Il ne s’agit pas d’un « office œcuménique » mais d’une prière commune en la Chapelle Sixtine, ce qui est historique pour un souverain non catholique. En revanche, c’est en la Basilique de Saint Paul hors les murs que le Saint Père décerna au Roi le titre honorifique de « Royal Confrater » en geste de « fraternité œcuménique ».
Les catholiques sont très doués pour parler d’oeucuménisme, alors qu’ils sont incapables de s’entendre entre eux et que les luttes fratricides continuent à qui mieux mieux entre « progressistes » et « traditionnalistes ».
Mais au fond, c’est quoi un catholique ?! c’est quoi un chrétien ?! Comme la religion est un chemin (cela veut dire que l’on…chemine -si l’on chemine vraiment toutefois. Car on peut tout aussi bien rester sur place, dans son misérable petit confort ; comme dans toutes les traditions d’ailleurs, fort différentes, Et chacun y va, avec arrogance, de sa petite opinion. Au mieux, on veut bien concéder, dans notre grande générosité, une part de Vérité à l’autre.
Quand vous parlez d’un catholique, vous parlez de moi. Le suis-je encore ? cela n’a aucune d’importance. Tant de doutes. Et pourtant si loin et si familier à la fois, si intime même. Je ne peux même pas le nommer.
Je vais vous répondre, Passiflore, Antoine. Dieu, tout ce qu’on dira de lui sera faux. Chaque tradition l’appréhende à sa manière, les uns ayant ce que les autres n’ont pas. Et Jésus, seul Dieu, est aussi exact que Jésus pas le seul au poteau d’arrivée. Et le « tradi » est à un endroit du chemin, le « progressiste », comme vous l’appelez, à un autre endroit, chacun étant souvent persuadé que c’est lui qui a raison. Quelle puérilité !
Il n’existe plus, au niveau le plus lucide, de contradiction, à ce qu’il paraît.
Antoine 1 , progressistes et traditionalistes sont reconciliés grâce à Benoit xvi , il n’y a plus de problemes de ce côté- là , d’ailleurs au Vatican, les messes n’ont jamais changé depuis le concile de Trente !
Aubépine, vous êtes trop optimiste.
En vue d’une réconciliation liturgique et pour permettre l’avancée des discussions avec la Fraternité Saint Pie X, Benoît XVI avait publié, en 2007, le motu proprio Summorum pontificum définissant les deux formes pour le même rite romain : la « forme extraordinaire » qui utilise le missel de 1962 (messes tridentines en latin) et la « forme ordinaire » qui utilise celui de 1969. Il offrait à l’évêque du diocèse la « compétence exclusive » d’autoriser ou non la célébration de la messe en forme extraordinaire.
Le 16 juillet 2021, le pape François annulait la décision prise par Benoît XVI en promulgant le Motu proprio Traditionis Custodes qui restreint les messes en latin. L’archevêque de Paris avait maintenu seulement cinq paroisses sur les quinze autorisées à célébrer sous la « forme extraordinaire ». D’autres évêques les ont interdites dans leur diocèse (peut-être celui de l’Yonne, pas sûr). Celui de Coutances a fermé provisoirement l’abbaye de la Lucerne. Il y avait aussi un problème à Quimper que je n’ai pas bien compris. Et il y a d’autres exemples.
Je suis chrétienne catholique ,je crois en Celui qui a donné sa vie pour tous les hommes et nous sauver , je ressens Dieu dans mon âme et lui fait une totale confiance , j’attends comme tous les chrétiens sa venue sur terre pour nous juger ; je n’ai pas besoin d’avoir vu pour croire , comme le Christ l’a dit à st Thomas :heureux celui qui croit sans avoir vu ; et ma foi m’aide dans la vie de tous les jours ; prenez exemple sur st Carlo Acutis qui n’avait que 15 ans à sa mort et nous a donné une fomidable leçon de foi et d’amour !
Je profite du commentaire de Joséphine pour me montrer tout aussi respectueuse de ce que l’Eglise enseigne malgré ses inévitables erreurs et difficultés à parler un seul langage pour tant de gens différents.
Deux articles qui auraient très bien pu ne faire qu’un. Puisqu’il ne s’agissait nullement d’une messe comme l’indique l’article précédent, mais d’un service œcuménique dans la chapelle Sixtine et non pas dans la basilique Saint-Pierre. Pour rehausser le niveau des commentaires, il faudrait peut-être commencer par revoir celui de la présentation des articles.
C’était très émouvant de voir le Roi et la Reine d’Angleterre non seulement en visite au Vatican mais aussi unis par la prière durant le magnifique office catholique romain et anglican dans la Chapelle sixtine, les hymnes étaient chantées ensemble par les choeurs de la Chapelle sixtine et par deux choeurs royaux venus à Rome le St George’s Chapel choir de Windsor Castle et le Choeur d’enfants de la Chapelle royale de St James’s Palace. Les Catholiques du Royaume-Uni ont suivi cette visite avec une grande joie.
24 octobre 2025 @ 07:19
Camille a l’air soulagé avec son sourire bizarre ! 😏
24 octobre 2025 @ 08:46
Il ne s’agit pas d’un « office œcuménique » mais d’une prière commune en la Chapelle Sixtine, ce qui est historique pour un souverain non catholique. En revanche, c’est en la Basilique de Saint Paul hors les murs que le Saint Père décerna au Roi le titre honorifique de « Royal Confrater » en geste de « fraternité œcuménique ».
