La princesse Alexandra de Luxembourg est venue saluer sa mère la grande-duchesse Maria Teresa à la librairie Galignani où une séance de dédicace du livre « Un amour souverain » avait été organisée.
Maria Teresa de Luxembourg chez Galignani
50 Comments
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5 décembre 2021 @ 09:28
Encore……🙄🙄🙄
5 décembre 2021 @ 22:00
Hélas !
5 décembre 2021 @ 09:53
Une vente de plus et une photo de plus.
6 décembre 2021 @ 11:17
Bon ! Maintenant ça va comme çà …
5 décembre 2021 @ 09:55
Oh lala…..un bouquet de roses jaunes pour célébrer un amour souverain……ça craint, comme disent les jeunes….!!!!
5 décembre 2021 @ 09:56
Le plan com continue ad nauseum donc …
5 décembre 2021 @ 09:58
Alexandra vit à Paris ?
Bon sinon, un peu ras le bol de voir partout à toutes les sauces MT et son page Stéphane, toujours aussi ravi (pas de crèche de Noël à proximité)… 😂😂😂
5 décembre 2021 @ 15:49
Page ou bouffon…..????🤔
6 décembre 2021 @ 06:47
Lou ravi :)
5 décembre 2021 @ 10:07
C’est à Venise, en 1520, que le nom de Galignani est mentionné pour la première fois sur la couverture d’une grammaire latine. Après la mort de Simon Galignani, ses quatre fils s’illustrent comme éditeurs et bibliophiles. Giovanni Antonio Galignani, le fondateur de la librairie parisienne, né en 1757, va s’orienter comme ses prédécesseurs vers les métiers du livre. Lorsqu’il termine ses études, Venise est en plein déclin. Giovanni décide alors de quitter sa cité pour la France, mais les troubles révolutionnaires le contraignent à rejoindre Londres. Il épouse la fille de l’imprimeur Pearson, ouvre salon de thé et librairie, puis repart à Paris tenter à nouveau sa chance. Ses fils, John Anthony et William Galignani naisssent à Londres en 1796 et 1798. En 1801, Giovanni inaugure, au 18 de la rue Vivienne, une librairie (avec reading room,conversation room et bibliothèque attenantes) spécialisée dans les ouvrages en langue anglaise. Malgré le blocus continental, il voit ses affaires prospérer. Classiques de la littérature anglaise et revues mensuelles (dont il est le rédacteur en chef) destinées aux Anglais résidant à Paris constituent l’essentiel de ses publications. En 1814, il lance le Galignani’s Messenger, premier journal en anglais d’informations politiques, économiques et littéraires publié dans la capitale qui intéresse un nombre croissant de lecteurs : troupes de Wellington qui, après Waterloo, occupent la France ; prisonniers anglais libérés ; voyageurs débarquant sur le continent… Parmi les abonnés lord Byron et La Fayette.
Lorsque Giovanni meurt en 1821, le journal et la librairie sont repris par ses deux fils, John Anthony et William, 25 et 23 ans, initiés par leur père au commerce. William meurt après son frère et, en l’absence d’héritier direct, son neveu et filleul Charles Jeancourt-Galignani est désigné comme successeur. Malheureusement, celui-ci ne peut sauver le Messenger qui disparaît, victime de la concurrence du New York Herald. C’est ainsi qu’André a l’idée d’ouvrir un rayon de livres d’art et de littérature française, en 1856, rue de Rivoli. À la disparition d’André, en 1979, son fils Paul transmet le flambeau à Antoine, son propre fils. Cet inspecteur des finances, qui a étudié dans un collège anglais, a d’abord travaillé au cabinet de Valéry Giscard d’Estaing, mais et a exercé de hautes fonctions de la Banque Indosuez avant d’être nommé président des AGF. Il est décédé en mai 2021.
5 décembre 2021 @ 10:31
André Jeancourt-Galignani était le fils de Charles.
5 décembre 2021 @ 10:15
Mais elle est charmante !
Il faudrait nous en parler plus souvent .
