« Mignonne, allons voir si la rose... » En donnant le nom du poète à une rose en 1987, la maison Meilland jouait sur du velours, Car c’est devenu l’un des rosiers les plus vendus au monde. Son parfum, léger et très délit fit l’unanimité. (Merci à Bertrand Meyer)
17 mai 2020 @ 08:48
j’ai ce rosier à la maison très belle floraison en ce moment
17 mai 2020 @ 09:57
moi aussi, et c’est mon préféré!
remontant, on en a pendant très longtemps!
17 mai 2020 @ 08:51
Ne plantez jamais un rosier à côté d’un regard d’eaux sanitaires. Celui là, était en terre depuis presque 20 ans, il prenait tout le mur jusqu’au toit. Et puis, il est allé se mettre à boire l’eau de sortie pièce salle de bains. Racines qui remontaient jusqu’au fond de la canalisation… Ni une, ni deux… Sans appel et sans procès : décapitation sur le champ. Et aussi on ne replante jamais un rosier dans un emplacement occupé par un autre rosier, il ne prendra pas. Celà dit, celui qui est présenté est beau, vorace, et fait des fleurs exquises tout au long de la saison. Et pluie de pétales qui couvrent le sol.
17 mai 2020 @ 08:59
Sincèrement , je ne vois pas la raison de cet engouement , la fleur est certes élégante mais pas son port , la tige est trop gracile et s’incline , le mien est en pleine floraison mais l’on doit se mettre à genoux pour voir la corolle . Il est encadré par deux autres rosiers l’un rose , très parfumé et l’autre rouge foncé , je les trouve bien plus beaux.
17 mai 2020 @ 09:41
suis bien de votre avis, sur son port.. trop fragile on dirait, il plonge et les fleurs sont assez lourdes. C’est un peu le lot des grosses roses… Finalement les rosiers arbustes sont les meilleurs. Pour celui qui fut sacrifié, il est été aussi déraciné : tout y est passé..
17 mai 2020 @ 09:58
ce que j’aime, c’est la délicatesse des nuances
17 mai 2020 @ 21:45
Planté en novembre dernier, en pot de terre sur ma terrasse je suis enchantée par sa floraison depuis 3 semaines maintenant.
J’ai eu quelques soucis avec les pucerons sur mes rosiers.
J’ai fait appel des auxiliaires , j’ai commandé des larves de Coccinelle et elles m’ont débarrasser du problème Pucerons.
Je souhaite faire l’acquisition à l’automne d’un » Grand huit » que je viens de découvrir, j’en suis tombée littéralement amoureuse, elle aurais plu à ma maman.
30 mai 2020 @ 11:39
je vous conseille le Grand-Huit Muileald , il est magnifique, je l’ai en grimpant et c’est rare d’avoir d’aussi grosses fleurs dans un grimpant , il sent très bon , il est sain .
17 mai 2020 @ 23:52
Effectivement, la fleur est lourde et pique du nez, plus encore après la pluie. Mais le mien est palissé contre un mur plein sud et atteint les deux mètres. Ce n’est donc pas très grave. De plus, il n’est jamais malade et très résistant. Sur le plateau casadéen, à plus de 900 m d’altitude, il résiste vaillamment à – 15 °C.
17 mai 2020 @ 09:03
Ce rosier grimpant solide et vigoureux, est célèbre pour ses grosses fleurs de 10-13 cm, bicolores et d’un rose frais. Il a obtenu la récompense suprême de la Fédération Mondiale des Sociétés de Roses en tant que «Rose Favorite du Monde Entier» en 2006.
17 mai 2020 @ 09:14
Il est fleuri dans mon jardin depuis dix jours, la pluie (bienvenue) a à peine gâché les roses.
Et pas trop loin, le « Joachim du Bellay », qui a plus tardé, lui fait de l’oeil.
J’ai déjà planté trois fois ce rosier dans un jardin en l’honneur et en souvenir de ma prof de français de seconde dont j’ai adoré les cours et la personnalité si classique et si décapante pourtant.
