L’impératrice Farah a porté tout au long de ses années en Iran de somptueux diadèmes. Hormis la couronne du sacre réalisée par Van Cleef & Arpels portée une seule fois, l’impératrice coiffait régulièrement des diadèmes de diamants, d’émeraudes ou encore de turquoises. Ceux-ci étaient des bijoux appartenant à la couronne et sont donc tous restés à Téhéran.

 

Le pays s’ouvre doucement au tourisme. Dès lors si vous êtes de passage dans la capitale iranienne, il vous sera possible de les admirer mais en revanche pas question de les photographier et pas non plus de cartes postales ni de livres pour acheter en sortant de cette exposition permanente.