Le musée national de la Renaissance au château d’Ecouen accueille du 18 novembre 2009 au 15 février 2010 l’exposition « François I et Soliman le Magnifique, les voies de la diplomatie à la Renaissance« . L’exposition est organisée dans le cadre de la Saison de la Turquie en France.
Vous y découvrirez des documents exceptionnels (archives, gravures, objets d’art, lettres,…) expliquant le rapprochement entre François I (grand rival de Charles Quint) avec le sultan ottoman. Le château d’Ecouen est situé dans le Val d’Oise à 20 kilomètres de Paris. (Merci à Damien pour l’info)
Musée national de la Renaissance – Château d’Ecouen – 95440 Ecouen – Fermé le mardi
22 novembre 2009 @ 10:50
Merci beaucoup à Damien pour cette info. J’espère avoir l’occasion d’y faire un saut.
22 novembre 2009 @ 12:27
Je me souviens de ce grand personnage dont on m’a parlé lors de mon circuit en Turquie.
22 novembre 2009 @ 18:33
C’etait un tres bon empereur ruse et bien doue,l’equivalent de l’empereur Charles-Quint!Il voulait meme continuer a conquerir plus au Nord de l’Europe avec la Germanie !A lire!
22 novembre 2009 @ 19:10
oui,à l’école,qui n’en a pas entendu parlé de ces 3 hommes,j’espère pouvoir y aller,cela doit être beau à voir,et j’aime l’histoire à toutes les époques
Merci Damien,j’ai noté
22 novembre 2009 @ 19:20
Histoire ancienne, mais intéressante.
23 novembre 2009 @ 07:58
Et moi j’ai acheté à Istanbul une peinture sur soie reproduisant la tougra de Soliman le Magnifique. Elle est …. magnifique !
23 novembre 2009 @ 09:24
Pas de quoi être fier…
23 novembre 2009 @ 15:58
R-N : seriez-vous choqué par l’alliance politique entre le Roi Très-Chrétien et le Calife de l’islam ?
Petite précision : autrefois on disait qu’en France, « le roi ne tient son pouvoir que de Dieu et est empereur en son royaume ».
Cela peut vous sembler anecdotique, mais les sultans ottomans ont, dans leur correspondance avec la France, toujours donné à nos rois, de François 1er à Charles X, le titre « d’empereur de France ».
24 novembre 2009 @ 12:11
Damien, oui, cette alliance, contre des chrétiens d’un prince dit chrétien était une chose, qui pour le dire ainsi, montre bien la nature perverse du pouvoir (royauté ou autre forme).
L’image du roi de droit divin a amené tous les maux. Et cette idée de « l’empereur en son royaume » était une flatterie des serviteurs cherchant à plaire.
Ce titre donné dans la correspondance ne haussait pas le roi et n’était aucunement un rappel de l’adage que vous rappelez. il s’agissait d’une formule, simplement.