Après sa tournée en Afrique en compagnie de son frère le prince William, le prince Harry est à présent à New York. Il a visité le siège de l’Unicef, donné le coup d’envoi d’un match de baseball et visité l’académie militaire de West Point. (Copyright photos : Getty images)
27 juin 2010 @ 06:55
un prince dévoué au service de la couronne ! il s’est vraiment assagi !
27 juin 2010 @ 10:38
C’est un plaisir dr voir l’investissement des Princes William et Harry. Harry semble avoir chassé ses démons et paraît bien dans sa peau . Diana peut être fière, c’est sa plus belle réussite! Elle a élevé ses 2 fils avec intelligence et amour.
27 juin 2010 @ 10:42
Va-t’il se marier avec Chelsea?
27 juin 2010 @ 11:25
Il ne faudrait pas non plus tenir pour rien dans cette réussite le rôle du père.
Diana a sans nul doute été une merveilleuse mère, mais sans le soutien constant et affectueux du prince Charles, je ne pense pas que Harry et Williiam seraient aujourd’hui les jeunes hommes attachants, attentifs aux autres et communicatifs qu’ils sont devenus.
27 juin 2010 @ 11:28
Dans P vue Harry aurait rompu avec Chelsy
27 juin 2010 @ 12:47
Pierre-Yves (4)
Vous avez raison, on a tendance à oublier facilement Charles face à la charismatique Diana mais il a parfaitement assumé son role de père et il leur a donné le sens du devoir.
27 juin 2010 @ 15:00
Je suis tout a fait d’accord avec Pierre-Yves . La Princesse de Galles a sans douté été une Mère aimante pour la premiere partie de la vie des Princes, mais le Prince Charles a su continuer l’éducation de ses fils, sans oublier le rôle certain de la Reine qui a été , je pense, une grand-mère plus présente et aimante que lorsqu’elle était jeune mère, prise par son devoir Royal qu’elle a toujours fait passer avant tout. Le prince William a l’air d’entretenir avec Elle une vraie complicité. Quant aux engagements des Princes, ici, le Prince Harry, ils sont bien normaux ! Ce ne sont plus des enfants, mais des hommes qui doivent assumer leurs responsabilités et leurs charges liées a leurs titres de Prince d’Angleterre.
27 juin 2010 @ 17:36
A Alexia,c ‘est possible! Chelsy prefere son pays,l’Afrique du Sud!Je prefere Harry a son frere car il a du caractere et il est bien sociable avec tout le monde!
27 juin 2010 @ 17:41
Pierre-Yves (4) et Yannick (6), votre appréciation est très pertinente.
Le Prince de Galles est un excellent père toujours proche de ses fils. Leur complicité m’a toujours paru constituer un exemple.
27 juin 2010 @ 18:37
William et Harry doivent être déçus,l’Angleterre a dû s’incliner devant l’Allemagne à la coupe du monde.
Harry se sera assagi,il est devenu un beau jeune homme conscient de ses tâches humanitaires.
Le prince Charles a eu la lourde tâche d’équilibrer la perte de Diana avec ses fils,surtout avec Harry qui n’avait que 13ans à l’époque,et,il a très bien réussi,ses fils sont épanouis et mordent la vie à pleines dents.
28 juin 2010 @ 12:45
Damien B
Après la séparation de Charles et Diana, mais bien avant le décès de celle-ci, avait paru un livre de la gouvernante du couple à Highgrove. Une dame plutot instruite mais qui ayant besoin de travailler avait accepté cette place de gouvernante.
Quand le couple se sépara, elle fut congédiée parce que considérée etre trop pro-Diana. Cependant, cela ne l’empecha pas d’écrire sur la princesse des choses vraies , par exemple, ses colères terribles envers la femme de chambre pour la moindre vétille et surtout ses represailles contre le prince Charles quand ils s’étaient disputés. Celui-ci adorait ses petits garçons et Diana les emmenait dans sa chambre pour diner devant la television avec un plateau repas. Et Charles restait seul dans le salon, sans ses enfants.
Elle a toujours dit, malgré son attachement à Diana, que le prince Charles adorait ses enfants, et souffrait quand on les lui enlevait.
La mort de Diana et la sorte de vénération qui s’ensuivit occulta ce livre. Mais il etait plein de remarques objectives.
28 juin 2010 @ 14:00
Chère Palatine (11), je suis ravi de vous lire !
La vision manichéenne et inobjective qui se traduit par de multiples syntagmes figés (« Roi-Chevalier », « Princesse Noël » et mille autres) prévaut depuis longtemps.
L’image de Diana et celle de Sissi se sont partiellement construites dans des conditions similaires: la jeunesse innocente et naturelle opposée à l’expérience et à la supposée inflexibilité d’une belle-mère ou d’une rivale.
Raine Spencer, Camilla Parker-Bowles et Sophie Duchesse en Bavière ont en quelque sorte renforcé à leur insu le mythe de la Princesse de Galles et de l’Impératrice d’Autriche.
Ces visions simplistes ne revêtent peut-être qu’un seul mérite: celui de faire rêver …
Bonne journée ;-)