Frédéric Mitterrand nous narre comme il sait si bien le faire la vie des Romanov, Habsbourg ou encore Hohenzollern après la Première Guerre Mondiale. Se positionnant pour les uns dans le monde de l’art et de la mode, continuant à jouer un rôle diplomatique de l’ombre non négligeable pour les autres.

« Mémoires d’exil », Frédéric Mitterrand, Robert Laffont, 1999, 333 p.