Parution de l’ouvrage « Le régiment de cavalerie de la Garde républicaine. Dans les coulisses de l’excellence » par Patrick Boissier et Pascal Baril.

En voici le résumé : « Personne n’imagine un défilé du 14 Juillet sur les Champs-Élysées sans l’ébrouement des chevaux parés de leurs plus beaux atours. Le régiment de cavalerie de la Garde républicaine fascine et suscite de plus en plus de vocations, chez les jeunes cavalières notamment. Découvrez les coulisses de cet univers équestre où l’excellence prévaut.

On admire la prestance avec laquelle ces gendarmes à cheval assurent le cérémonial militaire lors des visites de chefs d’État étrangers, à l’Élysée, à l’Assemblée nationale ou au Sénat. Mais l’expertise des cavaliers de la Garde républicaine s’exerce aujourd’hui essentiellement dans des missions de sécurité publique. Du haut de leur monture, ils drainent les foules aux abords des grands stades, patrouillent dans les bois parisiens, à proximité des parcs ostréicoles en Normandie, en Champagne pendant les vendanges ou dans les Calanques pour prévenir des incendies.

Chaque année, 10 000 visiteurs profitent des Journées européennes du patrimoine pour découvrir les écuries du quartier des Célestins, siège de l’état-major de la Garde républicaine à Paris, 25 000 personnes se précipitent au quartier Carnot à Vincennes lors des journées portes ouvertes, et on s’arrache les 500 places du manège Battesti où ont lieu les démonstrations d’art équestre.

Un engouement suscité par la passion des chevaux, le prestige des uniformes, mais aussi la maîtrise des artisans qui forgent et ferrent les montures, fabriquent les selles et harnachements, confectionnent les casques, restaurent les sabres.

En s’appuyant sur un reportage photographique exceptionnel, réalisé durant toute une année, un sous-officier du régiment de cavalerie nous livre les clés de cette institution à part qu’il sert depuis près de trente ans. »

« Le régiment de cavalerie de la Garde républicaine. Dans les coulisses de l’excellence »  Patrick Boissier et Pascal Baril, Glénat, 2020, 192 p