Vente chez Bonhams à Londres le 18 novembre prochain d’objets personnels de lady Glenconner qui fut dame d’honneur le jour du couronnement de la reine Elizabeth et qui fuit ensuite dame de compagnie de la princesse Margaret.
MoreVente « Lady Glenconner. My life in objects » chez Bonhams
41 Comments
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5 novembre 2025 @ 09:13
Tristesse d’avoir besoin de vendre des objets représentant des souvenirs exceptionnels ! Vendre sa robe de mariée…My God !
5 novembre 2025 @ 11:49
Je suis surprise qu’elle ne l’ait pas vendue plus tôt .
5 novembre 2025 @ 12:08
Splendeur et misère !
5 novembre 2025 @ 12:39
Superbe robe d’ailleurs, qui pourrait tout à fait être portée par une mariée d’aujourd’hui. Lady Glenconner était absolument superbe dans cette robe, la photo le prouve.
5 novembre 2025 @ 12:59
On ignore souvent le pourquoi d’une vente de souvenirs (succession, robe maléfique d’un mauvais mariage et autres)
6 novembre 2025 @ 09:46
Peut-être souhaite-t-elle faciliter sa succession, éviter à ses héritiers d’avoir à organiser la vente eux-mêmes, ou bien leur permette d’échapper à la nouvelle loi sur les successions qui va limiter les exemptions pour les gros patrimoines, en leur donnant l’argent de la vente de son vivant ou en mettant l’argent dans des placements moins taxés ?
7 novembre 2025 @ 13:04
Je viens de lire dans PDV quelle a un fils handicapé après un accident de voiture et qu’en autre, elle souhaite lui laisser de quoi vivre correctement sa vieillesse, n’ayant hérité de rien après le décès de son mari.
5 novembre 2025 @ 09:35
Elle a gardé un souvenir effrayant de sa nuit de noces.il l a emmené dans une boîte echangiste.elle aurait été plus heureuse avec john spencer le père de Diana avec lequel elle avait été fiancee
5 novembre 2025 @ 11:01
Pas sûr, le père de Diana n’était pas non plus des plus intéressants.
J’ai lu qu’elle a perdu 2 fils, l’un du sida et l’autre d’une hépatite. Son époux et elle ont participé à la vie « particulière » sur l’île Moustique. Son petit fils est également tombé dans la drogue, quelle vie.
5 novembre 2025 @ 13:01
Il n’a pas du tout certain qu’elle aurait plus heureuse avec John Spencer….et pourquoi d’ailleurs les fiançailles ont-elles été rompues ?
6 novembre 2025 @ 08:25
Solenn, je ne sais pas si elle en a parlé dans sa biographie, mais on dit que les fiançailles ont été rompues parce que le père de John Spencer s’opposa à cette union, l’une des grand’mères de Anne Cock (future lady Glenconner) étant une Trefusis. Or plusieurs femmes de cette famille étaient handicapées mentales dont les deux cousines germaines maternelles d’Elisabeth II, Nerissa Bowes-Lyon (1919-1986) et sa sœur Katherine Bowes-Lyon (1926-2014).
7 novembre 2025 @ 07:28
Passiflore je vous ai laissé un lien sur la librairie de Lisbonne dans l’ article consacré à ce thème.
7 novembre 2025 @ 10:19
Oui, merci, Brimbelle, je l’ai lu. Excusez-moi de ne pas vous avoir répondu.
7 novembre 2025 @ 08:47
Dans son autobiographie, lady Anne (née Coke et non Cock …) suggère qu’il n’est pas exclu que Johnny Spencer l’ait quittée pour Frances parce que le père de cette dernière, le 4e baron Fermoy, était plus fortuné que le 5e comte de Leicester.
7 novembre 2025 @ 10:20
Dans le livre, il y a un autre prétexte bidon. Je crois qu’on parle de santé (mauvaise) de la famille d’Anne.
7 novembre 2025 @ 13:05
Merci Passiflore
5 novembre 2025 @ 13:18
Et si cela est vrai, cela aurait évité à Frances Burke Roche d’être aussi malheureuse dans son mariage.
Et si, et si et si…
Charles n’aurait pas rencontré Diana…
5 novembre 2025 @ 10:12
Il est curieux de constater combien les goûts (et les estimations) diffèrent d’un côté de la Manche à l’autre. De belles pièces sont sous-estimées et d’autres qui, en France, n’auraient qu’un modeste succès d’estime sont surévaluées.
6 novembre 2025 @ 07:50
Antoine j’ai réagi comme vous.
Certains lots démarrent assez bas, les goûts sont peut-etre différents de l’autre côté de la Manche.
Cela dit le clou de la vente est la belle commode italienne signée d’un grand ébéniste.
7 novembre 2025 @ 10:20
J’aime bien le paravent.
