Parution du livre « Reines tragiques » sous la plume de Juliette Benzoni. 18 reines célèbres par leur destinée tragique. Parmi elles, Caroline-Mathilde de Danemark, la reine Draga, Aliénor d’Aquitaine,…
« Reine tragiques », Juliette Benzoni, Bartillat, 2021, 380 p.
17 octobre 2021 @ 01:41
Une édition posthume, sans doute, l’auteur est décédée en 2016.
17 octobre 2021 @ 09:03
C’est ce que je me disais aussi…c’était une référence en la matière, cet écrivain
17 octobre 2021 @ 10:05
« Les reines tragiques » étaient quasiment le premier recueil de Juliette Benzoni, plus romancière historienne. Est-il juste réédité ou revu et complété ?
17 octobre 2021 @ 14:46
Qui est en couverture ? Il me semble reconnaître la reine Draga .
17 octobre 2021 @ 08:47
Juliette Benzoni est décédée me semble-t-il?
17 octobre 2021 @ 09:02
Je ne sais pas si N&R a traité du sujet de la reine Draga ? Au cas où la réponse serait négative :
Draga Lunjevica(1803-1861) se marie, en 1883, avec Svetozar Masin qui meurt trois ans plus tard. Elle devint dame de compagnie de la reie Natalija Obrenovic, dont le fils Alexandre accède au trône en 1889 sous le nom d’Alexandre 1er de Serbie. En 1897, le souverain rencontre à Biarritz Draga, dont il tombe amoureux. Malgré l’opposition de la reine-mère, de son père l’ancien roi Milan, du gouvernement et du peuple serbe, Alexandre épouse Draga le 5 août 1900. A Belgrade, le 10 juin 1903, tandis qu’Alexandre, 26 ans, et Draga, 38 ans, passent la soirée dans leur palais, des hommes se préparent à les assassiner. Parmi les conjurés, se trouve Aleksandar Mašin, beau-frère de la reine qui soupçonne Draga d’avoir tué son mari. Avec ses complices il souhaite mettre sur le trône Pierre Karageorgevic, héritier de la dynastie rivale des Obrenovic en exil en Suisse. La situation du pays est critique : le Premier ministre a démissionné, les caisses du pays sont vides, en partie par la faute du train de vie du couple royal, dit-on, la corruption est générale, la reine détestée et Alexandre accusé d’être pro-autrichien. Masin et ses complices pénètrent dans le palais. Réveillé par les coups de feu, le couple royal comprend ce qui se passe. Tandis que le roi envisage de descendre parlementer avec les intrus, Draga l’entraîne dans un cagibi, maudissant son beau-père d’avoir fait murer le passage secret conduisant à l’ambassade de Russie, toute proche. Après avoir saccagé la chambre du couple royal où ils n’ont trouvé personne, les soldats quittent les lieux. Draga et Alexandre sortent alors de leur cachette. Refusant d’abdiquer comme on lui propose, le roi est aussitôt abattu d’une salve de tirs et s’effondre dans les bras de son épouse qui est, elle-même, criblée de balles. Masin et ses hommes s’acharnent sur le cadavre dénudé de la reine qu’ils transpercent, tailladent et éventrent de leurs baïonnettes avant de le jeter par la fenêtre. Ils font de même avec le corps du roi. La dynastie rivale des Karageorgévitch accède au trône sans avoir participé à ce meurtre en la personne de Pierre 1er.
17 octobre 2021 @ 11:17
Je me demande si Draga n’est pas la version féminine de Drago, prénom si contesté par certains internautes mais qui est, cependant, courant en Croatie, Slovénie, Serbie et peut-être Grèce.
17 octobre 2021 @ 15:05
Pardon, erreur de dates pour la reine Draga :1861-1903 !
18 octobre 2021 @ 11:04
Beque, je garde toujours vos posts pour le soir, quand , une fois seule, je trouve le temps et le calme pour les lire vraiment .
18 octobre 2021 @ 13:29
Leonor, vous êtes bien aimable. A vrai dire, je ne connaissais pas la vie de la reine Draga, j’ai donc fait des recherches.
17 octobre 2021 @ 09:15
C’est ce que je me disais aussi..Denis
.c’était une référence en la matière, cet écrivain .
17 octobre 2021 @ 09:57
Juliette Benzoni, Anne et Serge Golon, puis Guy Breton : de la romance croustillante sur fond de réalité historique : toute une époque…
Voilà des auteurs qui eurent le mérite de faire passer un nombre incalculable de personnes par la petite porte de l’histoire pour leur permette d’ouvrir ensuite la grande !
17 octobre 2021 @ 10:39
C’est une réédition d’un livre paru la première fois en 1962. Je l’avais acheté quelques années plus tard.
17 octobre 2021 @ 13:19
Plus jeune j’ai lu quelques livres de Juliette Benzoni, les aventures d’Aldo Morosini…
17 octobre 2021 @ 14:00
A découvrir .
17 octobre 2021 @ 17:41
Livre paru en …….1962
17 octobre 2021 @ 19:05
Il s’agit d’une réédition… l’édition originale est parue en 2003. Il me semble l’avoir déjà lu.
17 octobre 2021 @ 19:47
oui, à presque 100 ans, cette dame a écrit bien des séries historiques. Et son souci sur les époques traversées par les héroïnes et héros de ses livres, était bien au centre de ses recherches. Le style est un peu « romans d’amour » souvent difficiles, mais on aime assez ces lectures là, toujours au goût du jour même en plein XXIe siècle, je ne connaissais pas ce titre là. Je suis toujours à la recherche de mon bouquin de jeunesse, avec Yvonne de Brémont d’Ars comme auteure. J’ai perdu le titre de ce livre là, et j’ai peur de ne jamais le retrouver, l’histoire était jolie.
18 octobre 2021 @ 11:11
Un livre que vous recherchez, Benoîte , et vous en avez oublié le titre ?
Ca doit pouvoir se retrouver.
Mettons-nous sur la piste .
Suggestion de départ :
Allez sur l’article Wikipédia consacré à l’auteur :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Yvonne_de_Bremond_d%27Ars
Dans le chapitre » Ouvrages », sans doute y retrouverez-vous le fameux titre .
>>> Puis, tapez ce titre sur votre moteur de recherche.
Il est fort probable que, chez les bouquinistes en ligne, vous trouviez l’ouvrage à acheter.
Vous nous tenez au courant ?
17 octobre 2021 @ 23:19
Ellle est pas décédée depuis 5 ans?
18 octobre 2021 @ 10:49
Rassurez vous, les défunts tes) n’écrivent plus. Remarquez, un peu les livres de Charles de Gaulle ont peut être aussi fait partie des rééditions littéraires. / on garde les textes d’origine (lettres, originaux de papiers militaires) on modifie les photographies du livre, on change les couvertures… et on refait des belles éditions. Non ? je crois que oui… C’est possible. les cadeaux de fin d’année : faut y penser
18 octobre 2021 @ 13:54
Quelles sont ces reines tragiques ?
24 octobre 2021 @ 19:50
Benoite , à ma connaissance Y de Brémond d’Ars n’a écrit que des livres à partir de souvenirs de son métier d’antiquaire . J’ai tous ces livres que j’ai achetés après m’être régalée moi aussi d’une jolie histoire intitulée « le marquis de Caracas « . Elle eut le prix de l’Académie française avec « le brocanteur du Marais » puis d’autres récompenses littéraires avec « c’est arr ivé en plein Paris » que je suis en train de relire , et « le coffre à secrets ».