C’est en 1963 que voit le jour Arielle Malard. Titulaire d’un doctorat en économie internationale à l’Institut d’Etudes politiques de Paris puis un DEA en Monnaie Banque Finances à l’université Paris II Assas.
En 1989, Arielle Malard entre chez Lazard Frères & Co au sein de l’équipe de Conseil aux gouvernements étrangers.
Polyglotte, maîtrisant outre le français, l’anglais et l’espagnol, Arielle Malard fait la rencontre du baron Edouard de Rothschild, fils du baron Guy et de la baronne Marie Hélène.
Ils se marient en 1991. Une somptueuse fête est organisée par Marie Hélène de Rothschild en l’hôtel Lambert à Paris à l’occasion du mariage. Trois enfants naîtront de cette union.
On les croise sur les champs de course et lors de cocktails mondains à Paris et à Deauville.
En 1999, la baronne Arielle de Rothschild rejoint la banque familiale dans le service dédié aux marchés émergents. Elle est également gérante de la banque depuis 2006 ainsi qu’administratrice du groupe Lucien Barrière actifs dans l’hôtellerie de luxe et les casinos.
La baronne Arielle a toujours été très impliquée dans le monde associatif. Déjà lorsqu’elle était étudiante, elle militait auprès d’ATD Quart Monde et participa au programme « bibliothèques de rues ». Elle est à présent depuis 2007 une très dynamique présidente de l’association CARE France qui chaque année organise un bal à Deauville pour lever des fonds afin de soutenir les différents programmes annuels.
21 janvier 2017 @ 05:16
Merci pour ce portrait. Dans la famille de Rothschild, on pourrait « demander » aussi la baronne Ariane (belle fille de Nadine) et oh combien différente de cette dernière.
Arielle et Ariane deux femmes de têtes et d’exception. Jolies, cultivées et ..accessoirement très riches Que manque t-il ? en « apparence » rien !
21 janvier 2017 @ 06:51
Point de vue avait consacré quelques pages pour ce fabuleux mariage organisé par l’incomparable baronne Marie Hélène.
21 janvier 2017 @ 06:52
Je ne voudrais pas paraître mesquin, chicaneur, vétilleux, tatillon, processif, ou, encore moins, querelleur, mais normalement un DEA se passe (ou plutôt se passait, puisque ce diplôme n’existe plus) avant le doctorat.
Ce qui tendrait à dire que la baronne Arielle aurait passé un autre DEA avant son doctorat (le DEA étant obligatoire pour passer un doctorat). Ou alors, y aurait-il eu inversion entre les deux diplômes?
Ceci dit juste par souci de clarté!
21 janvier 2017 @ 13:09
Olivier,
Elle peut avoir passé un doctorat en économie et un DEA dans une autre discipline.
Vous savez, certaines personnes sont polytechnicien pour être agréable à leur père et ensuite deviennent médecins !
Je comprends et rejoins votre souci de clarté.
21 janvier 2017 @ 13:09
polytechnicienS
22 janvier 2017 @ 00:55
Cher Gibbs,
Oui, oui, vous avez parfaitement raison!
Ce que j’avais bien sûr compris… Je jouais les faux naïfs, afin de souligner les talents de la baronne Arielle.
Et je ne suis pas certain que tout le monde sur le site ait été au fait des « subtilités » des diplômes universitaires français, qui n’existent plus d’ailleurs.
(Ceci dit sans aucune arrière pensée désobligeante envers quiconque, of course!).
22 janvier 2017 @ 10:45
Je connais un polytechnicien dans ce cas qui est devenu guide de haute montagne…
21 janvier 2017 @ 13:27
si on changeait de matière, on recommençait un DEA, avec équivalence accordée pour la maîtrise si dans discipline proche. Avec le circuit Master, ce doit être la même chose.
Mais le DEA étant en partie le projet de doctorat, si elle a fini le doctorat, inutile de citer le DEA.
22 janvier 2017 @ 00:50
Cher HRC,
Ah, désolé, non, le DEA n’était pas toujours un début de thèse. Certains étudiants s’arrêtant là.
Et le sujet entre le DEA et la thèse pouvait parfaitement changer…
Mais, là, on s’éloigne du sujet. Mon propos ne tendait qu’à éclaircir les choses pour les gens qui ne connaissent pas le fonctionnement des diplômes…
21 janvier 2017 @ 18:51
Olivier,
Oui vous chicanez.
Relisez-vous, ou suivez des cours d’orthographe … Le mot « pocessif » n’existe pas … ah ah ah
22 janvier 2017 @ 16:55
Marie,à mon tour d’être PROCESSIVE = procédurière….
22 janvier 2017 @ 17:01
Marie,à mon tour d’être PROCESSIVE = procédurière….
Je ne vous conseillerai pas de lire plus soigneusement….
