Dimanche 8 janvier 2012 à 15h30, la chaîne de télévision ARTE diffuse un documentaire consacré au roi Frédéric II de Prusse à l’occasion du 300ème anniversaire de sa naissance. Un documentaire sur un roi mélomane. (Merci à Michèle – Source et photo : website de ARTE)
6 janvier 2012 @ 11:33
Michèle,merci pour cette info culturelle a la télévision!C’est dommage que le documentaire sur le roi Frederic II de Prusse ne soit pas diffusé le soir a cause du dimanche traditionnellement réservé aux sorties!Bon week-end!
6 janvier 2012 @ 13:51
Il a composé plusieurs sonates pour flute toujours publiées aujourd’hui.
6 janvier 2012 @ 15:42
Merci, Michèle, également un film sur ce roi sur Arte samedi en soirée.
7 janvier 2012 @ 01:07
Un grand roi. J’espère que l’année 2012 nous verra revenir sur son oeuvre, son influence et sa pensée.
8 janvier 2012 @ 01:55
Un documentaire fiction déroutant et féroce. Katharina Talbach est exceptionnelle en Frédéric II tellement ambivalent. ( Un docu rediffusé demain comme l’indique Régine mais également le 11 à 10h30 et présenté sur la 1ère chaine allemande ARD le 16 à 22h45 ). ( La seconde chaine publique ZDF propose le 15 un document diffusé à 23h40 et commenté par le jeune marié de l’été dernier ).
8 janvier 2012 @ 11:09
Le choix de faire jouer Frédéric II par une femme m’a gené.
Le caractère insolite et fort de ce parti-pris empêchait plus ou moins de se concentrer sur la personnalité du roi.
Le portrait qui en a été fait dans ce docu fiction n’est pas particulièrement flatteur. Il faut dire qu’une enfance et une jeunesse passées dans l’ombre d’un père terrible, coléreux, méprisant et brutal ne pouvaient pas conduire ce souverain violemment mysogine, atrabilaire et solitaire vers la joie de vivre et le goût des autres.
Il a construit Sans Souci, a faite de la Prusse une puissance respectée et crainte, a donné ses lettres de noblesse à la philosophie, aux idées et aux arts, mais c’était un personnage déplaisant et dur, qui semblait n’aimer personne et se défier de tout le monde.
8 janvier 2012 @ 14:59
j’étais scotchée, mais frustrée aussi. Il m’a manqué un éclairage plus fort sur son bilan de Roi à la fin. C’était dit, certes, mais peu mis en valeur.
j’étais émue comme lors de ma visite de Sans-Souci, c’est à dire très émue.
bon, maintenant, j’attends le même travail sur Bismarck, ses 2m de haut environ, ses dogues… et ses lois sociales.
ah, la Prusse…
8 janvier 2012 @ 08:09
J’ai vu cette fiction hier soir, samedi, à 20 h 30 ; il me semble que le rôle de Frédéric était tenu par une femme ! très étrange impression. Son père était terrifiant ; quelle éducation dramatique.
8 janvier 2012 @ 12:05
Un grand roi, certes! Mais fut-il plus despote ou éclairé?
Il n’hésita pas à contester à Marie-Thérèse d’Autriche ses droits au trône, à attaquer la Silésie autrichienne sans déclaration de guerre et il prit part allégrement au dépeçage de la Pologne, entre autres.
L’Europe se serait bien passée d’un monarque qui donna naissance à l’expansionisme prussien qui se traduit au XIXème siècle par le « lebensraum » ( espace vital indispensable pour que puisse exister la nation allemande).
Heureusement qu’il compta Voltaire parmi ses amis pour un temps, cela lui valut un brevet de considération de l’intelligentsia de l’époque.
Etait-ce mérité? Pas sûr.
9 janvier 2012 @ 01:03
le brevet de Voltaire pour Frédéric ne vaut guère mieux que celui de Diderot à Catherine II.
ceci dit, comme le plus grand roi de France a révoqué l’Edit de Nantes, et que Ernst Wiechert était prussien, la Prusse reste une de mes grandes contradictions.
10 janvier 2012 @ 03:58
vous avez raison ,comme toujours cosmo,sans la fameuse correspondance avec Voltaire et sa soi disant amitié parcequ’en fin de compte il le repoussa comme il repoussait tout le monde,ce monarque n’aurait laissé qu’un tout petit souvenir.Où sont ses exploits?
8 janvier 2012 @ 17:12
Merci pour votre info Michèle.Grâce à vous j’ai passé un bon moment de télé.L’approche psychologique du roi était remarquable et l’interprétation alors!!!