Du 10 septembre 2021 au 24 janvier 2022, le musée Jacquemart-André célébrera le génie créatif de Sandro Botticelli (1445 – 1510) et l’activité de son atelier, en exposant une quarantaine d’œuvres de ce peintre raffiné accompagnées de quelques peintures de ses contemporains florentins sur lesquels Botticelli eut une influence particulière.
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5 septembre 2021 @ 06:26
Merci Pistounette, j’attends quelques belles expositions pour revenir à Paris!
Celle-ci me fait très envie surtout à Jacquemart !
5 septembre 2021 @ 06:29
Expo sûrement merveilleuse à visiter…mais dans quelles conditions ? La jauge, encore ?
5 septembre 2021 @ 08:22
Il faut s’inscrire à la billetterie , choisir le jour et l’heure .
5 septembre 2021 @ 07:25
Un petit musée cosy, j’aime beaucoup cet endroit.
5 septembre 2021 @ 12:07
A noter sur nos agendas.
5 septembre 2021 @ 12:58
Enfin une exposition à laquelle je vais pouvoir me rendre!
:-))
5 septembre 2021 @ 14:05
Les peintures de Botticelli , une merveille !
5 septembre 2021 @ 15:00
Botticelli m’a fascinée étant jeune. Moins maintenant. Artiste, certes mais j’ai fini par m’en lasser un peu. C’est… comment dire ?…très joli.
Alors qu’un Michel-Ange, un Rembrandt, ou un Memling m’entraînent vers d’étourdissantes profondeurs.
5 septembre 2021 @ 16:43
Tout le monde connaît Botticelli mais au cas où… Simonetta Cattaneo, considérée comme la plus belle femme de Florence, épouse Marco Vespucci avant de s’éprendre de Julien de Médicis. Botticelli succombe également à sa beauté et commence à esquisser des portraits d’elle mais la jeune femme meurt à 23 ans. Il la représentera en nymphe des fleurs dans « Le Printemps » et en Vénus dans « La Naissance de Vénus » (en 1484). Botticelli réalise le long de la nef (de 100 m de long) de l’église des Ognissanti à Florence une fresque représentant « Saint Augustin dans son cabinet de travail ». Le Pape Sixte IV lui commande trois fresques pour la Chapelle Sixtine, en 1481. Marcel Proust s’inspira d’une de ses fresques pour imaginer le portrait d’Odette de Crécy. À la demande des Médicis, Botticelli illustre sur parchemin La Divine Comédie, en 1490. À sa mort, l’artiste sera inhumé, à sa demande, non loin de sa muse, Simonetta Vespucci, dans l’église des Ognissanti. En plus de la tombe de Botticelli, on peut y voir les tombes du fils d’Americo Vespucci, le découvreur de l’Amérique, et de Caroline Murat, sœur de Napoléon.
5 septembre 2021 @ 19:34
Waouh, merci pour ce sujet !
C’est avec grand plaisir que je m’y rendrai,
C’est facile pour moi, cependant il reste à trouver un créneau horaire sans groupes…
Ce musée n’est pas très grand, et les groupes prennent beaucoup de place…
5 septembre 2021 @ 22:58
Quel talent, le travail méticuleux, chaque détail est rendu avec minutie. Dommage d être si loin de ce musée.
6 septembre 2021 @ 09:34
Tableau merveilleux. Le camée bleu devait être une splendeur.
6 septembre 2021 @ 12:32
Il fut un temps où l’on pouvait admirer les Botticelli aux Offices à Florence, sans faire la queue et sans réservation et on était moins de dix à contempler le Printemps et la Naissance de Vénus.