22 janvier 2017 @ 17:08
Pocessif, non, mais processif, oui, et c’est ce qu’a écrit Olivier.
21 janvier 2017 @ 07:02
Bonjour à tous. Le baron Edouard n’est pas le fils du baron Guy? Marie-Hélène de Rothschild était spectaculaire.
21 janvier 2017 @ 16:47
Et Philippine de Rothschild, que j’ai vue lors d’un mariage, pétulante.
21 janvier 2017 @ 07:30
Edouard de Rothschild est le fils de Guy, pas d’Edmond. D’autre part, Arielle et Edouard sont séparés.
26 novembre 2018 @ 20:03
Le Baron Guy se marie en premières noces avec Alix Sche et ils ont un fils: M. David de Rothschild. Après le divorce, il se remarie avec Mme Marie-Hélène van Zuylen et ils ont un fils: M. Édouard de Rothschild.
21 janvier 2017 @ 07:53
Le baron Édouard a eu très bon goût en choisissant une femme jolie, à la tête plus que bien faite et généreuse.
22 janvier 2017 @ 14:12
OUi ..mais IL ne l’a pas gardée dommage….
21 janvier 2017 @ 08:19
Vous ne parlez pas d’une séparation ou d’un divorce car je crois qu’elle n’est plus avec son mari.
21 janvier 2017 @ 08:56
Jolie tête bien faite et bien pleine,parcours sans faute.
21 janvier 2017 @ 09:17
J’ai rencontré Arielle Malard dans notre jeunesse et elle était déjà une jeune femme remarquable en tous points.
Une de ses filles se prénomme Aliénor en hommage à la duchesse d’Aquitaine.
Elle est divorcée du baron Edouard et se nomme désormais Arielle Malard de Rothschild.
21 janvier 2017 @ 11:09
Ma fille de 20 se prénomme également Aliénor :)
21 janvier 2017 @ 12:59
J’aime beaucoup ce prénom. Bon choix, chère amie.
21 janvier 2017 @ 18:22
Mercî Rob’´
21 janvier 2017 @ 15:15
Nouvelle d’importance internationale !!!
21 janvier 2017 @ 18:21
Vous savez, Denis, sî on ne devait émettre que des commentaires importants, on pourrait ôter les 9/10 des commentaires de ce site, en commençant bien sûr par le vôtre …:))
22 janvier 2017 @ 17:10
:):):)… En tout cas, moi je suis comme Robespierre, j’aime ce beau prénom qui évoque une reine remarquable.
22 janvier 2017 @ 18:06
Très drôle, bravo !!!
23 janvier 2017 @ 13:28
Mercî Corsica et Amaia…j’assume la futilité de mes commentaires…pour les choses sérieuses il y a la vraie vie..:))
21 janvier 2017 @ 13:12
Fort joli et prestigieux prénom qu’Aliénor.
J’aime énormément.
21 janvier 2017 @ 18:22
Mercî Gibbs’s!
21 janvier 2017 @ 09:42
que devient nadine de rothschild ? merci de vos futures réponses; bon samedi
21 janvier 2017 @ 16:29
Je suppose qu’elle vieillit comme tout le monde. Elle a commis dans le temps un ouvrage de savoir-vivre, notamment à l’intérieur du couple. C’était inattendu comme conseils et raisonnement. En gros, elle disait aux femmes qui avaient eu la chance d’épouser un homme très riche, de regarder de l’autre côté quand il les trompait. L’honneur qu’il leur avait fait en les épousant valait le petit sacrifice de ne pas se formaliser pour un coup de canif dans la contrat. Quand à ces privilégiées, si elles avaient un coup de coeur pour un autre monsieur, il fallait rester très discrètes. Bref, elle célébrait l’adultère de bonne compagnie chez les nantis, et aurait passer pour des ploucs les ménages fidèles. Comme si l’argent excusait tout et guérissait de tout.
21 janvier 2017 @ 18:02
pardon « … aurait fait passer pour des ploucs »
22 janvier 2017 @ 17:02
Quand on est prêt à tout pour de l’argent, ca s’appelle comment déjà…?:))
23 janvier 2017 @ 10:46
Mon cher Robespierre, quand on épouse un homme pour son portefeuille, on ne doit pas hésiter à attraper un torticolis ! Ce qui fait mal, c’est d’être amoureuse et trompée. Le reste, c’est du business. Cela dit, détourner la tête ne doit pas suffire, surtout quand on vieillit et que la beauté se flétrit. Pour malgré tout rester la femme d’un homme immensément riche, il faut quand même avoir d’autres qualités que la souplesse d’un cou et la baronne ne devaient pas en manquer.
21 janvier 2017 @ 09:57
Voici une personne que je ne connaissais pas. Elle me paraît très sympathique et très active. Félicitations pour son parcours. Quel âge ont ses enfants ? que font -ils ?
