avez vous détaillé les éléments…objets, fleurs et herbe, beaucoup de symboles….peu comestibles 🙃🙃🙃
22 mars 2024 @ 08:19
Très belle table, j’aime beaucoup des petits raviers/bonbonnières surmontés d’une cloche argentée.
Comme en Provence, coupelles avec du blé qui a germé.
Chez mes parents nous disposions sur du coton des graines de blé et aux fêtes de Noël/Nouvel An la décoration simple de la table était toujours au rendez-vous.
22 mars 2024 @ 08:46
Les deux premières photos ont été prises dans les salons d’un hôtel, la troisième est plus intime.
22 mars 2024 @ 09:44
Ce qui explique que malgré la profusion de mets et le côté surchargé de la table, le décor soit aussi impersonnel et n’inspire aucune chaleur humaine.
Vu le nombre de portes, on pense à un cliché pris dans le corridor d’un palace américain.
22 mars 2024 @ 09:17
Bonne année, Madame.
22 mars 2024 @ 09:56
Très belles photos de famille.
22 mars 2024 @ 10:08
Malgré les années et les épreuves qui ne lui ont pas manqué, je continue à admirer énormément l’impératrice pour ss dignité et son élégance toujours parfaite.
22 mars 2024 @ 10:23
FARAH PALHAVI TOUJOURS IMPÉRIALE ……..
22 mars 2024 @ 11:19
Les Iraniens mettent souvent des photos de la famille impériale sur Instagram , comme cela on est au courant des activités de Farah:
22 mars 2024 @ 12:00
Quelle table ! ils ont dû attendre la nuit pour déguster tout ça pour cause de Ramadan ,non?
Chez nous aussi nous avons la tradition provençale du blé planté dans trois soucoupes le 4 décembre jour de la Sainte Barbe ,on les pose sur la table le jour de
Noël.
22 mars 2024 @ 12:16
Toujours un plaisir de voir l’Impératrice Farah qui malgré tant d »épreuves, exil, deuils , a su garder toute son élégante dignité et sa classe
22 mars 2024 @ 15:38
Sur Internet, j’ai trouvé cette nouvelle intéressante qui explique aussi la mise de la table: « La nouvelle année du calendrier persan a commencé aujourd’hui, célébrée dans diverses régions du Moyen-Orient et d’Asie sous le nom de Nowruz, littéralement : nouveau jour, ou d’autres variantes phonétiques (par exemple Newroz en kurde). Cette fête coïncide avec l’équinoxe de printemps et a une forte valeur symbolique liée à la renaissance et au cycle de la nature. Il s’agit d’une tradition très ancienne, liée à la religion zoroastrienne et encore répandue notamment en Iran, en Afghanistan, au Kurdistan, mais aussi dans d’autres pays comme l’Azerbaïdjan, l’Albanie, la Bosnie, la Géorgie, le Turkménistan, le Tadjikistan, l’Ouzbékistan, le Kirghizistan, le Kazakhstan et le Pakistan. . Nowruz est célébré chaque année par environ 300 millions de personnes dans le monde. Les préparatifs de la fête commencent une dizaine de jours avant par un nettoyage en profondeur de la maison (Khane takoni, en persan), symbole de purification et de renouveau. Il est également courant d’acheter et de porter des vêtements entièrement neufs pendant cette période. En Iran, où commence aujourd’hui 1403 du calendrier persan, le dernier mercredi de l’année (Chaharshanbe Suri) est également célébré en allumant de petits feux de joie dans la rue sur lesquels il est de tradition de sauter en récitant la formule : « Zardi-ye man az to, sorkhi -ye to az man », littéralement « mon jaune pour toi, ton rouge pour moi ». L’invocation s’adresse au feu, auquel on donne son « jaune », qui représente la faiblesse, et auquel on demande en échange du « rouge », ou de la force. Ce rituel dérive des anciennes croyances dualistes zoroastriennes et symbolise la défaite des ténèbres par la lumière. Une autre tradition indispensable est la constitution d’un tableau contenant sept