24 octobre 2025 @ 09:02
Tenue parfaite pour la reine.
25 octobre 2025 @ 09:13
En effet. Ce style convient à sa silhouette.
24 octobre 2025 @ 09:25
Très beau geste.
24 octobre 2025 @ 09:26
Les catholiques sont très doués pour parler d’oeucuménisme, alors qu’ils sont incapables de s’entendre entre eux et que les luttes fratricides continuent à qui mieux mieux entre « progressistes » et « traditionnalistes ».
24 octobre 2025 @ 09:45
Antoine 1, bien dit !
24 octobre 2025 @ 12:57
Mais au fond, c’est quoi un catholique ?! c’est quoi un chrétien ?! Comme la religion est un chemin (cela veut dire que l’on…chemine -si l’on chemine vraiment toutefois. Car on peut tout aussi bien rester sur place, dans son misérable petit confort ; comme dans toutes les traditions d’ailleurs, fort différentes, Et chacun y va, avec arrogance, de sa petite opinion. Au mieux, on veut bien concéder, dans notre grande générosité, une part de Vérité à l’autre.
Quand vous parlez d’un catholique, vous parlez de moi. Le suis-je encore ? cela n’a aucune d’importance. Tant de doutes. Et pourtant si loin et si familier à la fois, si intime même. Je ne peux même pas le nommer.
Je vais vous répondre, Passiflore, Antoine. Dieu, tout ce qu’on dira de lui sera faux. Chaque tradition l’appréhende à sa manière, les uns ayant ce que les autres n’ont pas. Et Jésus, seul Dieu, est aussi exact que Jésus pas le seul au poteau d’arrivée. Et le « tradi » est à un endroit du chemin, le « progressiste », comme vous l’appelez, à un autre endroit, chacun étant souvent persuadé que c’est lui qui a raison. Quelle puérilité !
Il n’existe plus, au niveau le plus lucide, de contradiction, à ce qu’il paraît.
25 octobre 2025 @ 09:31
Philomène
Réflexion pleine de sens .
J’adhère 😘
24 octobre 2025 @ 12:54
Vous avez raison.
24 octobre 2025 @ 11:35
Au basilique Saint-Paul-hors-les-Murs.
24 octobre 2025 @ 12:09
Antoine 1 , progressistes et traditionalistes sont reconciliés grâce à Benoit xvi , il n’y a plus de problemes de ce côté- là , d’ailleurs au Vatican, les messes n’ont jamais changé depuis le concile de Trente !
25 octobre 2025 @ 08:18
Aubépine, vous êtes trop optimiste.
En vue d’une réconciliation liturgique et pour permettre l’avancée des discussions avec la Fraternité Saint Pie X, Benoît XVI avait publié, en 2007, le motu proprio Summorum pontificum définissant les deux formes pour le même rite romain : la « forme extraordinaire » qui utilise le missel de 1962 (messes tridentines en latin) et la « forme ordinaire » qui utilise celui de 1969. Il offrait à l’évêque du diocèse la « compétence exclusive » d’autoriser ou non la célébration de la messe en forme extraordinaire.
Le 16 juillet 2021, le pape François annulait la décision prise par Benoît XVI en promulgant le Motu proprio Traditionis Custodes qui restreint les messes en latin. L’archevêque de Paris avait maintenu seulement cinq paroisses sur les quinze autorisées à célébrer sous la « forme extraordinaire ». D’autres évêques les ont interdites dans leur diocèse (peut-être celui de l’Yonne, pas sûr). Celui de Coutances a fermé provisoirement l’abbaye de la Lucerne. Il y avait aussi un problème à Quimper que je n’ai pas bien compris. Et il y a d’autres exemples.
24 octobre 2025 @ 15:11
Je suis chrétienne catholique ,je crois en Celui qui a donné sa vie pour tous les hommes et nous sauver , je ressens Dieu dans mon âme et lui fait une totale confiance , j’attends comme tous les chrétiens sa venue sur terre pour nous juger ; je n’ai pas besoin d’avoir vu pour croire , comme le Christ l’a dit à st Thomas :heureux celui qui croit sans avoir vu ; et ma foi m’aide dans la vie de tous les jours ; prenez exemple sur st Carlo Acutis qui n’avait que 15 ans à sa mort et nous a donné une fomidable leçon de foi et d’amour !
24 octobre 2025 @ 15:26
Je profite du commentaire de Joséphine pour me montrer tout aussi respectueuse de ce que l’Eglise enseigne malgré ses inévitables erreurs et difficultés à parler un seul langage pour tant de gens différents.
25 octobre 2025 @ 08:32
Deux articles qui auraient très bien pu ne faire qu’un. Puisqu’il ne s’agissait nullement d’une messe comme l’indique l’article précédent, mais d’un service œcuménique dans la chapelle Sixtine et non pas dans la basilique Saint-Pierre. Pour rehausser le niveau des commentaires, il faudrait peut-être commencer par revoir celui de la présentation des articles.
25 octobre 2025 @ 09:15
C’était très émouvant de voir le Roi et la Reine d’Angleterre non seulement en visite au Vatican mais aussi unis par la prière durant le magnifique office catholique romain et anglican dans la Chapelle sixtine, les hymnes étaient chantées ensemble par les choeurs de la Chapelle sixtine et par deux choeurs royaux venus à Rome le St George’s Chapel choir de Windsor Castle et le Choeur d’enfants de la Chapelle royale de St James’s Palace. Les Catholiques du Royaume-Uni ont suivi cette visite avec une grande joie.