21 janvier 2017 @ 11:17
Belle comme…son chéquier!
21 janvier 2017 @ 12:25
Rothschild ! Un nom qui de tous temps a su traversé les ans en gardant son prestige intact et ce jusqu’à ce jour ! On ne peut pas en dire autant des Orléans et de certains de leurs cousins du Gotha !
21 janvier 2017 @ 12:58
Les Rosthschild sont toujours très impliqués dans l’aide au autres !!!
21 janvier 2017 @ 13:14
Une dame que je ne connaissais pas.
Jolie, beaucoup de classe et une tête bien remplie.
21 janvier 2017 @ 14:34
Voilà une banquière comme je les aime!!!
Voici ce qu’elle répondait, en 2011, dans un entretien au sujet de la crise financière et des façons de remédier à l’endettement public des pays:
« Depuis deux ans, je travaille beaucoup sur les financements innovants. Au départ j’étais plutôt en faveur d’une taxe sur les transactions de change, qui me semblait plus facile à mettre en place, car plus limitée.
Depuis, l’idée d’une taxe sur les transactions financières qui s’apparenterait à la Taxe Tobin a fait son chemin, notamment grâce à Christine Lagarde et Bernard Kouchner qui ont relancé le sujet en décembre 2009, après qu’on ait pu mobiliser 18 trillions de dollars pour restaurer la confiance dans le système bancaire et financier. Je me suis dit que si nous arrivions à mobiliser autant d’argent pour le système financier, nous devions pouvoir le faire pour les pays les plus pauvres.
L’enjeu est important: au mieux, cela représenterait 330 milliards de dollars par an, donc des fonds importants pour réaliser les Objectifs du Millénaire pour le développement.
Youphil: Personne ne s’accorde sur l’utilisation de ces fonds…
A.d.R: Quand les autorités françaises ont pris ça en main, il était clair que cette taxe allait aider les pays en voie de développement. Mais le temps a passé, nous sommes arrivés nous-mêmes à une situation plus critique. Pour le moment, l’idée est plutôt de dire: mettons en place cette taxe, et nous verrons ensuite comment on dépensera l’argent.
Youphil: Les banques ont été accusées d’être responsables de la crise. Ne trouvez-vous pas contradictoire, en tant que banquière, de porter ce type de propositions?
A.d.R: Je me sens justement compétente pour réfléchir à ces sujets. Par ailleurs, je travaille dans une banque de conseil, nous n’avons pas de salle de marchés, nous ne sommes pas une banque commerciale. Je me sens donc plus libre d’en parler. Il n’y a pas de TVA dans le secteur bancaire, et les montants resteraient très faibles avec cette taxe, entre 0,001% à 0,5% selon les instruments. Puisque nous sommes capables de mobiliser des fonds, mobilisons-les pour des causes vitales. »
21 janvier 2017 @ 15:02
Je ne savais pas qu’elle était divorcée, en tous cas cette femme possède un beau CV et un regard très fort.
21 janvier 2017 @ 15:21
Son prénom me fait penser à une marque de lessive très connue…
21 janvier 2017 @ 16:37
C’et sans doute parce qu’elle lave plus blanc !
22 janvier 2017 @ 16:14
Vous avez fait l’école du rire ?
22 janvier 2017 @ 17:06
Même « les taches cachées derrière les noeuds des torchons » ? ;)
22 janvier 2017 @ 17:12
Mais n’est-ce pas une qualité indispensable dans certains milieux financiers ?
21 janvier 2017 @ 17:06
Elle est divorcée depuis déjà plusieurs années et son mari est au bras d une très belle et jeune femme ….
22 janvier 2017 @ 17:03
Je ne vous aurais pas crue sî vous m’´aviez dit qu’il trimballait une vieille moche..:)
23 janvier 2017 @ 10:41
Ma chère Trianon, merci pour le fou rire !
21 janvier 2017 @ 17:51
Une belle carrière !
22 janvier 2017 @ 10:42
Arielle Malard est fille de Raoul, président et administrateur de sociétés dont la société des Monoprix, issu d’une famille d’industriels, et de Jacqueline Janet.
23 janvier 2017 @ 00:33
La famille Malard est dès le début du XIXe siècle une famille de notables de Tourcoing. Elle devait s’allier avec des familles de filateurs du Nord et de la bonne noblesse.
Raoul Malard, né à Tourcoing le 9 avril 1901, hérita de l’usine de peignage de laine de son père et développa les activités familiales. Il acheta la majorité des parts des Galeries Lafayette sur Monoprix (on assista à un mouvement inverse vers 1993).
Il se maria d’abord avec Nelly Christory dont postérité.
Il fut une locomotive du Tout-Paris y compris sous l’occupation.
