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L’infante Cristina célèbre aujourd’hui ses 50 ans. Une étape de vie qui aurait dû dans un autre contexte être l’occasion de photos officielles et d’un anniversaire dans sa vaste demeure de Barcelone entourée par sa famille et ses amis mais l’approche inéluctable du procès relatif au détournement de biens publics par la Fondation Noos à la tête de laquelle se trouvait son époux Inaki Urdangarin et qui les conduira tous les deux en 2016 au tribunal, a changé drastiquement la donne.

La maison du très élégant quartier de Pedralbès a été vendue et la famille vit désormais à Genève d’une certaine manière en exil.

Bien que l’infante ait assisté à la fête donnée pour la communion de sa nièce la princesse des Asturies au Palais de La Zarzuela, ses apparitions en Espagne sont extrêmement rares. L’infante était aussi à Madrid pour l’hommage rendu à son ami le prince héritier Kardam de Bulgarie, ce qui avait même donné lieu à un sondage dans un magazine pour connaître l’opinion des Espagnols sur cette brève apparition sur le sol espagnol… La presse ibérique n’est en effet pas tendre du tout avec l’infante et son époux qu’elle a d’ores et déjà condamnés médiatiquement.

Sinon la vie de l’infante Cristina se centre sur ses activités professionnelles à Genève et sur sa vie de famille. Inaki Urdangarin, son époux, ne travaille plus depuis sa démission de l’entreprise Telefonica et leur départ de Washington. Le couple qui selon ses proches, s’estime victime d’une cabale, peut compter sur un noyau de fidèles avec au premier rang Claire Liebaert, mère d’Inaki qui séjourne régulièrement chez eux et qui partage aussi leurs vacances sur la côte basque française. La reine Sophie désormais plus disponible, ne se prive jamais d’un saut à Genève pour un long week-end ou un anniversaire. Il en est de même pour l’infante Elena ou encore la princesse Cristina de Bourbon-Deux-Siciles et son époux Pedro Lopez Quesada (parrain d’Irene Urdangarin). (Copyright photo d’archives : efe)