Tout ce week-end, le château de Vaux-Le-Vicomte célèbre Pâques. L’invitation est faite aux enfants de participer à la quête des Pousquetaires. Une chasse au trésor aboutissant à une chasse aux oeufs pour gagner des chocolats Leonidas, une multitude d’animations et des ateliers pour adultes et enfants, ainsi qu’une exposition sur les oeufs décorés. Pâques se fête avec faste au château et qui s’en plaindrait ? « Un pour tous, tous poussins » sera le leitmotiv ! (Merci à Bertrand Meyer)
14 avril 2017 @ 08:54
Vaux-le-Vicomte est une merveille exclusivement gérée comme une usine à fric…tous les prétextes sont bons.Deux boutiques de souvenirs inévitables sur le chemin du visiteur,un supplément à payer pour pouvoir visiter le dôme,des jardins négligés…Je suis très déçue par ce modèle de gestion mercantilissime.
J’y suis allée une fois,je n’y retournerai pas.
14 avril 2017 @ 14:21
Muscate à la décharge des propriétaires un château tel que celui là est un gouffre financier auquel il faut bien faire face ; je l’ai visité il y a quelques années aux chandelles ; c’était une merveille
14 avril 2017 @ 15:13
Les Voguë tentent tant bien que mal de maintenir leur maison dans un état correct, et l’aiment beaucoup trop pour la transformer en parc d’attractions. Le bénéfice des droits d’entrée est leur principale source de fonds, comment voulez-vous tenir les rênes d’un tel domaine sans un minimum de ce que vous appelez mercantilisme?
14 avril 2017 @ 16:17
Muscate, je peux comprendre votre agacement, mais ne le partage pas entièrement.
La principale boutique de souvenirs est effectivement inévitable puisque c’est par elle que l’on entre dans le château, mais nul n’est obligé d’acheter.
Faisant partie de l’Association des Amis de Vaux le Vicomte, chaque année lors de l’Assemblée Générale, nous avons accès aux comptes. Et croyez-moi, les Voguë ne peuvent être accusés d’enrichissement personnel.
C’est le problème de tous les châteaux privés, dont les propriétaires sont contraints à « commercialiser » leur domaine, faute de quoi dans quelques années, il n’y aura plus que des ruines.
Et ce n’est pas l’Etat qui y pourvoira !
Quant aux jardins, je ne sais si vous faites allusion aux buis, qui effectivement ont un aspect « déplumé », mais c’est qu’ils sont atteints de cette maladie destructrice qu’est la pyrale. Les jardiniers tentent de les sauver et dans le cas contraire de les remplacer par une espèce résistante, encore à l’étude, ou par une autre essence.
Les parterres, eux, sont à mon sens, entretenus de même que les fontaines et pièces d’eau.
Etre d’un avis divergent ne m’empêche pas de vous souhaiter de belles Fêtes de Pâques !
Cordialement.
15 avril 2017 @ 14:48
Merci chère Annelise,de vos explications et de votre compréhension. J’ai visité une grande partie des châteaux de France avant de venir vivre au Liban, car je n’étais pas certaine de pouvoir le faire après(Hors Sujet:J’ai bien fait ;-).
Aucun ne m’a semblé si soumis à l’appât du gain que Vaux.C’en était pesant…le parc était décevant.L’accès au Dôme soumis à un autre droit d’entrée m’avait vraiment étonnée. .. Et pourquoi DEUX boutiques auxquelles on ne peut échapper?..Même Versailles n’en a qu’une.
La palme de l’entretien et de la magnificence intacte revient à Chenonceaux,qui m’avait comblée par son authenticité. Mais Chenonceaux est-il privé?J’avoue que j’ai oublié.
Heureuses fêtes de Pâques à vous également, Chère Annelise. ♡
17 avril 2017 @ 16:20
Oui Muscate, le chateau de Chenonceau est privé. Il appartient à la riche famille Menier (le chocolat). Je dois dire effectivement qu’il est très bien entretenu mais lui aussi possède une boutique et il faut bien faire rentrer de l’argent dans la caisse lorsque l’on possède de tels joyaux car l’entretien coûte fort cher. Je ne jetterai pas la pierre à la famille de Voguë.
17 avril 2017 @ 18:46
Chenonceau appartient toujours à la Famille Menier, mais les travaux sont en partie financés par l’Etat pour un tiers, je crois.