Il épousa plus tard Jacqueline Janet une belle jeune femme qui avait été Miss Bretagne puis Miss France et qui fut une des premières clientes d’Hubert de Givenchy. Elle était d’une famille aisée d’industriels de la brosse à Beauvais. Son père Robert était fils de Charles Janet, un scientifique (1849-1932), docteur en sciences naturelles, ingénieur, qui était le gendre d’Alphonse Dupont, dont l’usine de brosses, les Brosses Dupont, à Beauvais employa jusqu’à mille ouvriers.
Raoul Malard grâce à Marthe de Fels la belle-sœur de la duchesse de La Rochefoucauld, avait fait la connaissance d’Alexis Léger, Saint-John Perse, dont il devint l’un des meilleurs amis. Les Malard recevaient leurs amis Alexis et Dorothy dans leur hôtel parisien et dans leur propriété de plus de 180 ha à Biot, le Domaine des Aspres, ou sur leur bateau l’Aspara, une ancienne vedette de la Royal Navy dont l’équipage les attend à Cannes.
Raoul mourut au retour d’une croisière aux îles Éoliennes le 12 février 1968 à Gstaad chez Charles Greville, 7e comte de Warwick, et son épouse Janine Detry de Mares.
Arielle en 1963 fut le seul enfant de son deuxième mariage.
Jacqueline se remaria au Monte Tore en 1970 avec le docteur Fernando Rubió i Tudurí (né en 1901 à Barcelone et qui devait mourir en 1994 à Port Mahon dans l’île de Minorque qui lui était très chère). C’était un riche pharmacien et un mécène. Il était divorcé de Mercedes Boada dont postérité. Son père était l’ingénieur militaire Marià Rubió i Bellver.
Jacqueline Rubio née Janet est morte à Neuilly où elle était née, le 11 mars 2016 et ses obsèques ont été célébrées en l’église Saint-Pierre de Neuilly-sur-Seine le 16. Elle avait 97 ans. L’avis de décès dit qu’Édouard est son gendre. Mais peut-être était-il divorcé en effet et il semble qu’il vive maintenant avec le mannequin espagnol Irène Salvador. Excellent cavalier le baron Édouard est également président de France Galop. Il est également actionnaire de Libération.
9 février 2017 @ 17:39
Extrait du Petit Journal Edition de Paris du dimanche 10/10/1937
1937 Elue Miss Cannes par hasard. Elle passe ses vacances à Cannes, chez des parents. Elle va prendre le thé au Palm Beach. Il y a ce jour là, un concours, et la voilà élue.
1937 Elue Miss Côte d’Azur par jeu. Quelques jour plus tard toujours au Palm Beach, on élit Miss côte d’Azur . Elle sera choisie.
1937 Elue Miss France par curiosité. On lui demande de concourir pour Miss France. Elle accepte et la voilà choisie. Elle n’est pas encore revenue de son aventure et elle rie… d’un rire éclatant. On l’a choisie pour ses lourds cheveux sombres et ses yeux bleu-gris, pour son teint et sa silhouette. On l’a choisie parce qu ‘elle est fraîche, qu’elle a un sourire clair et qu’elle ouvre ces yeux francs et enthousiaste sur le monde.
On la choisie aussi sans doute parce qu’elle est bien une jeune fille de chez nous. Une de ces jeunes filles que leurs cousines étrangères envient parce qu ‘elles savent toujours avoir du chic, qu’elles éclatent de charme, qu’elles sont sérieuses sans être pimbêches, sportives en restant gracieuses et qu’elles ont su mieux que personne adopter la liberté de la jeune fille d’aujourd’hui sans perdre la réserve des jeunes filles de toujours.
Elle aime le jazz, mais se passionne pour la peinture Italienne. Elle sait conduire, mais elle sait aussi coudre. Elle a lu avec passion les gros livres scientifiques de Charles JANET son grand-père. Elle se préparait à suivre les cours de l’école du Louvre.
25/10/1937 Part en Tunisie et en Algérie avec toutes les autres Miss, pour participer au concours de Miss Europe à Alger, elle emmène sa mère avec elle. C’est Miss Finlande Britta Wikström qui remporte le titre.
Elle n’a jamais été élue Miss Bretagne.
22 janvier 2017 @ 10:47
Son père était surnommé Raoul sur l’or.
Sa mère a été Miss France 1937.
Union de la beauté et de l’intelligence financière !!!
22 janvier 2017 @ 17:07
« Raoul sur l’or », c’était bien trouvé. ;)
22 janvier 2017 @ 13:31
C’est une jolie femme, elle me rappelle l’actrice Valérie Stroh.
23 janvier 2017 @ 21:18
La bouche et les yeux, vous avez raison, mais elles ne bougent pas du tout de la même façon.