Le prince a également accordé une interview au cercle Émir Abdelkader, dans lequel il est revenu sur la vie de l’émir, son parcours, ses valeurs et l’héritage qu’il a laissé dans notre mémoire.

A cette occasion, le comte de Paris a retrouvé la princesse Yasmine Murat, l’épouse du prince Joachim, prince de Pontecorvo.

Un portrait de l’émir Abdelkader (1808-1883), prêté par le château de Versailles, est exposé actuellement dans l’un des salons du château.
Le célèbre chef spirituel et militaire algérien a vécu quatre ans au château d’Amboise en tant que prisonnier de novembre 1848 à 1852 libéré par le futur Napoléon III. (photos site du Comte de Paris et Jean-Marie Millasseau – Merci à Charles)
7 juillet 2025 @ 07:50
L’Algérie…La France et l’Algérie…J’ai la désagréable impression que nous sommes et que l’on veut nous bloquer dans une relation toxique. Je sature. Je suis pour que nos deux pays divorcés depuis longtemps ne cherchent plus à renouer mais prennent leur envol, se concentrent sur leurs autres partenaires. Bon vent, chacun s’occupe de soi. Stop à la thérapie de couple où l’un est soumis par excès de culpabilisation et l’autre dans le raidissement et la violence par excès de ressentiment.
7 juillet 2025 @ 09:33
Jul, entièrement de votre avis !
7 juillet 2025 @ 08:01
https://www.chateau-amboise.com/ce-quil-faut-savoir-sur-lemir-abd-el-kader/ Merci Charles
7 juillet 2025 @ 08:28
Les relations entre le comte de Paris et la fondation Saint Louis se sont normalisées et c’est très bien puisque la fondation a été créée par un prince d’Orléans au service du patrimoine de cette famille.
7 juillet 2025 @ 09:06
J’ai vu que le rempart est en péril. Heureusement que la Fondation assume les travaux, parce que c’était impossible avec les seules allocations familiales.
Sinon d’accord avec Jul.
7 juillet 2025 @ 09:12
Le coup d’État du 2 décembre 1851 permit à Louis-Napoléon Bonaparte de se maintenir au pouvoir et d’accroître ses prérogatives. Il souhaitait la paix des deux côtés de la Méditerranée. Abdel Kader s’était rendu, le 21 décembre 1847, au général de Lamoricière et était prisonnier à Amboise depuis le 8 novembre 1848, malgré la promesse qui lui avait été faite de l’exiler à Alexandrie ou à Acre. Le 16 octobre 1852, Napoléon III s’arrêta à Amboise pour y libérer Abd el-Kader contre la simple promesse de celui-ci qu’il n’essaierait jamais de retourner en Algérie. Ce geste d’un seigneur à l’égard d’un autre seigneur fut accompli contre l’avis des ministres et des hauts responsables qui l’accompagnaient. « Vous avez été l’ennemi de la France, dit Napoléon III à l’émir, mais je n’en rends pas moins justice à votre courage, à votre caractère, à votre résignation dans le malheur ; c’est pourquoi je tiens à honneur à faire cesser votre captivité, ayant pleine foi dans votre parole ». Le chef de l’État fit verser une pension de 150.000 francs au captif en guise de dédommagement (d’après Eric Anceau)
7 juillet 2025 @ 09:23
Le comte de Paris est parfaitement dans son rôle à Amboise, l’émir Abdelkader a laissé bien des souvenirs au château et c’est heureux que cela soit évoqué de nos jours.