Après trois années de chantier et plus de 13 millions d’euros investis, la réouverture du musée Ingres est un événement pour la ville et pour le monde de l’art. Le musée Ingres, installé dans l’ancien palais épiscopal du XVIIème siècle des évêques de Montauban, conserve une exceptionnelle collection de dessins et de peintures de Ingres, grâce au legs très important du peintre pour sa ville natale.
Le musée Ingres a profité de sa rénovation pour changer de nom et devenir le musée Ingres Bourdelle en hommage à Antoine Bourdelle (1861-1929), l’autre immense artiste natif lui aussi de Montauban, six ans avant le décès de Jean-Auguste-Dominique Ingres (1780-1867). Agrandi et modernisé, le musée se déploie aujourd’hui sur 2700 m2 avec de nouveaux espaces consacrés au sculpteur Antoine Bourdelle et à ses oeuvres. (merci à Charles – RJ Photographies et DR)
16 décembre 2019 @ 10:27
La visite de ce musée que j’avais faite – il y a de cela quelques années – était très décevante et je me réjouis donc de cette rénovation qui rendra hommage à Ingres, l’un des plus grands peintres français du dix neuvième siècle.
16 décembre 2019 @ 11:00
Allez y, si vous le pouvez ! c’est une splendeur……
16 décembre 2019 @ 12:20
Le musée Bourdelle à Paris est lui aussi intéressant à visiter.
16 décembre 2019 @ 12:29
Merci pour cette info que je vais agender au plus vite!
16 décembre 2019 @ 14:28
le lien = https://museeingresbourdelle.com/
16 décembre 2019 @ 16:30
Je me souviens que mon Ami Baudelaire avait écrit au sujet du grand Ingres:
-« Quant à Ingres,
C’est un pédant,
Dont je goûte peu les facultés malingres… »
La rime était faite,mais pour une fois,je ne partageais pas son avis,car j’aime beaucoup Ingres.
16 décembre 2019 @ 19:14
Je suis tentée afin de programmer une visite !
18 décembre 2019 @ 08:24
Les portraits de Ingres sont toujours une réussite
Ils allient en effet et le classicisme et la perception de l’âme
de la personne représentée.
Mais en sus de cela ils sont de leur époque.
Jamais de mièvrerie, un peu de mystère.
Monsieur Ingres ne se laissa jamais allé à la facilité
Et pourtant l’époque le lui eût permis.