Le hareng Bismarck est pêché en mer Baltique. Il est préparé de petits morceaux de hareng en marinade aigre. Cette marinade se composé de vinaigre, oignons, graines de moutarde, sel et laurier. On peur aussi ajouter selon les goûts des carottes en brunoise. C’était l’un des plats préférés du prince Otto von Bismarck.
19 février 2018 @ 08:27
Ma maman disait de ce plat, qu’elle appréciait beaucoup « avec une pomme de terre en robe des champs, un petit verre de vin blanc, c’est un menu de mariage ».
Je n’en dirais pas autant, mais c’est bon.
19 février 2018 @ 10:07
Je n’ai jamais aimé le hareng..!
19 février 2018 @ 12:14
Alineas,
Bien dommage !
19 février 2018 @ 10:39
Appétissant. Apparement servi sur un toast de pain complet et accompagné de crème fraîche assaisonnée des carottes en brunoise, de câpres et d’herbes , je me trompe ? Si l’un d’entre vous veut rectifier ou compléter …. merci bon appétit.
19 février 2018 @ 12:13
Cette marinade me semble delicieuse ! Etant de souche alsacienne, nous continuons a manger la salade typique de hareng et de pommes de terre avec des pommes, des betteraves et des cornichons coupes en morceaux.?
19 février 2018 @ 18:17
Ohh…Caroline…j’adoooore!!…miamm!
19 février 2018 @ 19:11
Caroline ; vous ne manquerez pas de plaquettes sanguines , depuis un mois je suis astreinte à la betterave cuite , aux harengs sous toutes leurs formes etc… ça marche puisque celles-ci remontent significativement . J’adore le hareng de et à la baltique mais je fonds pour le polonais concocté par une amie polonaise .
Notez bien qu’à la bretonne il est également craquant , sur pommes de terre des sables chaudes et huile de noix .
Mon estomac n’a pas à rechigner , il s’en harenge .
19 février 2018 @ 12:13
Le hareng frais arrivé de la pêche présenté dans un délicieux petit pain de même, un régal néerlandais auquel je ne tente même pas de résister lorsque je vais en Zélande ou en Frise, tant c’est divin…
20 février 2018 @ 16:55
Je connais, ces maatjes ne se mangent qu’aux Pays-Bas et sont attendus comme en France le beaujolais nouveau. Je crois me souvenir qu’un ami m’a dit que maatjes, ca veut dire « petites vierges » pcq ces gentils harengs sont tout nouveaux et tout ingénus.
19 février 2018 @ 13:14
Ces matjes là sont trop douceâtres.
On se croirait dans un Nordsee. Beurk
19 février 2018 @ 13:43
Les cousins alémaniques de ma mère nous apportaient des sortes de petits harengs dont j’ai oublié le nom. Servis avec une sauce à la crème aigre, on aimait.
Schröten? Quelqu’un peut-il m’aider? Par curiosité je voudrais bien en retrouver le goût.
20 février 2018 @ 14:52
Comme ça, là, je ne vois pas. Des sprats ? Il y a bien les Heringe mit saurer Sahne ( harengs à la crème aigre) , courants dans toute l’ Europe du nord et l’Europe centrale. Mais Schröten ? Suis preneur aussi de l’information, si quelqu’un a des lumières.
21 février 2018 @ 14:07
J’avoue Leonor que je comptais sur vous!
Schröten, c’est peut-être du schwyzerdütsch? Ou un nom qui n’a rien à voir avec le nom réel de ces petits poissons fumés au goût très fort qui ont marqué ma mémoire gustative à défaut de ma mémoire tout court!
22 février 2018 @ 13:02
Eureka, j’ai retrouvé, sûrement grâce à vos sprats!
Sprotten prononcé Schprotten d’où la confusion, j’ai toujours ignoré leur nom en français.
19 février 2018 @ 14:14
Une variante du hareng – pommes à l’huile : sûrement délicieux !
19 février 2018 @ 14:32
Le hareng, sous toutes ses formes, c’est une merveille.
Mêmes recettes que l’Alsacienne et que Caroline. Ma mère accommodait aussi les laitances de hareng, mais c’est devenu difficile à trouver.
Harengs saurs, rollmops, salade harengs-pommes-pommes de terre, harengs fumés, Bratherings, harengs à la crème à l’alsacienne … Une mine !
Pourquoi le hareng est-il si souvent méprisé ? En France tout au moins. Frontière de culture, je pense.
19 février 2018 @ 15:26
Moi aussi , j’aime le hareng et la préparation présentée ici est appétissante .
Je mange ce poisson en salade avec pommes de terre .
19 février 2018 @ 19:12
Ah mais PGE vous m’ouvrez des horizons avec cette variante !
20 février 2018 @ 23:43
La tête coupée, le bout de queue idem, et en route vers l’extase, et sans effets secondaires !