5 novembre 2025 @ 11:13
J’ai lu son livre autobiographique. Et puisqu’on parle de ventes, son mari Colin Tennant n’était vraiment pas un cadeau.
7 novembre 2025 @ 11:08
Je l’ai lu également Roby , j’ai trouvé ce livre de mémoires très agréable à l ire et instructif sur ce milieu.Notamment on y apprend combien le mari de Margaret lui donna des sujets de regretter son stupide mariage .
5 novembre 2025 @ 11:50
Des jolis objets de decoration, rien d’exceptionnel, à part une magnifique commande.
5 novembre 2025 @ 11:55
Elle fait bien de vendre, il n’y a guère d’héritiers.
6 novembre 2025 @ 09:27
Bonjour Jean Pierre, lady Glenconner a huit petits-enfants.
https://en.wikipedia.org/wiki/Anne_Tennant,_Baroness_Glenconner#Marriage_and_children
6 novembre 2025 @ 10:07
Il lui reste tout de même 3 enfants, Christopher et les jumelles Flora et Amy ainsi que 5 petits-enfants dont Cody, le 4eme baron Glenconner
5 novembre 2025 @ 12:04
Plus heureuse avec lord Spencer ? Ce n’est pas prouvé.
5 novembre 2025 @ 12:08
« A sa mort en 2010, lord Glenconner n’a rien laissé à sa famille. » Tout lord qu’il n’était, n’empêche que c’était un vrai crétin.
9 novembre 2025 @ 10:13
Chère Mayg,
J’abonde dans votre sens à propos de l’époux de cette dame. Il me semble d’ailleurs (mais c’est un vieux souvenir de lecture) que ce monsieur aurait testé en la faveur d’un homme de son personnel à qui il aurait laissé quelques biens.
10 novembre 2025 @ 12:49
Quelques biens ? Non, bien plus que cela. La quasi totalité de son patrimoine. Il y a eu je crois un arrangement à l’amiable avec la famille.
5 novembre 2025 @ 14:10
En plus de la vente Glenconner, on détaille l’héritage Farquhar : s’agit-il de Ian Farquhar, ami du roi Charles et écuyer de la reine mère, décédé en octobre 2024 ? J’ai remarqué, entre autres, deux statuettes italiennes du XIXe ramenées d’un Grand Tour.
6 novembre 2025 @ 09:37
Peut-être s’agit-il plutôt de Lord Farquaad, l’ennemi de Shrek ? 😄
6 novembre 2025 @ 07:29
Lady Glenconner est un auteur à succès. Je ne crois pas que cette vente ait lieu par nécessité économique. Je croirais plutôt, à 90 ans, à la volonté de mettre ses affaires en ordre. À son âge la volonté de dépouillement n’est pas rare. De toutes façons, cela aurait été mis en vente par ses héritiers.
7 novembre 2025 @ 13:09
Oui, c’est ce qu’elle dit, elle allège la voilure…et se soucie du futur de son fils handicapé après un accident de voiture
6 novembre 2025 @ 07:39
Le récit de sa nuit de noces vaut le détour !!!
6 novembre 2025 @ 09:25
Bonjour Régine, le nom de famille de lady Anne est Coke et non Cock …
6 novembre 2025 @ 09:43
C’est chez lady Anne que la princesse Margaret fit la connaissance de son dernier amour, Roddy Llewellyn.
10 novembre 2025 @ 12:52
Je suis persuadé que, secrètement, Lord Glenconner était amoureux de Margaret. Il lui a d’ailleurs offert un terrain sur l’ile de Moustique.
Qui vous dit que Lady Anne n’a pas encouragé l’idylle avec Roddy, pour damer le pion à son mari et son rêve impossible ?
13 novembre 2025 @ 09:08
Lady Anne songeant à damer le pion à son mari, vous rêvez cher Robin ! Colin Tennant n’a jamais envisagé de devenir plus qu’un ami de la princesse Margaret. Et il a su tirer profit de cette amitié. Pensez un peu au business qui fut le sien sur l’île Moustique après son cadeau d’un terrain à Margaret … Tony Armstrong-Jones, jamais dupe et pour cause, n’a jamais apprécié Lord Glenconner qui était par certains aspects bien pire que lui !
8 novembre 2025 @ 13:54
Après une nuit de noces pareilles, j’aurais fui et demandé le divorce. Mais je suis une petite bourgeoise française et non une aristocrate anglaise … Je crois de plus que lord Glenconner a déshérité femme et enfants au profit d’un de ses serviteurs.
15 novembre 2025 @ 12:20
Marie Caroline de Bretagne , je suis de votre avis: Colin Tenant s’est servi de Margaret pour faire la promo de son île à moustiques mais ils se sont toujours bien entendus. c’étaient des amis , rien d’ autre , car en plus Colin était homosexuel et travesti.D’avoir entrainé sa jeune épousée dans cette honteuse « nuit de noces » le dépeint tout entier.