La princesse Marina de Bourbon-Parme, veuve du prince André, belle-soeur du roi Michel de Roumanie, a exercé après son mariage en 1960 quelques années en tant que décoratrice. Elle a ensuite ouvert une boutique de cadeaux et d’antiquités à Saint Germain des Prés. Puis une boutique de mode au 112 rue de Courcelles à l’enseigne «Marina de Bourbon».
En 1995, la princesse a lancé sa ligne de parfums. Certains trouveront que ces activités commerciales reposent sur un marketing intensif exploitant son illustre patronyme, soit. Cette femme d’affaires affiche une réussite insolente et ne semble pas pressée de prendre sa retraite.
Marina Gacry fut tout d’ abord restauratrice de meubles anciens et relieuse de livres puis designer d’ objets divers ( meubles, vaisselle, etc… ) ,de prêt à porter et propose dans sa boutique des objets divers haut de gamme ( meubles, vaisselle, objets de décoration de l’ artisanat français ) à partir de 1986 en association avec Jean-Pierre Lopez. Ils ont aussi une boutique à Tokyo.
Bon sang ne saurait mentir : dans la famille de la princesse Marina, puisque sa fille la princesse Tania, dépose en 2008 à son tour sa marque-patronyme.
La boutique de la rue de Courcelles propose des objets originaux du monde entier inspirés souvent de la mer ou du ciel, mais aussi une gamme de vêtements, d’accessoires et une ligne de parfums pour femmes, reflets de la personnalité de leur créatrice.
Après le décès de son époux, elle encouragea leur fils le prince Axel à reprendre l’élaboration du champagne dont il était un des créateurs. Depuis, le prince Axel de Bourbon-Parme, cousin de la princesse Margareta de Roumanie, a ouvert sous la franchise « les domaines qui montent » une cave-épicerie fine-table d’hôtes en bordure du parc de Billancourt où il commercialise son champagne. Pour en savoir plus : http://www.mdebourbon.com/en/ – diary (Merci à Caroline Vm – Copyright photos : photopress)
Anne-Cécile
4 janvier 2017 @ 05:02
Le Prince André, homme cultivé et drôle, était aussi peu mondain que son épouse était (toujours?) sociable et toujours de sortie.
Apparemment leur descendance est plus douée et adaptée que celle de leur tante la défunte « Reine » Anne.
marielouise
4 janvier 2017 @ 07:38
Merci Caroline Vm et heureuse de découvrir cette dame qui me semble raffinée!
ml
Annmaule
4 janvier 2017 @ 08:57
Nous voici dans la vraie vie..avec une vie professionnelle evoluant dans le temps,des adaptations,des reussites d entreprise…bravo a cette personne qui entraine ses enfants dans sa reussite.
De l intelligence,de la classe,autour des belles choses ca me va bien en ce debut d annee…
JAY
4 janvier 2017 @ 09:13
Beaucoup de respect pour cette femme qui a le sens des affaires et qui TRAVAILLE !
Arielle
4 janvier 2017 @ 09:34
Un bel exemple de succès. Bravo, j’adore.
Valérie R.
4 janvier 2017 @ 10:19
Intéressant de voir les différences de personnalité entre les royaux ; certains, pragmatiques et les pieds bien sur terre, retroussent leurs manches et s’appuient sur leur patrimoine « immatériel » (relations, éducation hors pair, culture,…) pour se reconstituer un patrimoine financier, alors que d’autres sauvegardent leur ego dans des rêves d’un monde à jamais disparu et n’ont que des querelles vaines sur des titres et autres hochets pour s’occuper.
Gérard
4 janvier 2017 @ 21:23
On peut difficilement tout de même comparer la situation des neveux roumains du feu prince André et la sienne, d’un côté une famille qui conserve une popularité et qui est sollicitée en Roumanie, et de l’autre côté un sympathique parisien et cadet de la maison ducale de Parme dans une Italie unifiée.
Laurent F
4 janvier 2017 @ 10:32
Exploitation commerciale de son nom et alors ? Elle aurait tort de s’en priver, si ça lui a permis de réussir sa vie professionnelle (sans scandale au passage !)
Le cousin Charles-Emmanuel vendait bien des préservatifs à un moment, c’est certes très utile mais pas très prestigieux pour un prince !
Anne-Cécile
4 janvier 2017 @ 16:30
C’est surtout étonnant dans une famille si prolifique!
Robespierre
6 janvier 2017 @ 16:49
MDR ! mais, justement, c’est peut-être pour cela. Vingt-quatre enfants dont la plupart étaient handicapés, par la consanguinité, cela peut faire réfléchir les descendants.
framboiz 07
4 janvier 2017 @ 12:57
C’est un champagne , fait par Abel Lepitre, champagne que ma mère et ma grand-mère adoraient et nous avons été baptisé , comme Henri IV , avec ce champagne ! Ont-ils des relations avec leurs cousines roumaines ?
Padraig
4 janvier 2017 @ 14:11
Une erreur s’est glissée dans l’adresse du magasin en question, il s’agit du 112 Boulevard de Courcelles, Paris 17ème et non de la rue de Courcelles…
Jean Pierre
4 janvier 2017 @ 14:45
Je connaissais l’activité de Marina de BP mais je dois avouer que je n’ai jamais vu ses productions ou senti ses parfums.
Caroline
4 janvier 2017 @ 22:39
Jean-Pierre,
J’ai déja senti ses parfums, un peu trop capiteux pour moi!
mary71
4 janvier 2017 @ 16:57
femme étonnante et bien de son temps
mary71
4 janvier 2017 @ 17:57
dans mon précédent commentaire, j’ai oublié de dire que le premier prénom de cette dame est Paulette . . .. . . mais Marina (deuxième prénom) est certes plus élégant
COLETTE C.
4 janvier 2017 @ 19:04
Sa fille Tania lui ressemble énormément.
jo de st vic
4 janvier 2017 @ 21:10
« education hors pair » pas tous…
Valerie
6 janvier 2017 @ 16:57
Elle a bien raison
de Claviere d'Hust ( née Gudin )
12 juillet 2023 @ 20:45
Très chère Marina , Cette belle photo de toi me fait renaître tant de souvenirs …. Tu es une femme accomplie avec tant de talents , comme le fut ce cher André qui nous a quittés . ( je me souviens si bien de la boutique du 8e ….)
Comme tu le sais j’avais épousé Bernard de Clavière d’Hust considéré comme le plus grand peintre animalier avec qui je devais passer 20 ans aux Etats -Unis . Il nous a quittés il y a 6 années . J’habite Bordeaux depuis mon veuvage en retrouvant mes parents qui aussi nous ont quittés en 2010 ….
Une vie douce après un destin bien mouvementé ! !!!
Sois bien certaine que je ne manquerai pas de venir t’embrasser si je viens dans ce » pauvre » Paris Car je ne m’y suis pas rendu lorsque je t’ai aperçue avec joie lors du Bal donné il y a une quinzaine d’années donné par le frère de Chantale de Bourbon