La sheikha Al Mayassa, soeur de l’émir du Qatar et présidente des musée du Qatar a participé à Bâle en Suisse à une séance-débat à la Fondation Beyeler avec Jack Hertzog, Urs Fisher et Wael Schauki, animée par Hans Ulrich Oubrest, au cours de laquelle ils ont discuté du rôle des institutions culturelles, des œuvres d’art et des musées dans le renouvellement des perceptions liées à la culture . (merci à Guizmo)
20 juin 2025 @ 03:50
La mise en avant de la famille royale du Qatar me met mal à l’aise.
20 juin 2025 @ 04:52
Quel plaisir de voir cette jolie jeune femme portant des vêtements seyants, de couleur gaie et les cheveux libres ! Cela change des abayas, tenues de deuil de la beauté féminine.
20 juin 2025 @ 06:19
Intéressant!
La fondation ne Beyeler, de Renzo Piano, est un véritable joyau architectural et leurs expositions sont toutes à voir!
20 juin 2025 @ 10:30
milou,
C’est curieux, je pensais à cette fondation il y a quelques jours.
J’y allais chaque fois que je retournais dans ma famille, j’aimais beaucoup, mais je n’ai plus l’occasion.
20 juin 2025 @ 06:28
Elle est vraiment jolie habillée ainsi et enfin on voit sa chevelure
20 juin 2025 @ 06:52
Elle est fort jolie quand elle est » occidentale » !
20 juin 2025 @ 07:40
la partie émergée de l’iceberg vient faire des relations publiques en Europe en polissant une gentille image bien rassurante, quant à la partie immergée du vilain petit Qatar, elle ne fait pas sourire du tout en sous mains ,tous les mouvements les plus fondamentalistes, voire pires encore, sont inondés d’argent qui n’ont rien a voir avec la culture!
20 juin 2025 @ 10:18
Hélas , trois fois hélas merci Visder pour ce commentaire courageux.
20 juin 2025 @ 10:35
Bien trouvé « le vilain petit Qatar ». 😊
20 juin 2025 @ 08:05
elle es joliment belle,elle m’est bien plus sympathique comme cela .
20 juin 2025 @ 08:20
Cette femme est juste ravissante.
20 juin 2025 @ 08:24
Guizmo, je ne sais pas si c’est vous qui avez proposé cette photo, beaucoup plus avenante, si je puis dire, de la Sheikha Al Mayassa ?
C’est en 1952 qu’Ernst Beyeler et son épouse Hildy ont rebaptisé leur commerce de livres anciens et d’antiquités sur la Bäumleingasse 9 à Bâle en « Galerie Beyeler » et, en 1997, ont ouvert la Fondation Beyeler, conçue par Renzo Piano, l’un des musées les plus importants et les plus beaux au monde. Pour Byeler, le négoce avec les œuvres d’art reposait sur une règle simple : il s’agissait d’acheter deux nouvelles œuvres pour chaque œuvre vendue. Il s’était spécialisé dans le commerce des gravures, lithographies d’Honoré Daumier, d’Henri de Toulouse-Lautrec ou des estampes colorées japonaises. Il fréquenta assiduement les ventes aux enchères londoniennes et attira de plus en plus d’Américains dans les expositions de la galerie. Il céda des oeuvres de Klee à Düsseldorf et des sculptures de Giacometti à la Giacometti-Stiftung de Zurich. Ernst Beyeler est décédé en 2010, deux ans après son épouse Hildy (site de la Fondation Beyeler).
20 juin 2025 @ 10:37
Mais elle est charmante ! En plus elle semble intelligente. J’aime bien cette photo.