C’est aujourd’hui que l’exposition « Cartier. Le style et l’Histoire » ouvre ses portes au Grand Palais à paris et ce jusqu’au 16 février 2014.
Ouverture de l’exposition « Cartier. Le style et l’Histoire » à Paris
13 Comments
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4 décembre 2013 @ 08:42
Trop bien! Je compte aller visiter l’exposition en janvier.
4 décembre 2013 @ 10:08
Ca ne peut être que beau, même lorsque, comme moi, on ne raffole pas des joyaux.
Aux amateurs de belles expos parisiennes, je recommande Poliakoff au musée d’Art moderne Palais de Tokyo, et dans un tout autre genre, Brueghel à la Pinacothèque.Les deux sont formidables.
4 décembre 2013 @ 12:02
A voir absolument, j’y étais hier c’est sublime. (l’expo est ouverte depuis lundi mais pas au grand public)
4 décembre 2013 @ 12:30
Merci, c’est noté.
4 décembre 2013 @ 13:05
Chiiic!Cette magnifique exposition parisienne est dédiée au célèbre joaillier Cartier!A lire tout sur le site ‘Cartier,toute l’actu de l’expo’!
4 décembre 2013 @ 14:58
J’y vais ! j’y vais le 1er janvier pour commencer l’année en beauté !!
4 décembre 2013 @ 17:52
Je lis sur l’excellent « Point de vue et images du monde » de cette semaine que la reine prête deux objets exceptionnel :
– le diadème de feuilles d’acanthes que feu le duc de Kent (1902-1942) offrit à sa femme, la princesse Marina de Grèce et de Danemark (1906-1968), en 1936, deux ans après leur mariage, pièce portée par Catherine Middletone à l’occasion de son mariage avec le prince William,
– une broche, sertie du « Pink Williamson ».
On reverra probablement beaucoup de bijoux déjà vus dans les autres expositions Cartier, mais – j’imagine – sans les bijoux que la famille royale d’Espagne avait prêtés à Madrid pour l’exposition organisée au musée Thyssen Bornemizza l’hiver denier.
Pour en revenir à mon hebdomadaire favori (que je n’achète pas chaque semaine), il y a un article que je vais lire sur le couple (quel beau couple !) constitué par le prince Harry et Jessica Bonas. La petite hésite à entrer dans le carcan de la famille royale ; on peut la comprendre. Mais Harry a tellement de charme !
Ces deux très beaux jeunes gens mettraient un peu (beaucoup) de piment dans la famille royale qui en a besoin au risque de sombrer dans un style un peu trop « popote ».
Je dis « popote » mais la reine, elle, est toujours pimpante.
4 décembre 2013 @ 19:24
La reine a prêté la broche Williamson avec le diamant rose et le diadème « halo » porté par la duchesse de Cambridge lors de son mariage. Autre bijou royal, l’énorme saphir de Marie de Roumanie qu’avait racheté Frédérika de Grèce. Il est plus gros qu’un oeuf !!
4 décembre 2013 @ 19:27
D’où tenez-vous que c’est un diadème offert par le duc de Kent à son épouse Marina ? C’est un cadeau de George VI à son épouse Elizabeth qui n’était pas encore Queen Mum.
4 décembre 2013 @ 19:57
Autant pour moi, il s’agissait du duc d’York et non du duc de Kent comme je l’ai écrit par erreur. (L’erreur vient de moi et non du prestigieux hebdomadaire du mercredi.)
« Point de vue et images du monde » précise que le futur roi George VI avait acheté ce diadème mille quatre cents livres chez Cartier, le style correspondant à la mode de cette époque où les « coiffures des élégantes (étaient) plates » (sic).
Une question : est-il dans l’écrin royal (comme objet qui appartient donc à l’Etat) ou est-il propriété privée de la reine ?
5 décembre 2013 @ 12:02
Propriété personnelle d’Elizabeth II comme tous ses bijoux, à l’exception des « Joyaux de la Couronne » qui regroupent les bijoux (couronnes, sceptres, globes), vêtements et accessoires des sacres.
La « Halo Tiara » de Cartier lui fut offerte par ses parents pour son 18ème. anniversaire.
5 décembre 2013 @ 10:32
Ce saphir n’est pas exposé, ce me semble, Laurent F.
5 décembre 2013 @ 16:43
Il semblerait que Cressida, qui mène la vie des bobos chics ne soit pas prête à la sacrifier sur l’Autel de la royauté.
( Cela rappelle curieusement l’attitude de Camilla qui fit la moue à l’idée d’aller » tourner dans un bocal » comme elle décrivait la vie à la Cour)…
Espérons que si Cressida se désiste, Harry ne deviendra pas le deuxième »inconsolé » de la famille et ne revivra pas ce qui fit le malheur de son père et de beaucoup d’autres autour de lui.