A Buckingham Palace, la reine Elizabeth II a reçu en audience l’ambassadeur du Pérou. (Copyright photo : PA)
La reine Elizabeth reçoit l’ambassadeur du Pérou
19 Comments
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23 octobre 2012 @ 10:31
Notre Lilibeth est bien fraiche et souriante avec sa robe abricot!
23 octobre 2012 @ 10:41
Très belle pièce d’ébénisterie en arrière plan, et je m’y connais!! vu que c’est mon métier d’origine…beau bureau à cylindre, plaqué en noyer, légerement teinté et poli au tampon.
Belle journée à tous.
Guy martin
23 octobre 2012 @ 13:41
A-t-il été piqué à Versailles ?
23 octobre 2012 @ 14:12
Guy Martin
Vous m’y faites penser, soudainement, Martin comme le vernis du même nom ? Pour un ébéniste, ce serait top !
Le bureau à cylindre est magnifique, j’aimerais bien en connaître la provenance (France ? Epoque Louis XVI ?) etc…
24 octobre 2012 @ 22:04
Le secrétaire est en fait un bureau Louis XVI à cylindre, un Louis XVI tardif flirtant déjà avec le Directoire.
Il fait partie du mobilier installé dans la » 1844 Room » , décorée par les soins mêmes du Prince Albert en l’honneur de la visite du Tsar Nicolas 1er à la Reine Victoria.
Ce bureau – pour ce que j’en vois – comprend un tiroir central flanqué de deux corps latéraux dotés de casiers. Le cylindre est surmonté d’un gradin. Le tout plaqué d’un acajou rutilant est souligné de filets de laiton doré.
Bien à vous.
25 octobre 2012 @ 00:29
Damien B.
Merci de ces précieuses informations, que j’ai pris soin de noter, de l’emplacement de ce très beau meuble à sa description détaillée.
J’imagine tous les petits tiroirs et casiers dissimulés derrière le cylindre…
Ayant d’abord cru que le gradin était orné en son centre d’une pendulette ronde, je me suis avisée en zoomant qu’il s’agissait plus certainement d’une figurine peinte sur un médaillon de porcelaine, une miniature en quelque sorte. Mais c’est très flou.
Le tsar Nicolas, la reine Victoria et le prince Albert ont sans doute posé les yeux sur lui, l’ont effleuré du doigt peut-être et sans doute marché sur le somptueux tapis étendu à ses pieds…Ah, si les objets pouvaient parler !
24 octobre 2012 @ 18:59
Riesener ? c. 1775 ?
23 octobre 2012 @ 10:49
Cette couleur orange claire lui va très bien.
La reine est merveilleuse.
23 octobre 2012 @ 11:04
Que votre Majesté est ravissante ou bien : Your Majesty is lovely
23 octobre 2012 @ 14:13
La reine est toujours belle.
23 octobre 2012 @ 15:07
Ravie de la revoir, en plus souriant et apparemment en forme.
23 octobre 2012 @ 15:12
Qu il est drole de voir ces hommes politiques souvent puissants etre comme de petits enfants face a cette vieille dame.
Apres son reigne les choses seront certainement differentes …
23 octobre 2012 @ 18:24
Ca alors ! Je ne sais pas si c’est fait exprès, ou si le photographe a mis un filtre spécial ( il semble que non) , mais toutes les couleurs sont en harmonie, du tapis à la tenture murale en passant par la robe de la reine : ?
La Reine ne choisit quand même pas ses robes en fonction du tapis de la salle d’audience, ou si ?
23 octobre 2012 @ 18:27
Ceci dit, la Reine est ravissante, souriante, c’est comme si elle brillait doucement.
On peut souhaiter être semblable au même âge .
Par ailleurs, je la trouve beaucoup mieux habillée les dernières années que jadis : beaucoup plus sobre, moins de fleurettes. Plus élégante, en somme.
Apparemment, son habilleuse a pris les choses en main.
23 octobre 2012 @ 19:36
Jolie tenue abricot pour Sa Majesté qui a retrouvé son lumineux sourire !
23 octobre 2012 @ 20:33
Aura t’il chanté à Lilibeth le standard de l’hispanité « Péroucoucouroucoucou, paloma… » tout en frottant les mains ?
24 octobre 2012 @ 08:17
:)
23 octobre 2012 @ 23:15
Cher Aubert, rien n’a été « piqué » à Versailles, comme vous le dites : tout a été vendu par la Convention : les meubles, la vaisselle , les tentures, les pendules et même les … casseroles des cuisines et jusqu’aux paquets de café. Il y eut une exposition il y a une quinzaine d’années à la Mairie du Vème arrondissement qui relatait cela. La vente a duré plusieurs mois.
24 octobre 2012 @ 19:29
Merci Lorraine 1 de me tenir informé. Je croyais que c’était un coup de « Bond, James Bond ».