A l’invitation de l’hebdomadaire OGGI, le prince de Venise a rejoint des personnalités pour mieux sensibiliser la population à adopter les bons gestes de protection contre le virus qui frappe si durement l’Italie. (merci à Bertrand Meyer)
Le prince de Venise se joint à la campagne de sensibilisation aux gestes de protection face au Covid-19
34 Comments
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28 avril 2020 @ 07:06
On n’a pas besoin des conseils supposés de ses « personnalités »….? Ils feraient mieux d’aider concrètement ceux qui en ont besoin, au lieu de poser genre « photo de magazine de mode ».
28 avril 2020 @ 14:16
De Sica est assez actif dans ce domaine, depuis longtemps : il participe à toutes les initiatives du show biz et offre souvent les bénéfices de ses propres représentations théâtrales ou de ses films (très très grand public) aux ong.
29 avril 2020 @ 10:46
Le Prince de Piémont et Venise est très actif pour aider les Italiens
28 avril 2020 @ 07:10
‘Les bons gestes » ?
28 avril 2020 @ 20:05
Charlotte, c’est exactement la question que je me suis posée.
28 avril 2020 @ 07:44
Qui est le beau, en haut, à droite ?
28 avril 2020 @ 12:50
Je pense qu’il s’agit de Christian De Sica.
29 avril 2020 @ 21:24
Fils de Vittorio ?
30 avril 2020 @ 20:46
Oui, fils cadet. En tout cas, le haut du visage lui ressemble : il est plutôt beau gosse, même maintenant qu’il a un certain âge, avec un peu du charme de son père.
1 mai 2020 @ 13:42
Bravo Laure- Marie !
Je n’ai vu aucun des films de Christian de Sica , qui sont, je crois, des potacheries, mais il chante fort bien… Je l’ai vu en vidéo , dans une adaptation d’une chanson américaine » civilisation », et qui s’appelle » Bingo, bango, bengo « .
Pas mal…
Le sujet de la chanson, l’humour et l’auto-dérision de Christian de Sica…
Je suis incapable de transmettre un lien …
Miss Nulle, c’est moi !
Si un jour je change de pseudo, il m’irait bien celui-là !!!
1 mai 2020 @ 13:46
Non, la chanson, c’est » Bongo, bongo, bongo « , c’est dans le refrain que l’on trouve la déclinaison, si je puis dire…
1 mai 2020 @ 18:02
Même implantation de cheveux que Vittorio
28 avril 2020 @ 08:45
C’est lèché, esthétique et sophistiqué.
Cela met en valeur les regards des personnalités qui posent.
Est-ce, cependant, le meilleur moyen de faire passer le message sanitaire que tout le monde connaît ?
Pas à mon avis: les visages des soignants portant les stigmates du port du masque, de la visière et des heures de dur labeur est beaucoup plus parlant, émouvant et percutant que tous ces regards plus séducteurs que pénétrés de leur mission.
28 avril 2020 @ 10:38
Assez attirant et mystérieux à la fois !
Mais, il vaut mieux de nous servir de vrais masques de protection contre le coronavirus !
28 avril 2020 @ 10:47
Cela me rappelle les affiches de la promotion de Karl Lagerfeld pour le gilet jaune …
28 avril 2020 @ 13:44
KL n’avait pas fait de pub pour les gilets jaunes mais il avait porté le gilet que l’on doit mettre lorsqu’il y a un accident avec le triangle pour se signaler…nuance !
le contraire n’aurait pas manqué de sel..
29 avril 2020 @ 20:41
Oui, c’est ce que dit Pascal. « C’est moche, ça ne va avec rien mais ça peut vous sauver la vie ».
28 avril 2020 @ 11:07
Un peu de bénévolat ferait plus de bien que faire le clown sur papier glacé. Mais pour qui prennent-ils ?
Robespierre levé du mauvais pied
28 avril 2020 @ 11:52
Oui Robespierre. Pour qui se prennent ils? Emmanuel-Philibert bien sûr là dedans…..
28 avril 2020 @ 14:21
Je trouve cela creux comme moyen de sensibilisation.
28 avril 2020 @ 11:53
D accord avec vous Bambou!
