La reine Rania de Jordanie était en visite dans la localité de Fuheis dont la population est en majorité chrétienne. La reine a assisté aux préparatifs de Noël.
Rania de Jordanie en visite à Fuheis
12 Comments
Laisser un commentaire
Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.
20 décembre 2019 @ 10:13
Pas de foulard
20 décembre 2019 @ 13:19
Normal Vasco2 ce sont des chrétiens.
21 décembre 2019 @ 08:42
Il s’agit d’une communauté de Chrétiens d’Orient.
20 décembre 2019 @ 10:17
Le respect des chrétiens est une tradition dans la famille hachémite
20 décembre 2019 @ 11:39
Sympa cet oecumenisme, le roi Hussein avait tracé la voie, j’ai vu des photos dans sa jeunesse où il mettait un cierge à Bethléem dans l’église de la nativité
20 décembre 2019 @ 11:48
La reine est ici parfaite d’élégance vestimentaire et de tolérance, d’ouverture.
20 décembre 2019 @ 14:10
Pas plus de tolérance et d’ouverture qu’un Royal chrétien qui ferait de même envers une autre religion. C’est normal qu’une Reine ou Roi ou tout autre « Royal » soit ainsi, le contraire choquerait.
21 décembre 2019 @ 11:49
Si vous le dites…
Il me semble tout de même que le contexte est un peu différent selon la situation géopolitique du pays.
20 décembre 2019 @ 14:32
Oh non botox …..je vois un visage tiré et en cire …..quel dommage !
20 décembre 2019 @ 17:36
*j’aime ce couple* Je conseille aux lecteurs de Noblesse et Royautés de découvrir la Jordanie, Pétra qui veut dire pierre est sublime.*
20 décembre 2019 @ 17:46
Espérons que cette chorale ait chanté de beaux cantiques de Noël.
22 décembre 2019 @ 02:29
Le pape Léon XIII en 1898 a confirmé la protection catholique française au Moyen-Orient.
Les accords de Mytilène des 2, 4, 6, 9 et 10 novembre 1901entre la Sublime Porte et l’ambassade de France suivis de l’agrément de Constantinople de 1913 ont fixé les droits des pèlerins et des établissements congréganistes et protégés en Terre Sainte.
Les souverains jordaniens plus tard ont été attachés à la protection des Lieux Saints.
Le prince Ghazi bin Muhammad, cousin du roi Abdallah II et son conseiller aux affaires religieuses, à la suite de son oncle le prince Hassan, dans une lettre qu’il adressa au pape Benoît XVI en octobre 2007 avec 137 dignitaires musulmans sur l’amour de Dieu et l’amour du prochain, a été à l’origine du forum catholico-musulman du Vatican en 2008.
Le roi Abdallah n’a jamais manqué de faire des efforts pour la paix et la sauvegarde des Lieux Saints. Il est en effet à cet égard dans la ligne des accords israélo-jordaniens de Wadi-Araba du 26 octobre 1994 qui furent suivis par l’accord jordano-palestinien signé à Amann le 7 avril 2013 sur la protection de l’Esplanade des Mosquées et des Lieux Saints musulmans et chrétiens de Jérusalem.
La garde hachémite des Lieux Saints chrétiens et musulmans de Jérusalem n’est plus aujourd’hui vraiment contestée.
En juillet 2019 le royaume du Maroc s’est associé à cet égard au royaume de Jordanie du point de vue financier.
On remarquera aussi bien entendu que beaucoup de princes Jordaniens se sont alliés à des chrétiennes.
Le roi Abdellah a fait restaurer le site présumé du baptême du Christ sur les bords du Jourdain en territoire jordanien. On sait qu’un autre site présumé se trouve en Israël.
Le 10 avril 2016 le roi Abdallah a signé un édit royal pour prélever sur sa cassette personnel une makruma c’est-à-dire une donation royale de bienfaisance, dont il a fait état dans un courrier adressé au patriarche grec orthodoxe de la ville sainte de Jérusalem et de toute la Palestine.
Le roi a largement contribué à la restauration du Saint-Sépulcre du Christ dans la basilique du même nom à Jérusalem.
Ses efforts lui ont fait attribuer le prix Templeton le 13 novembre 2018 doté d’une somme de 1 100 000 £, et, pour favoriser l’harmonie à l’intérieur de l’Islam et de l’Islam avec les autres religions le roi a procédé à de nouveaux dons grâce à cette somme. Rappelons que ce prix a été fondé en 1973 par la Fondation américaine John Templeton et a notamment été attribué la première année à mère Teresa de Calcutta, puis au franco-suisse frère Roger de Taizé, à Soljenitsyne ou au dalaï-lama. Parmi les autres récipiendaires, le cardinal belge Suenens, le physicien français Bernard d’Espagnat qui a reçu son prix du duc d’Édimbourg, le franco-canadien Jean Vanier, fondateur de l’Arche, le physicien et philosophe allemand Carl Friedrich baron von Weizsäcker, la fondatrice italienne du Mouvement des Focolari, Chiara Lubich ou l’archevêque sud-africain Desmond Tutu.