Le comte de Paris et sa soeur Marie, princesse Gundakar de Liechtenstein, ont assisté aux célébrations du 180ème anniversaire du combat de Sidi-Brahim dans la cour d’honneur du château de Vincennes.
MoreLe comte de Paris et la princesse Marie assistent au 180e anniversaire du combat de Sidi-Brahim
10 Comments
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30 septembre 2025 @ 07:59
Rendre hommage à une bataille qui a eu lieu il y a presque deux siècles……..
30 septembre 2025 @ 08:34
Nous pouvons constater que l’entente dans cette famille est absente … Quand nous voyons dernièrement le mariage d’un petit fils de Jacques d’Orléans, nous pouvons constater que Jean d’Orléans était absent … qui en connait la raison ??? Pourtant si la monarchie était présente en France, Jean en serait le roi ; donc, je pense que la présence du roi aurait été nécessaire à ce mariage …
30 septembre 2025 @ 10:10
Non, le roi serait Louis XX.
30 septembre 2025 @ 10:29
Nous n’avons eu droit à aucune photo sur ce site de ce mariage…
30 septembre 2025 @ 08:44
Belle cérémonie qui montre la fidélité des princes de France à leurs parrainages de glorieux régiments et bataillons où se sont illustrés leurs ancêtres au service de la France.
30 septembre 2025 @ 08:53
Heureuse de revoir la princesse Marie au coté de son frère Jean.
30 septembre 2025 @ 09:00
Marie fait vraiment plus que son âge… à notre époque ???
Caroline, elle aussi était ces jours avec les parachutistes carabiniers et avec sa classe unique toute en étant simplement vêtue!
30 septembre 2025 @ 09:02
Ça ne m’avait jamais frappée mais Marie ressemble à sa maman !
30 septembre 2025 @ 09:23
Sidi-Brahim fut un combat majeur de la monarchie de juillet et c’est bien que les princes s’en souviennent 180 ans après.
30 septembre 2025 @ 10:07
Un peu (beaucoup ?) hors sujet, Sidi-Brahim me fait penser au maréchal Bugeaud, quoi qu’on en pense.
On sait peu qu’il fut le « geôlier » de la duchesse de Berry dans la citadelle de Blaye (Gironde) entre novembre 1832 et juin 1833. Elle était accompagnée d’une petite cour et, d’après les inventaires des archives nationales, disposait d’un important mobilier ainsi que d’une vaisselle de 600 assiettes et 122 verres en cristal taillé. Mais, au-dessus de sa chambre étaient placés deux gendarmes.
Le 10 mai 1833, à trois heures du matin, Bugeaud fit tirer trois coups de canon pour prévenir les témoins. La duchesse avait mis au monde une petite Anne-Marie-Rosalie. Elle avoua qu’elle s’était mariée, en 1831, au comte Hector Lucchesi-Palli duc della Grazia. La petite fille fut ondoyée, le 17 mai. La duchesse sortit de Blaye, le 9 juin. Après un voyage de près d’un mois, l’Agathe mouilla en rade de Palerme, en juillet 1833, où attendaient les représentants du roi de Naples et l’époux de la princesse. Le général Bugeaud prit congé de la duchesse et embarqua sur le brick L’Actéon qui le ramena en France. J’ai découvert que la petite fille était décédée à Palerme, le 9 décembre 1833.