5 décembre 2021 @ 10:20
Je parlais de la princesse Alexandra .
Ce prénom est souvent porté par des femmes remarquables mais pas toujours hélas.
Stéphane Bern obtiendra-t’il le titre d’échanson ou d’écuyer cavalcadour de la grande-duchesse ?
5 décembre 2021 @ 18:16
En ce qui concerne le titre … il y a les fous des rois.. peut-etre qu´il pourra aussi y en avoir pour les grand-ducs .. grande-duchesses … qui sait…En tout cas, la definition de chevalier servant lui revient deja.
6 décembre 2021 @ 13:07
Il n est pas hetero
5 décembre 2021 @ 10:15
William Galignani avait gardé le secret de sa bienfaisance, qui ne fut dévoilé qu’après son décès, survenu le 11 décembre 1882. Il léguait à l’Assistance publique un terrain situé à Neuilly et deux immeubles sis à Paris, plus une rente de 70 000 francs. Pour la maison de retraite de Neuilly (toujours en activité), il était stipulé que « Chaque personne devra payer une pension annuelle de 500 francs, fournir son mobilier et prendre à sa charge les frais personnels d’éclairage et de chauffage. Toutefois je veux que, compris dans ce nombre de cent personnes, il y ait cinquante admissions gratuites et toujours renouvelables, au fur et à mesure des décès, en faveur des personnes dans les conditions sociales suivantes : Dix anciens libraires ou imprimeurs français désignés par le Cercle de la librairie et de l’imprimerie ; vingt savans français nommés par la Société des Amis des sciences que fonda le baron Thénard ; dix écrivains et dix artistes français élus, par l’Académie française et l’Académie des Beaux-Arts. Le testateur a toutes les délicatesses des âmes élevées, car il ajoute : « Ces nominations devront être mentionnées dans les rapports publiés par ces sociétés, les noms pouvant n’être indiqués que par des initiales. »
J’ai un ami, simplement décorateur-étalagiste mais sans grandes ressources, qui a pu bénéficier d’un hébergement dans cet Ehpad de Neuilly. Il y côtoie quelques écrivains et académiciens âgés disposant d’une faible retraite.
A Corbeil-Essonne, sur le socle de la statue des frères Galignani est écrit : « A Antoine et William Galignani, la ville et l’arrondissement de Corbeil reconnaissans. – 1886, hôpital ; hospice Galignani. – 1875, écoles de filles et asiles. – 1877, orphelinat. – 1873-1883, legs aux établissemens hospitaliers. »
5 décembre 2021 @ 17:01
Beque, merci pour l’histoire de la famille Galignani.
5 décembre 2021 @ 17:43
Merci Beque, très instructif, une belle grandeur d’âme pour l’EHPAD de Neuilly
5 décembre 2021 @ 22:29
Merci pour ces informations fort intéressantes et très documentées sur cette dynastie de libraires…
6 décembre 2021 @ 09:32
Merci à vous, Danielle, Aldona, Philippe H. C’est en allant rendre visite à l’ami dont je parle que je me suis demandé pourquoi son Ehpad portait le nom de Galignani, alors j’ai « enquêté ». On fait des découvertes.
5 décembre 2021 @ 10:32
Alexandra au très charmant sourire!
5 décembre 2021 @ 11:47
J’aime bien flâner ou faire des achats dans cette agréable librairie.
Contente de revoir la princesse Alexandra.
5 décembre 2021 @ 13:45
Encore !!
5 décembre 2021 @ 14:11
Nooooooooonn !
5 décembre 2021 @ 14:33
Ahhh Stéphane Bern est heureux…..
5 décembre 2021 @ 14:43
on ne voit qu’elle en ce moment !! Surprise que Stephane Bern, pour qui j’ai beaucoup d’estime cautionne , après son comportement rapporté il y a peu !
Quand elle sera fatiguée, elle se retirera dans Les landes pour se reposer ….quelques mois !
5 décembre 2021 @ 17:24
Les Landes ???? Biarritz est dans les Pyrénées Atlantiques. Ade.
5 décembre 2021 @ 15:01
Elle est mignonne et jolie Alexandra.