28 avril 2020 @ 13:42
C’est terrible de voir tous ces gens se faire de la pub sur un tel drame. Le ridicule ne tue pas, parfois on en arriverait presque à le regretter!
28 avril 2020 @ 14:52
Je ne sais pas si c’est la façon dont Emanuele Filiberto entend aider l’Italie dans sa reconstruction mais je ne suis pas convaincu que la camicia sull’viso serve la cause. A moins de vouloir faire de la place dans les hospices, c’est tout ce qu’il ne faut pas faire que se protéger avec sa chemise.
28 avril 2020 @ 15:56
Il est temps….
Ils ont du retard à l’allumage, et le carnaval de Venise est terminé.
28 avril 2020 @ 16:51
Quel intérêt ? Tout le monde en Italie a compris je pense les gestes barrières.
28 avril 2020 @ 18:59
Bon, ça mange pas de …pâtes !
28 avril 2020 @ 20:23
De beaux regards mais je ne pense pas que cela puisse motiver !
29 avril 2020 @ 01:16
On manque de tout: masques, désinfectant, etc Ma soeur a réussi à trouver une couturière qui faisait des masques maison. Au Québec, c’est le déconfinement qui commence: 4 mai les magasins qui ont une porte sur la rue (pas ceux qui sont dans des centres d’achats vont pouvoir ouvrir. 11 mai, les enfants du primaire vont retourner à l’école. Tant qu’il n’y aura pas un vaccin ou un médicament pour guérir de la Covid-19, on ne retrouvera pas une vie normale. P.S. Attention! S’injecter du Lysol n’est pas recommandé pour tuer le virus!!! (ils avaient oublié de le dire au président Trump…).
29 avril 2020 @ 11:52
@ Manon M.
Pour info, M. Lrump n’a jamais parlé de Lysol 😉 , juste de désinfectant.
« Pour ce qui est de désinfectant en injection intraveineuse, cela existe bien, c’est le peroxyde d’hydrogène, encore appelé eau oxygénée, un désinfectant qui a été utilisé dans le traitement du cancer, bien que le traitement soit controversé, certains sites médicaux le déconseillent, d’autres produisent des témoignages convaincants de son efficacité.
Et pour vous montrer que la question du président qui a déclenché les moqueries de la presse, qui était de savoir si l’on pouvait envisager d’injecter un désinfectant dans le corps puisqu’il agit sur les surfaces inertes, cela a déjà été réalisé… pour une autre infection respiratoire mortelle, la grippe dite espagnole (en réalité, venue elle aussi de Chine).
Et pour couronner le tout, le président semble mieux informé que mes confrères qui lui ont sauté dessus, car une étude publiée dans Live Trading News (3) le 9 avril dernier, fait état de la possibilité de traiter le coronavirus avec un désinfectant du commerce !
Le peroxyde d’hydrogène (H2O2) semble être un autre traitement potentiel pour le COVID-19, explique la revue scientifique. Les experts de la santé ont déclaré que ce composé pourrait aider à empêcher le virus de se propager dans l’organisme et de causer des dommages. »
L’auteur ajoute que « le H202 est en vente à l’épicerie ou à la pharmacie du coin au prix de 1,00 $ la bouteille ».
« A la question : un traitement à domicile peu coûteux et facile à administrer peut-il traiter le nouveau coronavirus, le SRAS-CoV-2 ?
Le Dr Thomas Levy répond par l’affirmative. »
https://www.livetradingnews.com/surviving-the-coronavirus-disease-how-hydrogen-peroxide-works-172241.html«
29 avril 2020 @ 11:59
« Ils font tous des gorges chaudes, ces poireaux de journalistes, en affirmant que Trump aurait dit qu’on peut soigner le coronavirus avec des UV et de l’eau de Javel ! La réalité va vous surprendre, et pas de la façon que vous croyez.
Mise à jour 25 avril : comme je ne suis pas médecin mais journaliste, et que cet article n’est pas destiné à faire de la médecine, et encore moins à juger de l’efficacité des traitements médicaux, controversés ou pas, j’ai mis à jour la partie de l’article concernant le traitement des cancers par injection de peroxyde d’hydrogène, qui n’était pas l’objet de cet article.