18 avril 2017 @ 15:52
Merci Jackie et Annelise….de beaux souvenirs, quand même. ♡
15 avril 2017 @ 06:49
Tout à fait d accord, il y a des limites à l exploitation.Et en plus on peut payer et ne pas visiter si un émir privatise d un instant à l autre……
15 avril 2017 @ 11:14
Je rejoins les commentaires déjà écrits tout en comprenant votre irritation… mais comment entretenir un tel navire si l’on est pas un émir ??
Il faut bien trouver des ressources…et cela doit les occuper à 150% !
15 avril 2017 @ 21:36
Ma pauvre Muscate ,j’ai lu tardivement que vous passiez vos nuits avec le Cardinal !
Je comprends d’où vous viennent votre esprit et votre amour des chats .
Tant pis pour les pisse vinaigres que ce commentaire indisposerait.Nous sommes en famille .
17 avril 2017 @ 14:25
Puisque nous sommes en famille, alors nous en voici encore plus proches :-))♡.
14 avril 2017 @ 09:13
Quelle fête au château de Vaux-le-Vicomte pendant tout ce week-end !!!
Les enfants invités pourront participer à la quête merveilleuse des Pousquetaires.
La première photo avec ses petits œufs dans le parc du château est une véritable invitation dans les lieux ayant servi à des tournages cinéma et télévision…
14 avril 2017 @ 11:14
Même si vous n’avez pas la chance d’aller à Vaux le Vicomte pour ces Fêtes de Pâques, je vous souhaite à tous un bon week-end Pascal.
Croyants ou non.
Et puis, en relisant les différents posts de ces derniers jours, il m’est revenu en mémoire, une chanson récitée par Jean Gabin :
Maintenant je sais.
Si Régine me le permet je vais la recopier ici.
Parce qu’il me semble que malgré toutes les certitudes que nous croyons avoir, il y a une foule de choses que nous ne savons pas.
» Quand j’étais gosse, haut comme trois pommes,
J’parlais bien fort pour être un homme
J’disais, JE SAIS, JE SAIS, JE SAIS, JE SAIS
C’était l’début, c’était l’printemps
Mais quand j’ai eu mes 18 ans
J’ai dit, JE SAIS, ça y est, cette fois JE SAIS
Et aujourd’hui, les jours où je m’retourne
J’regarde la terre où j’ai quand même fait les 100 pas
Et je n’sais toujours pas comment elle tourne !
Vers 25 ans, j’savais tout : l’amour, les roses, la vie, les sous
Tiens oui l’amour ! J’en avais fait tout le tour !
Et heureusement, comme les copains, j’avais pas mangé tout mon pain :
Au milieu de ma vie, j’ai encore appris.
C’que j’ai appris, ça tient en trois, quatre mots :
« Le jour où quelqu’un vous aime, il fait très beau,
J’peux pas mieux dire, il fait très beau »
C’est encore ce qui m’étonne dans la vie,
Moi qui suis à l’automne de ma vie
On oublie tant de soirs de tristesse
Mais jamais un matin de tendresse !
Toute ma jeunesse, j’ai voulu dire JE SAIS
Seulement, plus je cherchais, et puis moins j’savais
Il y a 60 coups qui ont sonné à l’horloge
Je suis encore à ma fenêtre, je regarde, et j’m’interroge ?
Maintenant JE SAIS, JE SAIS QU’ON NE SAIT JAMAIS !
La vie, l’amour, l’argent, les amis et les roses
On ne sait jamais le bruit ni la couleur des choses
C’est tout c’que je sais ! Mais ça, j’le SAIS…!
Bon week-end à tous !
14 avril 2017 @ 14:18
C’est une des chansons préférées de mon père.
Merci Annelise et joyeuses Pâques.
17 avril 2017 @ 19:09
AnneLise, merci pour vos souhaits et ces paroles pleines de sagesse. Bonne semaine.
14 avril 2017 @ 14:02
Annelise, merci pour vos souhaits que je vous retourne et que je transmets à tous les internautes de ce site.
Pâques est encore une occasion de faire la fête et du coup, de la commercialisation, comme d’autres. J’aime toutes ces décorations de jaune qui annoncent l’arrivée du printemps.
14 avril 2017 @ 17:06
C’est certain, Danielle, tout est prétexte à commercialisation, mais nous ne sommes pas tenus d’y succomber outrageusement !
15 avril 2017 @ 10:11
Tout à fait Annelise, pour moi c’est surtout le fait de la décoration car je suis heureusement bien loin de succomber à toutes les commercialisations.
14 avril 2017 @ 14:09
Merci, Annelise, et très heureuses fêtes à vous et aux participants de ce site !
