L’émir du Qatar a reçu à Doha le Premier ministre éthiopien Hailemariam Desalegn. La sheikha Mozah, mère de l’émir, a ensuite eu un entretien avec le Premier Ministre en sa qualité de président de la Qatar Foundation. (merci à Guizmo)
L’émir du Qatar reçoit le Premier Ministre éthiopien
7 Comments
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16 novembre 2017 @ 09:41
Sourire carnassier de l’émir qui répond parfaitement,par son look,à l’idée qu’on s’en fait.;-))
16 novembre 2017 @ 13:25
Cachez ces pieds , que je ne saurais voir !
L’Ethiopie reçoit beaucoup de réfugiés des pays voisins …
16 novembre 2017 @ 16:49
Mais … mais …. elle montre un bout d’orteil, la sheika ! Scandal in the family !
17 novembre 2017 @ 21:40
Le summum du fétichisme .
16 novembre 2017 @ 20:36
Et elle s’occupe de quoi, la « Qatar Foundation » ?
17 novembre 2017 @ 17:36
? ? ?
Qu’est-ce à dire, cette rencontre Ethiopie-Qatar ?
L’Ethiopie accueille des migrants ? Elle n’est pourtant pas bien riche, l’Ethiopie.
Et le Qatar est plus réputé pour dénier liberté et respect de s Droits de l’homme aux travailleurs étrangers chez lui, que pour accueillir des migrants du sous-continent africain.
Je lis par ailleurs que des migrants noirs bloqués en Lybie y sont vendus – oui, vendus – par leurs passeurs, comme esclaves. Nouvelle terrible, mais qui ne devrait pas étonner.
Les pays arabes pratiquent depuis des siècles la traite des Noirs et leur mise en esclavage. Les routes vers la péninsule arabe et vers les pays arabisés d’Afrique du Nord en sont connues. En Tunisie, les personnes un peu foncées de peau et présentant des traits quelque négroïdes restent méprisées d’une bonne partie du reste de la population : elles sont issues de cet esclavage-là.
Selon de rares chercheurs , cette traite-là aurait été plus importante en nombre que la traite blanche du triangle Europe-Afrique-Amérique. Pas une raison pour excuser la seconde. Cependant, la traite arabe continue ( Mauritanie entre autres), elle.
Alors, Ethiopie – Qatar, quid ? Moi, je trouve cela … étonnant.
17 novembre 2017 @ 17:39
Excusez-moi. A me relire tardivement, je me rends compte qu’une de mes phrases peut prêter à interprétation erronée.
Quand j’écris : « Je lis par ailleurs que des migrants noirs bloqués en Libye y sont vendus – oui, vendus – par leurs passeurs, comme esclaves », il faut lire :
» … des migrants noirs bloqués en Libye y sont vendus, EN LIBYE, etc » .