Voici la statue dédiée à l’impératrice Elisabeth « Sissi » d’Autriche installée à proximité de la gare centrale de Trieste et érigée peu après le décès de l’impératrice. (Merci à Caroline)
La statue de Sissi à Trieste
16 Comments
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1 juin 2011 @ 07:45
Cette statue a eté commissioneé à l’architect Franz Seifert et on l’a erigeé en 1912 dans cette place pour la déplacer ensuite en 1919 . On l’a réplaceé devant la Gare il y a 10-12 ans.
1 juin 2011 @ 09:17
Un tombeau lui a été erige a Geneve ou elle a été assassine sur les bords du Lac Leman! Celui-ci est magnifique également!
1 juin 2011 @ 11:46
Chere Regine,je vous remercie vivement pour la publication de ces photos que j’ai realisees durant mon voyage recent a Trieste,la ville natale de ma belle-fille italo-autrichienne!Cette belle ville calme est situee au Nord-Est d’Italie entre l’Autriche et la Slovenie a ete possedee pendant cinq siecles par les Habsbourg autrichiens.On pourrait comprendre que Trieste a encore une influence et un modele tout a fait viennois!Si vous allez a Trieste ,je vous conseille de visiter le beau chateau de Miramar qui a ete habite par l’archiduc Maximilien,beau-frere de Sissi d’Autriche, avec safemme la princesse Charlotte de Belgique!Pour la petite histoire ‘geographique’,la region de Trieste avec son magnifique golfe est le point le plus nordique de la Mer Mediterrannee!
1 juin 2011 @ 11:49
Le chateau de Miramar est deja compris dans la rubrique de ‘Chateaux’dans ce site Noblesse et Royautes!A Lire!
1 juin 2011 @ 12:32
Je suis particulièrement intéressée par cet article car je lis actuellement une biographie de l’Impératrice Elisabeth d’Autriche et je suis très touchée à la découverte des difficultés qu’elle a rencontrées (j’en connaissais l’existence mais pas l’importantce) : les relations déplorables avec sa belle-mère, le deuil de sa fille Sophie, ses enfants qui lui étaient systématiquement « confisqués » par cette même belle-mère, les infidélités de son mari dont l’amour lui était, avant, son seul secours, et je n’ai pas encore terminé…
2 juin 2011 @ 21:32
Alors là je suis très étonnée par vos propos concernant les infidélités supposées de l’Empereur François-Joseph!! Son amour pour sa femme Elisabeth était inconditionnel! En fait, Elisabeth n’aimait pas du tout les relations sexuelles (au grand désespoir de son mari bien sur). En effet, il eu une ou quelque(s) relation(s) sexuelle(s) avec des femmes que l’on appellait à l’époque des « comtesses hygiéniques », mais c’est tout. Et si vous pensez à Katharina Schratt, en fait j’avoue que la relation était ambigüe et même encouragée par l’Impératrice elle-même. Selon les ouvrages, on la décrit comme étant effectivement la maîtresse de l’Empereur, mais dans d’autres, on peut lire que l’Empereur a toujours résisté à la tentation (si elle a eu lieu); mais dans tous les cas, elle fut une confidente importante, surtout après la mort de l’Impératrice.
1 juin 2011 @ 12:37
De nombreux endroits montrent l’impact qu’avait la personnalité attachante de l’impératrice d’ Autriche.
1 juin 2011 @ 13:19
En effet,ma belle-fille et sa famille sont tres attachees a Sissi d’Autriche pour des raisons personnelles,ce sont elles qui m’ont fait tomber d’admiration envers l’imperatrice d’Autriche!
1 juin 2011 @ 13:09
Laurette
Le tombeau d’Elisabeth d’Autriche n’est pas à Genève mais à Vienne, dans la Crypte des Capucins.
Sur les lieux de l’attentat, à Genève, il y a une simple plaque et une statue ultra-moderne de l’impératrice. Je pense que vous confondez avec le monument du duc de Brunswick qui se trouve non loin de là, mais qui n’a rien à voir avec Sissi.
1 juin 2011 @ 14:16
Les classique ravages d’un cour à l’étiquette draconienne… Elisabeth d’Autriche, narcissisme, mélancolie, anorexie (50cms de tour de taille, pour 1m72 et 50kgs)et un culte démesuré pour son corps et ses cheveux :
« Je suis l’esclave de mes cheveux » : Lavage toutes les 3 semaines pour un séchage qui dure la journée. Trois heures quotidiennes de coiffure pour fixer les tresses par Fanny Angerer, maitresse absolue de la chevelure impériale qui cachait sur un peigne adhésif le moindre cheveu tombé, par crainte des foudres de sa maitresse…
1 juin 2011 @ 15:22
Merci Caroline pour ces photos de la statue de l’impératrice !
1 juin 2011 @ 16:32
Caroline,
Merci de nous faire partager ces photos.
J’apprecie beaucoup ce type d’echange entre lecteurs de Noblesse et Royautes.
Bien a vous,
Charles
1 juin 2011 @ 17:25
Le long du lac Léman il y a deux statues de l’impératice qui, comme vous le savez, a été assassinée à Genève. La plus ancienne est à Territet, près de Montreux :
http://album.aufeminin.com/album/see_651573_5/Imperatrice-Elisabeth.html
Autrefois elle était un peu en retrait, mais depuis l’élargissement de la route, il y a peu de recul et c’et dommage.
La seconde juste en face de l’Hôtel Beau-Rivage où elle est décédée. Elle a été inaugurée il y a plusieurs années en la présence du couple royal roumain.
http://l-imperatrice-errante.over-blog.fr/categorie-11673689.html (lien intéressant avec de très belles illustrations)
1 juin 2011 @ 22:17
je ne l’ai pas vu cette statue où se trouve t’elle eactement ?
2 juin 2011 @ 09:34
Chaton, De quelle statue parlez-vous ?
Celle de Territet se trouve près de l’ancienne gare du funiculaire, près de l’églse anglicane (sur l’Avenue de Chillon, à gauche après avoir passé sous la ligne des chemins de fer en venant de Montreux).
Celle de Genève se trouve dans le square sur le Quai du Mont-Blanc, vraiment juste en face de l’hôtel Beau-Rivage. Vu sa couleur, il est vrai qu’elle n’est pas très visible. Quand ensuite on longe le quai en direction du Pont du Mont-Blanc, sur la balustrade on trouve une plaque indiquant l’endroit où l’impératrice a été assassinée.
Si on est vraiment intéressé par l’impératrice, on peut s’adresser à la réception de l’hôtel Beau-Rivage et leur demander si on peut visiter le petit musée qui a été consacré à l’impératrice puisqu’elle y est morte. On y voit quelques objets qui lui ont appartenu.
2 juin 2011 @ 12:14
A la mort de l’Impératrice Elisabeth, un certain nombre de statues ont été érigées dans l’Empire, entre autres à Budapest et à Meran, lieux chers à son coeur.
Le culte de Sissi doit beaucoup à sa fin tragique car de son vivant si elle était admirée pour sa beauté elle n’était pas très aimée, surtout à Vienne qui lui reprochait ses trop nombreuses absences.