J’adore cette chanson……
14 avril 2017 @ 14:33
Pâ(s)ques je le Vaux bien !
Bonnes fêtes pascales à tous. HL
15 avril 2017 @ 11:52
Excellent !
Bonnes fêtes à vous également
15 avril 2017 @ 14:51
Bonne fêtes chère H-L,et merci pour votre humour tout au long de l’année,aussi délicat et fondant qu’un délicieux chocolat! ;-))
17 avril 2017 @ 19:13
Tout à fait d’accord avec vous Muscate. Vous m’aviez laissé un message de Joyeuses Pâques dans un sujet précédent mais je viens juste de le lire, ce qui fait que si mes remerciements sont tardifs, il se n’en sont pas moins sincères. Bonne semaine à vous et caresses à votre nouveau compagnon à quatre patounes.
18 avril 2017 @ 15:53
♡♡♡
14 avril 2017 @ 14:37
Vaux le Vicomte est un de mes châteaux préférés .
Pour tout entretenir et restaurer , bien sûr , il faut faire rentrer de l’argent .C’est normal .
J’ai beaucoup apprécié les salles consacrées aux attelages .
14 avril 2017 @ 21:55
Qui sont les aristocrates les plus riches de France?
15 avril 2017 @ 10:38
Les footballeurs !
15 avril 2017 @ 14:54
En tout cas c’est pas moi^^.
Je ne réponds à aucun des trois critères. Aristo,riche,France …:-((
Mais j’espère avoir fait avancer le schmilblick. ;-)))
15 avril 2017 @ 05:56
Ces paroles de Gabin, on les entendait au café quartier Montparnasse à Paris, dans les années 1975-76. Simples mais tellement réelles. Et que ce soit Gabin qui les énonce, le charme était toujours là. Cette voix et ce visage resteront éternels.
J’ai lu un long article que sa fille Florence Moncorgé-Gabin a écrit sur son père. Elle parle d’un père, homme assez simple dans sa vie privée, avec des « obsessions » sur la vie quotidienne, (qualité de l’air, la bougeotte de ne pas savoir rester plus de 2 ans dans une maison – acheter des maisons (une par une,) d’y faire faire des travaux, et d’en partir une fois ceux ci à peine achevés. Il eut aussi dans sa vie, comme tout un chacun, des périodes de vache maigre, pas de films, ni théatre, rien qu’il résumait ainsi de cette formule « Le drapeau noir flotte sur la marmitte ». Leur passion commune au père et à sa fille : les chevaux et les courses. Abonné à Paris Turf, Gabin fut tout étonné de découvrir à la 1ère rencontre avec Omar Scharif, celui avec le journal coincé sous le bras, l’entente était scellée entre ces deux là.
17 avril 2017 @ 07:26
Je crois que J. Gabin avait la phobie du feu. Il remontait à son appartement pour voir s’il n’avait pas laissé une cigarette se consumer.
L’ironie de la vie, c’est qu’il voulait être immergé en mer à sa mort, mais le règlement actuel ne le permet que si la personne est incinérée d’abord. Le savait-il ? je me suis toujours posé la question. HL
15 avril 2017 @ 14:55
Les Voguë sont éminemment respectables et font des sacrifices personnels pour maintenir en l’état ce magnifique château qui vaut (sans jeu de mot) le déplacement .
Récemment j’ai vu une émission sur le courage des propriétaires de châteaux et les prodiges qu’ils doivent accomplir (les sacrifices aussi) pour continuer à transmettre .
Quant à être mercantiles , alors vous parlez sans savoir MVL car ils ont toujours eu le sens du devoir dans tous les sens du terme et la notion de profit n’étant certes pas pour leurs escarcelles .
15 avril 2017 @ 19:26
J’aurai bien fait une visite payante de ma modeste maison pour financer la réfection du toit ,Mais je n’aurais eu aucun visiteur .on ne paye que si l’endroit le vaut et ma maison ne le Vaux pas .Les britanniques sont experts dans les visites de boutiques sans visites obligées de châteaux mais c’est la seule solution pour sauvegarder ces merveilles.
Même le splendide Blenheim Palace survit grâce aux visites payantes et les propriétaires vivent sur une surface réduite ( Mais je suis sûre plus confortable et plus facile à chauffer) Je paye sans rechigner pour que survive ce patrimoine de France et d’ailleurs .
16 avril 2017 @ 19:19
Je vous souhaite de belles fêtes de Pâques à tous.