Sortie le 5 mars aux éditions Allary de la biographie de Laurence de Cambronne consacrée à Madame de Staël, avec comme sous-titre « La femme qui faisait trembler Napoléon. » Il n’y a pas aujourd’hui l’équivalent d’une célébrité comme cette femme que l’Europe entière admirait. Ses livres étaient des best-sellers, ses intimes écrivaient l’Histoire. C’est une femme exceptionnelle que Laurence de Cambronne raconte avec beaucoup de talent.
Germaine de Staël traverse la Révolution, le Consulat et l’Empire en devenant une femme très différente du type de femme admis à son époque. Son salon est éblouissant, elle est immensément riche et généreuse. Sa vie est une course poursuite devant Napoléon qui l’exile sans cesse loin de Paris. Pour l’auteur, c’est « personnage profondément attachant, une amoureuse aspirant au bonheur mais aussi une féministe, une intellectuelle visionnaire, une femme au destin romanesque. »
« Madame de Staël. La femme qui faisait trembler Napoléon », Laurence de Cambronne, éditions Allary, 2015, 244 p.
26 février 2015 @ 09:16
Une biographie de plus…
26 février 2015 @ 10:30
Qui sont les Cambronne ?
Ils sont bien discrets car je ne les trouve ni sur mon vieux Bottin ni sur le site de l’ANF.
Le père et le grand père du fameux général – qui était comte d’empire selon « internet » – étaient conseillers du roi, charges qui anoblissaient, en principe.
L’arrière grand père était marchand.
J’ai vu par ailleurs qu’il existe une famille de Cambronne qui n’est pas noble. A-t-elle un lien avec le général ?
Mystère ….
Toujours sur « internet » j’ai vu que Laurence de Cambronne était l’auteure d’un autre ouvrage intitulé « Votre premier mois avec bébé ».
Laurence de Cambronne est-elle pédiatre ou historienne ? Ou les deux ?
26 février 2015 @ 22:52
Son livre « Le premier mois avec bébé », ou les cents questions que se pose une mère durant le premier mois de son enfant, est peut-être tout simplement tirée de son expérience de mère puisqu’elle n’est pas médecin . Laurence de Cambronne était rédactrice en chef adjointe au magazine Elle, lorsqu’elle a fait paraître son premier livre » Les petits agendas rouges », une histoire qui se passe durant la guerre et qui est tirée du journal intime de sa mère .
26 février 2015 @ 13:20
Je me souviens avoir lu jeune le livre de Ghislain de Diesbach. Vif, enlevé, bien documenté en un mot complet.
Ces 244 pages renouvellent-elles l’historiographie sur Germaine Necker ?
27 février 2015 @ 12:13
Grâce à votre commentaire Jean Pierre, je viens de découvrir Ghislain de Diesbach.
J’aime les livres d’Histoire et je ne connaissais pas cet auteur.
Je me suis renseignée et sa bibliographie est impressionnante.
Merci donc pour cette information.
28 février 2015 @ 19:17
Merci Marie Paule et Jean-Pierre; moi aussi j’irai voir ça car moi aussi j’aime les livre d’Histoire. FdC
26 février 2015 @ 13:42
on lira avec profit les livres de Guislain de Diesbach sur madame de Stael et sur son père Necker, ce sont des livres de références
quant à ce genre de publication, quelle est sa légitimité ? encore une biographie gentillette …..à quoi bon?
26 février 2015 @ 18:41
Je possède le livre de Ghislain de Diesbach consacré à Madame de Staël.