Quelle ne fut pas ma surprise, lorsque j’ai reçu des alertes de partout, disant que les médias français – qui sont totalement silencieux lorsque le président américain accomplit des choses formidables, et se réveillent soudainement lorsqu’ils pensent pouvoir l’épingler – accusent le président Trump d’avoir tenu des propos débiles, du genre : on peut soigner le coronavirus avec le soleil et l’eau de Javel.
Surprise, parce que la conférence de presse du président qu’ils citent comme preuve, je l’avais regardée – pas eux. Et je n’avais rien entendu de tel.
Surprise toujours, parce que je me la suis repassée, les yeux écarquillés et l’oreille tendue, cette conférence de presse, à la recherche des propos que j’aurais pu rater et que mes confrères ont entendus.
Surprise enfin, car le président Trump ne dit absolument pas ce dont les journalistes l’accusent ! C’est en réalité un journaliste dans la salle, Jonathan Karl d’ABC News, qui durant la conférence de presse a demandé si l’on pouvait injecter un désinfectant ou de l’eau de javel dans le corps d’un patient contaminé.
Bref. Toujours les mêmes salades de ces journalistes débiles, qui cherchent frénétiquement comment maintenant se faire détester, après avoir réussi à perdre toute crédibilité.
A ce stade, je ne suis pas trop surpris : le TDS (Trump dérangement Syndrome) a fait des dégâts dans les médias, et ce n’est pas la première fois, loin de là, que les médias inventent des histoires de toutes pièces pour se moquer ou attaquer Trump – juste parce qu’il est Républicain et qu’il a le courage de mettre ses bonnes idées à exécution.
Mais les vrais imbéciles, ce sont les gens qui se font rouler dans la farine, qui ont vu une fois, deux fois, dix fois, les médias raconter des cracks et devoir ravaler leurs Fake News, et continuent à les croire malgré tout !
La Fake News de l’eau de Javel
1 – Contexte
Les commentaires du président Trump ont été faits après que des responsables du groupe de travail de l’Administration aient présenté les conclusions d’une étude qui suggérait qu’une augmentation de la chaleur, de la lumière et de l’humidité en été pourrait réduire le temps nécessaire au coronavirus pour se disperser sur les surfaces et dans l’air, et potentiellement ralentir la propagation de la maladie pendant les mois les plus chauds. Ils ont également déclaré que l’alcool isopropylique et l’eau de Javel étaient très efficaces dans les tests pour tuer le virus sur les surfaces – l’eau de Javel le tue en cinq minutes seulement et l’alcool isopropylique en 30 secondes.
2 – Traitement à « l’eau de Javel »
Après que Bill Bryan, le chef de la direction de la science et de la technologie du département de la sécurité intérieure, ait parlé de divers désinfectants qui agissent sur le virus lorsqu’il se trouve sur des surfaces — le président Trump a pris la parole :
« Le désinfectant, il tue [le coronavirus] en une minute. Une minute.
Et y a-t-il un moyen de faire quelque chose comme ça par injection à l’intérieur ou par nettoyage ? Parce que vous voyez qu’il se dépose sur les poumons et qu’il fait un nombre énorme de dégâts, il serait donc intéressant de vérifier cela. Il faut bien entendu faire appel à des médecins. Mais cela semble, cela me semble intéressant.
Le président n’a rien affirmé, il a posé une question. Les médias ont menti par omission.
Cette partie de la conférence portait sur l’élimination du virus sur les surfaces inertes, et précisait que les produits désinfectants comme l’eau de Javel sont efficaces, d’après les tests effectués en laboratoire.
Trump n’a pas dit que l’on doit ou peut se soigner avec une injection d’eau de Javel.
Il n’a d’ailleurs jamais parlé d’eau de Javel, dans sa question, mais de « produit désinfectant » (c’est le journaliste d’ABC News qui a parlé d’eau de Javel).
Trump a bien précisé qu’il faut bien entendu ne pas se soigner soi-même, mais consulter un médecin – ce que les médias se sont bien gardés de rapporter.