17 mai 2020 @ 09:50
Presque aussi belle que la vôtre, chère Baboula.
17 mai 2020 @ 09:28
Ce rosier fleurit dans mon jardin depuis 10 ans , il m’enchante …
17 mai 2020 @ 09:31
Le mien freluquet en bac ,souffre certainement et fait des fleurs plus petites,ce qui me convient .
Guy et vos belles roses ,vous n’êtes pas apparu depuis un moment ,donnez-nous des nouvelles.
17 mai 2020 @ 09:44
Lorsqu’on possède un Pierre de Ronsard, il est très facile de le bouturer, il suffit de choisir des branches longues d’environ 50 cm, d’enlever les épines, provoquant ainsi de petites blessures d’où partiront des racines et de le ficher en terre directement à la place souhaitée, il faut suivre les arrosages durant le premier été surtout, plus de la moitié des boutures prennent, résister à la tentation de tirer dessus pour vérifier l’enracinement. Je bouture mes rosiers toute l’année, sauf en plein hiver, ça marche pour pratiquement tous.
30 mai 2020 @ 11:37
Neillia intéressant . Je bouture aussi mais du premier au 8 août , conseil de ma grand-mère et ma foi ça marche .
Merci
17 mai 2020 @ 10:15
J’ai deux autres rosiers de Meilland dans mon jardin. « Marie Curie » qui a une belle couleur et qui sent très fort. Puis « Alexandrine » baptisé en 2010 à Schwerin en l’honneur de Friederike Wilhelmine Alexandrine de Prusse Grande-Duchesse de Mecklenburg. Mais je l’ai surtout planté pour le souvenir d’une arrière grande-tante qui portait le même joli prénom.
17 mai 2020 @ 12:56
Je doute de la photo de cette rose.
Pour moi, ce n’est pas une pierre de Ronsard qui a beaucoup plus de petales.
Peu odorante mais vraiment jolie je l’aime bien
17 mai 2020 @ 13:37
Je suis toujours émue par le nom de ces rosiers quand ils évoquent un grand poète de la Renaissance .
Présenté ainsi , le rosier est séduisant .
18 mai 2020 @ 11:32
Ciboulette je suis tombée amoureuse de ces poètes dans ma jeunesse et jeune mariée j’ai entraîné mon mari sur leurs traces . Au Lycée nous avions créé un club la pléïade !! rien que ça .
Je ne suis pas certaine que la fleur présente soit issue d’un Ronsard , les miennes même en début de floraison sont plus fournies .
Qui a évoqué le Grand Huit , ils sont magnifiques ici , je le conseille vivement , une splendeur la fleur à peine épanouie , quelle forme , quel parfum, quelle force .
Un vrai bonheur.
18 mai 2020 @ 13:28
Je suis heureuse , Ghislaine , que nous ayons les mêmes goûts en littérature . J’ai axé ma licence de lettres sur le Moyen-Age et la Renaissance . D’où mon travail sur Chrétien de Troyes et , plus tard , sur Marguerite de Navarre , la sœur de François 1er .
Je vais voir à quoi ressemble le rosier Joachim du Bellay .
18 mai 2020 @ 16:38
Récemment dans un autre domaine , je me suis régalée d’une émission qui a pour sujet la cuisine dans nos provinces , les « carnets de Julie » , elle passe le Samedi après midi vers 15 H et en plus de plats très originaux encore cuisinés dans nos terroirs elle évoque l’histoire des lieux ou elle passe. Samedi dernier c’était Rabelais qui en était le sujet .Ah quel bonheur . Nous avons eu droit à la Devinière (son lieu de naissance) ses caves creusées
dans le tuffaut etc… son oeuvre et le pourquoi de celle-ci . Passionnant .
Vous lire est un réel plaisir .
J’étais allée sur ses pas il y a longtemps mais évidemment mon parcours avait été moins fouillé .
