Les éditions Hervé Chopin republient, le 6 novembre 2025, l’un des succès de Claude Mossé « Les Borgia ».
Cette nouvelle édition enrichie (468 pages) redonne vie à une fresque historique, où intrigues ecclésiastiques, passions dévastatrices et soif de pouvoir se mêlent dans la Rome de la Renaissance.
L’historienne, connue pour son talent de conteuse et sa rigueur documentaire, plonge le lecteur au cœur du Vatican du XVe siècle, à l’heure où la famille Borgia – d’Alonso, devenu le pape Calixte III, à Rodrigue, futur Alexandre VI – impose sa loi entre manœuvres politiques et scandales sulfureux.
Autour d’eux gravitent César et Lucrèce, frère et sœur à la beauté troublante et aux destins empoisonnés, symboles d’un pouvoir absolu qui défie à la fois Dieu et les hommes.
Claude Mossé fait revivre une époque où l’art, la foi et le crime partageaient la même splendeur.
Les Borgia, Claude Mossé , Hervé Chopin, 2025, 468 pages
20 octobre 2025 @ 09:27
Fresque est le terme pour qualifier l’incroyable histoire de cette famille !
20 octobre 2025 @ 09:46
Je le lirai avec grand plaisir.
C’est une époque que j’apprécie particulièrement.
20 octobre 2025 @ 13:48
Cela m’a l’air intéressant. C’est du vrai, pas de l’histoire romancée.
20 octobre 2025 @ 16:27
Je resterai quant à moi sur « Les Borgia » d’Ivan Cloulas, qui ne date certes pas d’aujourd’hui, mais dit tout ce qu’il y a à dire, et de façon parfaite.
Contrairement à ce qui est écrit dans la présentation, l’ouvrage dont il est ici question n’est pas de l’historienne Claude Mossé (1924-2022), helléniste, mais du journaliste Claude Mossé (1928), spécialisé dans le fait divers et le roman historique.
20 octobre 2025 @ 17:13
Fille d’Alphonse Ier d’Este et de Lucrèce Borgia, Éléonore d’Este (1515-1575) perdit sa mère à l’âge de 4 ans. Elle entra dans les ordres au couvent Corpus Domini de Ferrare et en fut l’abbesse, ce monastère étant actuellement une communauté de religieuses clarisses. Elle y a été inhumée aux côtés de sa mère Lucrèce et d’autres membres de sa famille. Elle est considérée comme l’une des premières écrivaines de musique chorale polyphonique pour femmes.
20 octobre 2025 @ 17:39
Un livre intéressant.
22 octobre 2025 @ 06:44
J’ai séjourné à Rome chez Paola Borgia. Impressionnée par le patronyme j’ai appris qu’il est loin d’être rare.
24 octobre 2025 @ 05:45
Y donne-t’on la recette de leur fameux poison ?