Le château de Bussy-Rabutin est situé à Bussy-le-Grand dans la région de Dijon. Le comte Roger de Bussy-Rabutin (1618-1693) était un cousin de Madame de Sévigné. Militaire, courtisan et un écrivain reconnu, il fut chassé de la Cour pour avoir dévoilé les galanteries des grands de son temps dans l’Histoire amoureuse des Gaules.
Le château présente jusqu’au 14 octobre 2018 l’exposition « La Galerie des Beautés de Louis XIV » où vous découvrirez douze portraits de princesses de la famille royale et de dames de la Cour. (Merci à Bertrand Meyer)
16 juillet 2018 @ 10:25
Beautés d’une autre époque,qui n’ont plus cours
16 juillet 2018 @ 10:42
Ce château a été sélectionné par S. Bern pour sa rénovation.
La présence de Mme de Sévigné est très ressentie et une importante galerie de tableaux existe déjà.
16 juillet 2018 @ 11:09
Ah ben ça alors ! Je n’ai jamais lu cet écrit : une honte, un scandale. Et une lacune à combler. On va vite remédier à cela …
Par contre, » Les vies des dames galantes » , de Pierre de Bourdeille dit Brantôme ( 1540-1614), ça, je connais pas trop mal … ;-)
16 juillet 2018 @ 19:03
En théorie, ou en pratique Leonor ? ?
16 juillet 2018 @ 22:27
On aimait les beautés potelées à cette époque ! Au fil des siècles, les canons de beauté ont évolué…de nos jours, on admire les femmes très minces, voire anorexiques!
21 juillet 2018 @ 13:28
Je pense par contre que les goûts des hommes sont restés les mêmes. Peu d’entre eux aiment les femmes anorexiques ou très minces. Un décolleté bien rempli et des courbes charnues ont toujours leurs faveurs ?
17 juillet 2018 @ 06:18
« la vie des dames galantes » de Brantôme est très savoureuse et le jeu consiste à deviner de qui il s’agit lorsque l’auteur raconte une piquante aventure survenue à »une « grande » de par le monde » , Le récit de Rabutin est audacieux et moqueur , c’est autre chose ;S’il a été embastillé , c’est qu’il y attaque la moralité du roi .
17 juillet 2018 @ 11:37
Je viens de visiter cette exposition et l’ai beaucoup appréciée. Cadre intimiste, style boudoir. Le château de Bussy-Rabutin et ses jardins méritent que l’on s’y attarde. Sa sélection par l’équipe de Stéphane Bern laisse espérer à l’équipe en place des fonds pour remettre en état l’aile droite du château, aujourd’hui partiellement fermée à la visite. Si, vraiment, les sommes obtenues sont conséquentes, une étude approfondie du système hydraulique est envisagée.
17 juillet 2018 @ 19:04
Pauvre Bussy ! 40 années d’ostracisme royal, et il n’en vit jamais la fin…