Parution de ce livre consacré aux destins de Jackie et Lee Bouvier. La première devint Première Dame des Etats-Unis et le seconde épousa le prince Stanislas Radziwill.
MoreLivre : « Jackie et Lee. Belles, inséparables, jalouses et…soeurs »
12 Comments
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21 avril 2020 @ 06:42
J’ai lu ce livre il y a quelques jours. Relations et modes de vie très spéciaux des filles Bouvier.
21 avril 2020 @ 07:14
Oui Jacqueline et Les ont eu une vie singulière. Entre leur mère, leur beau-père et surtout leur fantasque père. Mais c’est « grâce » à cela q’elles ont choisit leur destin avec une envie de revanche sur la vie. Elles ont assez bien réussit je pense.
21 avril 2020 @ 08:02
Leur père Jack Bouvier était fauché comme les blés et elles vivaient chez le second mari de leur mère qui était très riche. Leur mère leur a dit de chasser le millionnaire et c’est ce qu’elles ont fait. De braves filles à maman.
21 avril 2020 @ 08:09
La lecture du testament de Jackie dit beaucoup : “Je n’ai rien légué à ma sœur Lee Radziwill Bouvier pour qui j’ai beaucoup d’affection, mais pour laquelle j’ai déjà tant fait au cours de ma vie.” (En revanche, elle légua 500.000 $ à chacun des deux enfants de Lee.)
Pour écrire cela, il faut beaucoup s’aimer.
21 avril 2020 @ 08:49
Des icônes toutes les deux!
💫
21 avril 2020 @ 10:02
Lecture pour la plage en dégustant un icecream dégoulinant sur les doigts un rose Kennedy
21 avril 2020 @ 14:09
Lee était beaucoup plus belle et intéressante que Jackie.
On a pu voir dans un récent reportage sur Histoire que Kennedy n’avait jamais aimée sa « frenchie ».Et elle non plus.Comédie.Comme elle n’avait jamais aimé Ari.
Poudre aux yeux,miroir aux alouettes,piège à niais,que les fausses idylles de ces gens passionnés uniquement par…l’argent.
21 avril 2020 @ 18:00
Jackie était fiancée à un jeune New-Yorkais avec une bonne situation dans la banque mais sans fortune personnelle. La mère montra sa réticence devant cette alliance. Sa fille rompit les fiançailles et rendit la bague. Elle rencontra John Kennedy qui ne demandait qu’à passer un peu de bon temps avec elle comme avec tant d’autre copines. Papa Kennedy fit valoir à son fils que s’il voulait faire de la politique, il devait être marié à une jeune fille bien élevée, qui ne lui ferait pas honte, et catholique. Il lui conseilla le mariage avec Jacqueline Bouvier. Celle-ci en garda toujours de la gratitude à son beau-père.
On n’est pas étonné quand on apprend que John K trompa toujours sa femme.
22 avril 2020 @ 09:45
Merci Régine d’aimer mes livres 📚 et surtout d’en parler
23 avril 2020 @ 00:51
Jackie Kennedy avait de la classe. Elle était le symbole de l’élégance au temps de la présidence Kennedy. Une légende comme Grace kelly, Audrey Hepburn, etc.
23 avril 2020 @ 14:10
Oui, mais sa cupidité était sans bornes, et quand on connait sa vie, on est consterné de voir l’importance qu’elle accordait à l’argent. Avant de se remarier, elle trouvait normal que Bunny Dillon (une amie milliardaire) lui passe de l’argent, et même Onassis. Aucune fierté. Sa pension de veuve ne lui suffisait pas et si Lord Harlech avait été milliardaire, elle l’aurait épousé au lieu d’Onassis. Quand elle était mariée à Onassis, elle allait dans les magasins new yorkais et achetait à tour de bras un tas de vêtements qu’elle mettait sur le compte d’Onassis, puis allait les revendre à la boutique « Encore » et faisait mettre le produit de la vente sur son compte perso. Je pourrais citer d’autres exemples. Ce trait de caractère fait que je n’ai jamais admiré Madame Onassis N°2 mais j’admets que c’est un personnage de roman ou même de biographie. Dans son genre, elle est exceptionnelle. Ce livre vaut la peine d’être lu quand on ne connait pas bien la dame.
Quand elle était first lady elle disait à tout bout de champ « it is not dignified » de faire ceci ou cela. C’était plus dignified d’accepter de l’argent de riches amis ?
Toutefois, je reconnais qu’elle était une bonne mère.
24 avril 2020 @ 12:01
Entièrement d’accord avec vous! Elle a été une bonne mère mais j’ai un gros doute sur sa classe !