3 – Une question loin d’être stupide
Je passe rapidement sur le fait que la presse est tellement intolérante et haineuse, que si nous devions l’écouter, le président n’aurait même pas le droit de poser des questions – comme il l’a fait.
Mais une rapide recherche m’a appris des choses intéressantes – que j’ignorais totalement. Et si mes confrères étaient moins fainéants, moins malhonnêtes et moins hargneux, ils auraient fait comme moi, et auraient découvert ceci :
Pour ce qui est de désinfectant en injection intraveineuse, cela existe bien, c’est le peroxyde d’hydrogène, encore appelé eau oxygénée, un désinfectant qui a été utilisé dans le traitement du cancer, bien que le traitement soit controversé, certains sites médicaux le déconseillent, d’autres produisent des témoignages convaincants de son efficacité.
Et pour vous montrer que la question du président qui a déclenché les moqueries de la presse, qui était de savoir si l’on pouvait envisager d’injecter un désinfectant dans le corps puisqu’il agit sur les surfaces inertes, cela a déjà été réalisé… pour une autre infection respiratoire mortelle, la grippe dite espagnole (en réalité, venue elle aussi de Chine).
Et pour couronner le tout, le président semble mieux informé que mes confrères qui lui ont sauté dessus, car une étude publiée dans Live Trading News (3) le 9 avril dernier, fait état de la possibilité de traiter le coronavirus avec un désinfectant du commerce !
Le peroxyde d’hydrogène (H2O2) semble être un autre traitement potentiel pour le COVID-19, explique la revue scientifique. Les experts de la santé ont déclaré que ce composé pourrait aider à empêcher le virus de se propager dans l’organisme et de causer des dommages. »
L’auteur ajoute que « le H202 est en vente à l’épicerie ou à la pharmacie du coin au prix de 1,00 $ la bouteille ».
« A la question : un traitement à domicile peu coûteux et facile à administrer peut-il traiter le nouveau coronavirus, le SRAS-CoV-2 ?
Le Dr Thomas Levy répond par l’affirmative. »
https://www.livetradingnews.com/surviving-the-coronavirus-disease-how-hydrogen-peroxide-works-172241.html
4 – Soigner la grippe espagnole à l’eau oxygénée
Dans son livre « Le Père adopté« *, l’auteur Didier van Cauwelaert raconte comment sa grand-mère Hortense fut guérie de la grippe espagnole.
C’était en 1918 alors que l’épidémie avait fait 25 millions de victimes. La grand-mère avait décidé de soigner le virus fatal «comme on avait toujours guéri les rhumes dans sa famille» : un bain de pieds chaud à « l’eau blanche ».
Seulement, le bain de pieds ne la soulageant pas, la grand-mère, quelque peu impatiente, choisit… la voie orale.
Van Cauwelaert détaille ainsi :
«Devant sa fille épouvantée, elle avala d’un coup le baquet d’eau oxygénée !!! Après avoir suffoqué bruyamment trente secondes, elle se coucha, et transpira douze heures en inondant le matelas, le sommier, le parquet, le voisin du dessous…
Le lendemain, elle se leva, complètement guérie… »
https://fr.vivat.be/bien-etre/la-cure-a-l-eau-oxygenee_3024
Au début du XXe siècle, découvre-t-on dans le magazine Vivat (1) le H₂O₂ [peroxyde d’hydrogène] a été utilisé pour traiter plusieurs maladies, telles que la fièvre typhoïde, le choléra, les ulcères, l’asthme, la coqueluche et la tuberculose. Sa capacité à tuer les bactéries dans le corps humain était d’ailleurs bien documentée.
Un manuel de médecine en 1922 décrivait l’emploi du peroxyde d’hydrogène par voie orale, par injection intraveineuse [question posée par le président Trump], et pour une utilisation majeure.
Le Dr. Edward Carl Rosenow, de la clinique Mayo dans le Minnesota, étudie depuis longtemps le H₂O₂. En 1947, il publiait une étude sur son efficacité à produire des anticorps à partir de bactéries avec l’H₂O₂ (2)
Première conclusion
Une étude récente, publiée dans le Journal of Hospital Infection, montre que même 0,5 % seulement de peroxyde d’hydrogène pourrait tuer les coronavirus. Les résultats ont étayé une recherche menée en 2009 qui a montré que l’inhalation de peroxyde d’hydrogène vaporisé pouvait entraîner une inactivation de 99 % des activités du virus.
