L’empereur et l’impératrice du Japon ont assisté à la compétition traditionnelle de « Horohiko », course de cavaliers portant des étendards. Il s’agit d’une tradition qui a été transmise de génération en génération au sein de l’écurie de la maison impériale. (Merci à Landry)
5 octobre 2009 @ 06:17
Toutes ces vieilles traditions sont d’un grand intérêt, je ne connaissais pas celle-ci.
5 octobre 2009 @ 08:44
Que de sorties très diversifiées pour eux actuellement !
5 octobre 2009 @ 12:03
Hi,hi,l’imperatrice du Japon ne modifie pas non plus la forme eternelle de ses chapeaux comme Beatrix de Hollande! Qu’elles suivent l’exemple de la reine d’Angleterre avec ses coiffes infiniment variees!Les traditions japonaises sont plusieurs fois’millenaires’ avec leur continuation jusqu’a maintenant!
5 octobre 2009 @ 12:17
de charmantes assiettes ….
5 octobre 2009 @ 12:34
André,
Attendons la suite de la vaisselle et du vide-grenier!
5 octobre 2009 @ 14:06
L’Impératrice représente avec charme et distinction son pays: une ligne incroyable, peu de bijoux mais splendides ( car son écrin est je crois magnifique ), des vêtements toujours impeccablement coupés et des chapeaux que je trouve d’un chic ! Celui-ci est d’une classe folle! Elle mérite de se trouver dans le classement des femmes les mieux habillées au monde , comme d’ailleurs la plupart de ses compatriotes qui portent souvent avec brio et élégance des accessoires qui rendraient ridicules beaucoup d’entre nous. Vive les femmes Japonaises capables de maintenir avec allure les traditions tout en sachant innover !
7 octobre 2009 @ 06:54
Le chapeau de l’Impératrice a fait beaucoup parler par sa taille limite « ridicule » et par sa forme « assiette ». Mais il y a une vraie raison.
C’est à la demande de l’Impératrice qui a souhaité que le chapeau ne cache pas son regard pour que les gens puisse les voir et qu’il soit pas « imposant » pour que les gens n’aient pas peur (surtout les enfants).
Voilà encore une belle histoire de l’Impératrice.
18 octobre 2009 @ 19:21
Ils sont mignons tous les deux.