Elle est au second plan et dans l’obscurité, sa maman est au premier plan et sous les feux des projecteurs.
Un hasard sans doute…
5 décembre 2021 @ 16:57
Ce sont mes yeux ou la photo ? Stéphane Bern et la princesse Alexandra ont l’air d’ être noirs !
5 décembre 2021 @ 17:15
On voit la grande duchesse plus souvent avec Bern qu’avec le grand duc…
6 décembre 2021 @ 11:34
Probablement, une manifestation spirituelle: l’aura des saints 😇 😄
5 décembre 2021 @ 18:48
Quoi ? La Grande Duchesse a écrit un livre. Je n’étais pas au courant. Je ne comprends pas qu’une information aussi essentielle n’ait pas été plus médiatisée …
5 décembre 2021 @ 19:02
Toujours très discrète Alexandra. C’est dommage, cela ne l’aidera pas à se marier. Elle a déjà 30 ans.
6 décembre 2021 @ 06:49
Vous etes sérieuse?
7 décembre 2021 @ 12:00
Oui très sérieuse. Il n’y a pas 36 façons de vivre. Pour un chrétien, on se marie, ou on se consacre pleinement à Dieu. Les autres alternatives ne sont ni souhaitables ni épanouissantes. Une vie où l’on passe d’un amant à l’autre n’est certainement pas agréable, même si l’on n’est pas chrétien. Trop de discrétion nuit au mariage, car il faut un peu se faire connaître pour trouver l’âme soeur, elle ne tombe pas du ciel. Après, on peut être extrêmement discret, c’est même mieux, pour vivre heureux vivons caché.
5 décembre 2021 @ 21:37
Que fait elle de sa vie, Alexandra ?
5 décembre 2021 @ 23:34
Très jolie la princesse Alexandra.
Le feuilleton de MT devient aussi long que celui des feux de l’amour à la TV
5 décembre 2021 @ 23:39
La grande- duchesse ne quitte plus Mr Bern…
Conversion en vue ? Une nouvelle affaire à la Martha -Louise ?
Le pire, ce serait un nouveau livre :
« Un amour à sensation « ( comme la presse) 😂
6 décembre 2021 @ 09:39
🤣🤣 qui sait ?
6 décembre 2021 @ 10:42
C’est son ami intime
Il ne côtoie que lés membre du gotha européen et mondial
Tous les grands de ce monde
Je ne suis qu un roturier
Et je ne suis pas né avec une cuillère en platine et diamants dans la bouche
7 décembre 2021 @ 10:18
En ce qui concerne la cuiller …tant mieux pour vous … les diamants auraient detruit votre dentition….
6 décembre 2021 @ 03:06
Hermosa y culta princesa
6 décembre 2021 @ 14:28
Les, belles ou pas, salades sont également cultivées.
6 décembre 2021 @ 06:36
Aucun parisien du site N&R n’est allé à la séance de dédicace pour nous faire part de ses impressions ?
6 décembre 2021 @ 13:09
On attend impatiemment la visite de ses fils, puis de ses beau-frères, puis de ses belle-sœurs, puis de ses neveux, puis de ses nièces …
6 décembre 2021 @ 13:10
Son petit copain a 37 ans
Il pourrait être son fils
6 décembre 2021 @ 22:08
Ils vont finir par faire vieux couple
Alexandra est charmante.
7 décembre 2021 @ 00:06
Di tanto in tanto rivediamo la bella principessa di Lussemburgo ,Alessandra! Traduco con google:De temps en temps on voit la belle princesse du Luxembourg, Alessandra ! je traduis avec Google
7 décembre 2021 @ 14:01
Moi j’aime bien S. BERN. Il oeuvre pour le patrimoine. Si on attend après le ministère de la culture et E. MACRON pour sauver celui-ci ; c’est pas gagné !
7 décembre 2021 @ 19:04
Vasco on n’a pas attendu Bern, les chantiers REMPARTS existaient bien avant sa venue. , comme maisons paysannes , Vieilles maisons françaises etc …