Le président Trump n’a donc pas dit des âneries, lorsqu’il a demandé :
« Et puis je vois le désinfectant qui assomme [le virus] en une minute. Une minute ! Et y a-t-il un moyen de faire quelque chose comme ça par injection à l’intérieur ou, ou comment dire, par nettoyage ?
Les « rayons du soleil »
Ils vont bien rire, mais jaune, mes confrères, en apprenant qu’en Israël, un des pays les plus avancés au monde en matière de recherche et d’invention médicales, c’est exactement ce que l’on fait : on traite les personnes atteintes de coronavirus avec des UV, des « rayons du soleil » comme ils disent.
Le centre médical Mayanei Hayeshua a installé un nouveau système à base d’UV pour détruire le virus COVID-19 dans les services hospitaliers où sont traités les patients infectés par le virus, rapporte le Jerusalem Post (5)
Le système est basé sur une lumière ultraviolette qui émet une longueur d’onde spécifique qui s’est avérée mortelle pour le coronavirus, non cancéreuse et sûre pour une utilisation à proximité des patients, y compris ceux qui souffrent de problèmes pulmonaires.
Ce système est le résultat de la recherche et du développement menés par l’homme d’affaires israélien Eldad Peri avec une équipe médicale dirigée par le Dr Boris Orkin.
Une équipe de physiciens a également aidé à écrire l’algorithme qui fait correspondre scientifiquement le système à l’espace destiné à la purification en calculant la longueur d’onde et la sortie nécessaires pour purifier la zone de manière sûre et complète.
Selon les inventeurs, le système détruit le coronavirus dans une pièce en une demi-heure au maximum et sans causer de dommages aux patients.
Ce type de système peut détruire le virus Corona dans un délai pouvant aller jusqu’à 30 minutes sans nuire aux personnes ».
https://www.jpost.com/health-science/mayanei-hayeshua-using-ultraviolet-light-to-destroy-covid-19-625498
Dans un article publié dans la revue médicale de l’institut national de la Santé (6), et intitulé « Irradiation ultraviolette du sang : « Le remède que le temps a oublié » ?, le docteur Hamblin évoque les différentes utilisations de l’UV dans le sang.
Deuxième conclusion
Le président Trump ne s’est pas trompé non plus en espérant que les UV puissent soigner les patients atteints du virus chinois.
Il ne délirait pas, lorsqu’il déclarait :
Vous apportez la lumière à l’intérieur du corps, ce que vous pouvez faire soit à travers la peau, soit d’une autre manière. Et je pense que vous avez dit que vous alliez tester cela aussi. Ça a l’air intéressant, non ? »
Conclusion de mes conclusions
Echec et mat, les journalistes sont vraiment nuls ! Et ceux qui gobent ce qu’ils écrivent sur Trump sans même se poser de question, encore plus !
Il y a définitivement du bon sens dans les remarques et questions du président Trump. Je viens de le démontrer. »
1 mai 2020 @ 15:59
Merci pour ce passionnant compte-rendu , Marie de Bourgogne.
Ce qui m’inquiète , c’est qu’un traitement aussi peu cher n’aurait pas les faveurs des laboratoires pharmaceutiques, qui nous en diraient pis que pendre.
J’écris peut-être une ânerie ? N’hésitez pas à me le dire.
29 avril 2020 @ 12:28
Manon,
Pareil en Belgique.
Ma fille a cousu des masques .
Tous les gouvernements ont oublié d’avoir des stocks stratégiques importants donc ils improvisent.
29 avril 2020 @ 12:44
Ah les bons commentaires , c’est surement mieux avec des masques seulement des masques , vous en avez peut-être mais nous , non, alors eh bien l’on se débrouille comme l’on peut .
J’ai moi aussi un col montant que je remonte sur la bouche et le nez
30 avril 2020 @ 16:19
Sì figlio di Vittorio