Ce livre en anglais présente le journal intime de la reine Victoria tenu à partir de ses 13 ans et qui à la fin de sa vie comptait 122 volumes. La reine narre ses journées, ses relations avec ses ministres, sa joie d’être une épouse, une mère et une grand-mère et aussi la douleur d’avoir perdu son époux le prince Albert. (merci à Alberto)
17 octobre 2018 @ 03:14
Je pense qu’effectivement, le journal intime de la reine Victoria a de quoi être fourni. 9 enfants, 41 petits-enfants. Après je n’ai pas compté.
On y parle sûrement, des visites de familles royales nombreuses, comme celle du roi Louis-Philippe, puis de Napoléon III et de l’Impératrice (un fils unique) avec lesquelles, la reine et son époux avaient des liens assez rapprochés. La fameuse Entente Cordiale, viendra par la suite. Dans ce livre, aussi les impressions de la reine avec ses ministres..
La lecture doit être intéressant. L’année prochaine en mai 2019, il y aura les célébrations royales des 200 ans de la naissance de cette reine.
Tiens, réflexion, il y a eu récemment à Pau , la même commération pour Jean Baptiste Bernadotte, qui devint roi (élu) de Suède.
17 octobre 2018 @ 04:55
une de ses filles a censuré son journal. Donc c ‘ est une version expurgée
17 octobre 2018 @ 19:34
C’est dommage, cette pudibonderie.Je préférerais lire la version intégrale et originale. Plus vraie,plus complète.
18 octobre 2018 @ 11:54
En effet, il paraît que la Reine était portée sur la « chose » et vu le nombre d’enfants qu’elle a eu… Son mari avait paraît-il un piercing particulièrement bien placé qu’on appelle désormais « un prince Albert »
18 octobre 2018 @ 09:36
Aaah… Plus prude que sa mère, la fille ? Ou alors, c’est que Victoria y écrivait aussi des trucs politiques ?
18 octobre 2018 @ 11:28
non, Victoria y exprimait ses premiers émois de femme mariée au plus beau, au plus merveilleux des maris. La fille a préféré censurer. Victoria n’était pas prude du tout quand elle était jeune, mais sa fille oui.
18 octobre 2018 @ 11:14
De la part d’Alberto : Sur Livre « my dearest, dearest Albert »
La princesse Beatrice n a expurgé que les journaux qui restent quand même passionnants. Le livre contient des lettres sur lesquelles Beatrice n a pas pu mettre les mains. Les journaux sont accessibles online depuis 2010 mais uniquement au public britannique.
17 octobre 2018 @ 08:09
Voici un livre trés intéressant, à lire,merci grazie Alberto pour l’info!
17 octobre 2018 @ 08:31
Ce serait pas mal de l’avoir dans ma bibliothèque.
17 octobre 2018 @ 08:50
Je suppose que les historiens ont déjà depuis longtemps eu accès au journal intime de la reine. Que ce soit le tour du public est une bonne chose.
17 octobre 2018 @ 13:00
Il en existe déjà de nombreuses éditions.
17 octobre 2018 @ 22:30
Le public britannique a déjà eu accès à ce journal :
La reine Elizabeth a fait mettre en ligne 40 000 pages de ce journal qui comporte 141 volumes, sur le site des archives royales, à l’occasion de son jubilé de diamant en 2012.
18 octobre 2018 @ 08:17
Pierre-Yves, le journal de la reine Victoria était consultable en ligne sur le site web de la Monarchie britannique durant l’année du jubilé de diamant de la Reine Elisabeth II.
17 octobre 2018 @ 12:53
Un de mes rêves : hiberner sous une couette avec les 122 tomes a portée de main !
17 octobre 2018 @ 12:58
Impossible à lire pour une pudique comme moi quand il s’agit d’une réelle intimité ! Les journaux intimes doivent le rester. Ils n’ont pas été écrits pour être lus à la volée. On doit respecter cet épanchement personnel qui peut varier selon les humeurs où certains mots peuvent être regrettés, ce n’est qu’une thérapie salutaire du quotidien. Je trouve choquant leurs diffusions au grand public
19 octobre 2018 @ 16:34
Je pense exactement comme vous Auberi! tombant souvent sur le journal de notre fille, quand il m’arrivait de ranger sa chambre, je ne me suis jamais permise de l’ouvrir.
17 octobre 2018 @ 15:17
On le trouve depuis quelques années, numérisé sur internet – sur le site officiel des Windsor.
18 octobre 2018 @ 15:23
Les journaux ne sont pas entièrement publiés sur internet et cette sélection n’est accessible qu’au public britannique (en principe). En outre, comme le souligne Alberto, ce livre intègre des correspondances inédites, du moins peu connues.