éléments allégoriques dont le nom commence par l’équivalent de la lettre « S » en persan et pour cette raison appelé Haft sin (sept S). Le Sabzeh (germes de blé ou de lentilles), symbole de renaissance, ne peut manquer ; Sib (pomme) représentant la beauté et la santé ; Sir (ail) qui évoque le pouvoir de la médecine, Serkeh (vinaigre), qui est associé à la patience, Somaq (somac, épice rouge typique) symbole de l’aube, Senjed (olives sauvages) qui représente l’amour, Samanu (dessert semblable à un pudding) , qui évoque l’abondance. Des pièces de monnaie (Sekkeh), des fleurs comme le Sombul, des poissons rouges, des miroirs et d’autres éléments apparaissent également souvent dans la table Haft sin. Enfin, il y a toujours un livre : parfois le Coran ou le recueil de chansons de célèbres poètes persans comme Hafez. Les célébrations de Nowruz durent treize jours, au cours desquels parents et amis échangent des visites et les plus jeunes membres des familles reçoivent de l’argent en cadeau (souvent placé dans un exemplaire du Coran ou d’autres livres). Le treizième jour après le début de la nouvelle année (Sizdah bedar), il est de coutume de célébrer avec un pique-nique en plein air en compagnie, qui conclut la période des vacances. La tradition du Nowruz est considérée comme faisant partie du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. »
22 mars 2024 @ 18:38
Quel buffet !
Bonne nouvelle année iranienne à tous.
L’impératrice est toujours aussi chic.
22 mars 2024 @ 19:43
Il y a beaucoup plus de décoration très rutilante que de nourriture ! Ces critiques sans fondement sont horripilantes. Bonne année à toute la famille et aux iraniens.
23 mars 2024 @ 09:31
Merci beaucoup Carla pour ces précisions et pour avoir évité le copier/coller.
23 mars 2024 @ 14:53
A l’occasion du printemps, et à l’ adresse de Régine et de tous les participants
Premier sourire du printemps
Tandis qu’à leurs oeuvres perverses
Les hommes courent haletants,
Mars qui rit, malgré les averses,
Prépare en secret le printemps.
Pour les petites pâquerettes,
Sournoisement lorsque tout dort,
Il repasse des collerettes
Et cisèle des boutons d’or.
Dans le verger et dans la vigne,
Il s’en va, furtif perruquier,
Avec une houppe de cygne,
Poudrer à frimas l’amandier.
La nature au lit se repose ;
Lui descend au jardin désert,
Et lace les boutons de rose
Dans leur corset de velours vert.
Tout en composant des solfèges,
Qu’aux merles il siffle à mi-voix,
Il sème aux prés les perce-neiges
Et les violettes aux bois.
Sur le cresson de la fontaine
Où le cerf boit, l’oreille au guet,
De sa main cachée il égrène
Les grelots d’argent du muguet.
Sous l’herbe, pour que tu la cueilles,
Il met la fraise au teint vermeil,
Et te tresse un chapeau de feuilles
Pour te garantir du soleil.
Puis, lorsque sa besogne est faite,
Et que son règne va finir,
Au seuil d’avril tournant la tête,
Il dit : » Printemps, tu peux venir ! »
Théophile Gautier.
25 mars 2024 @ 20:03
Merci Menthe Allo. J’entends encore ma mère nous réciter fièrement cette poésie apprise à l’école dont elle se souvenait parfaitement et dans son entièreté. Je l’ai apprise également mais malheureusement, je n’ai pas une aussi bonne mémoire.
23 mars 2024 @ 19:35
Une table très surchargée en déco et de quoi grignoter, présenté de façon plus symbolique que pratique. (Salé ou sucré ? Apéro ou après-dessert ?) Je suppose que des plats sur assiette sur une vraie table à manger ont aussi été servis.
25 mars 2024 @ 14:11
C’était une soirée à Whachington pour célébrer Norrouz avec les Iraniens expatriés aux USA , soirée à laquelle l’impératrice cet sa famille étaient invitées !