Incroyable le lot d »épices qu’ils mettaient à cette époque dans les plats .
votre travail sur Marguerite de Navarre a du être plus qu’intéressant .
20 mai 2020 @ 13:47
Ah ! Rabelais ! Quand j’étais au lycée ( années 60) dans tous nos livres de français , latin ou grec , des passages entiers étaient en pointillés , et nos professeurs nous disaient que l’extrait avait été détruit ou perdu . . .mais un an plus tard , à la fac , nous avions les textes entiers , peu recommandables pour de jeune élèves !
27 mai 2020 @ 16:29
Lolll eh oui Rabelaisien quouahhhh
J’aime beaucoup Joachim du Bellay aussi . Liré en Anjou conserve l’âme du poète
Si nostre vie est moins qu’une journée
En l’eternel, si l’an qui faict le tour
Chasse nos jours sans espoir de retour,
Si périssable est toute chose née,
Que songes-tu, mon ame emprisonnée ?
Pourquoy te plaist l’obscur de nostre jour,
Si pour voler en un plus cler sejour,
Tu as au dos l’aele bien empanée ?
La, est le bien que tout esprit desire,
La, le repos où tout le monde aspire,
La, est l’amour, la, le plaisir encore.
La, ô mon ame au plus hault ciel guidée !
Tu y pouras recongnoistre l’Idée
De la beauté, qu’en ce monde j’adore.
Quand je pense qu’il a fait , déjà à son époque une thèse sur la défense du français .
Fichtre , s’il revenait !
17 mai 2020 @ 13:55
J’ai ce rosier grimpant, son parfum est très léger.
17 mai 2020 @ 16:05
Très belle image de cette rose aux couleurs délicates ; dommage que mon papa soit parti trop tôt car je suis sûre qu’il aurait aimé posséder ce rosier qui serait venu compléter toutes celles de son jardin !
17 mai 2020 @ 17:01
J’ai aussi ce beau rosier dans mon jardin ,il est fin,délicat et fleurit beaucoup cette année ,
il sent peut-être que je l’aime et vais le voir tous les jours (!!!) ,il a un parfum délicat mais c’est vrai que les tiges fragiles laissent un peu pencher les fleurs …..j’attache beaucoup d’importance à mes fleurs qui me le rendent bien !
17 mai 2020 @ 20:09
« Pierre de Ronsard » étant un rosier grimpant, il ne demande qu’à grimper ! nul besoin donc de se mettre à genoux pour admirer ses roses !
Alors il existe une solution, le planter au pied d’une glycine, les deux s’enchevêtrent la glycine servant de support au rosier et les deux coloris, les deux parfums se marient à merveille.
19 mai 2020 @ 07:56
Eh bien le mien ne grimpe pas , je le voudrais bien . Donc si je veux voir les roses je dois me plier , il n’a que 3 ans peut être que cela joue dans son développement .
19 mai 2020 @ 08:16
Je ne crois pas, mais peut-être est il placé à un endroit qui ne lui convient pas, le nôtre issu d’une simple bouture s’est immédiatement pris d’amour pour la glycine.
20 mai 2020 @ 12:36
Le mien descend chez les voisins qui sont ravis .
18 mai 2020 @ 06:11
Ah les roses …. merci pour les informations et les noms des rosiers
Je vais regarder les rosiers cités par Guizmo
Moi les miens s appellent « Line Renaud » « Georges Sand » « Gruaud Larose » « Philippe Noiret » « le grand huit » …
Mais ils ne supportent pas les déménagements
Merci pour les informations
30 mai 2020 @ 12:29
Saint Agnan je suis allée voir l’aspect de vos rosiers.
Très beau choix . J’aurais une préférence pour P. Noiret mais c’est difficile de faire une sélection.
18 mai 2020 @ 09:34
Ah, quelle tendresse, quelle douceur… !! Un rêve de la plus délicate beauté, suggérant la plus exquise féminité !