Parution le 12 avril prochain du livre « Moi, la Malmaison. L’amie intime de Joséphine » par Françoise Deville. En voici le descriptif : « Malmaison sans toi est trop triste » écrit Bonaparte à Joséphine, son égérie dont il est amoureux fou mais qu’il répudiera pourtant, la mort dans l’âme, parce qu’elle ne peut pas lui donner d’héritier.

Joséphine de Beauharnais acquiert Malmaison en 1799 : elle la métamorphose, avec son goût très sûr, en véritable domaine cossu au style Consulaire puis Empire. Bals, jeux, représentations théâtrales, divertissements se succèdent avant les jours plus sombres… son empreinte y est toujours présente.

Dans cet ouvrage original, à l’écriture sensible, Françoise Deville fait le choix de la prosopopée pour nous raconter la vie et l’intimité de la « belle créole » Marie Joseph Rose Tascher de La Pagerie, née en Martinique en 1763, première épouse de Napoléon Bonaparte. En témoin privilégié, c’est la Malmaison qui prend la plume.

Elle nous décrit son décor, bien-sûr, mais aussi les personnages qui l’ont fréquentée (Talleyrand, Cambacérès, artistes, savants, les enfants Eugène et Hortense…), nous rapporte les discussions personnelles ou diplomatiques et la passion intense du premier véritable couple politique de l’Histoire.

C’est au coeur de ce château que bat le rythme du pouvoir, de l’amour et des ambitions de l’Empereur et de l’Impératrice. La Malmaison nous en confie les secrets, les indiscrétions, les manigances et offre, par moments, ses réflexions et son analyse personnelle sur le contexte politique de l’époque. »

« Moi, la Malmaison. L’amie intime de Joséphine », Françoise Deville, Editions de la Bisquine, 2018, 288 p.